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lucky semiosis

Le jeu de l'intelligence collective - Cairn.info - 0 views

  • Les processus de mutation, reproduction et sélection d’idées, comme l’influence qu’ils ont en retour sur les populations qui les abritent, obéissent évidemment à des rythmes et à des durées multiples et complexes. Ils sont également très dépendants des contextes historiques et géographiques.
    • lucky semiosis
       
      comment représenter ces évolutions ?
  • Une idée n’est pas bonne ou mauvais « en elle-même ». Mais dans les circonstances où elle intervient, elle favorise ou défavorise la culture qui l’abrite en fonction de la situation particulière d’un système écologique complexe et ultrasensible.
  • cultiver délibérément les écosystèmes d’idées de telle sorte qu’ils évoluent dans le sens d’un accroissement de l’intelligence collective, et donc de la santé, de la prospérité économique et de la richesse culturelle des communautés qui les soignent, les élèvent et les sélectionnent
    • lucky semiosis
       
      il faut cultiver notre jardin
  • ...20 more annotations...
  • moins coûteuse pour les populations humaines
  • défi de la gestion délibérée des connaissances et de leur évolution
    • lucky semiosis
       
      attention à la surproduction ! y-a-t-il une culture bio de l'esprit ? la sagesse des idiots ?
  • une démarche délibérée d’intelligence collective consiste, pour une communauté, à « cultiver » de manière optimale l’écologie d’idées avec laquelle elle vit en symbiose et à orienter judicieusement son évolution
    • lucky semiosis
       
      comment mieux parler du jardinnage d'information
  • les œuvres dont la matière même est numérique (musique, images, textes, mondes simulés…) sont en principe virtuellement omniprésentes sur Internet
  • D’une part, la circulation des nouvelles idées est beaucoup plus rapide ; d’autre part, leur évaluation a posteriori par la citation, le commentaire et la référence se fait également plus vite.
  • implémenté sous forme d’un logiciel de « jeu » à sources ouvertes par un réseau international de chercheurs
  • Pour faire de l’intelligence collective un bon objet de connaissance, il semble utile de la rendre visible par des images symboliques.
  • C’est donc tout naturellement que l’on doit envisager la conception de logiciels calculant – à partir de flux de données empiriques provenant des communautés réelles – des représentations visuelles de l’intelligence collective, de ses conditions de développement et de son environnement.
    • lucky semiosis
       
      oui mais ce n'est pas une question d'architecture (cf; ci-dessus) mais de jardinnage !
  • paysage de problèmes
  • La construction et la mise à disposition gratuite sur Internet du JIC veut contribuer à une meilleure « connaissance de soi » des communautés qui désirent s’engager dans l’aventure de l’autotransformation cognitive.
  • un instrument de simulation des écologies d’idées (ou des économies cognitives)
    • lucky semiosis
       
      on y'est !
  • Cette dimension du modèle de l’intelligence collective peut être considérée comme une proposition de cartographie rationnelle de l’espace sémantique.
  • ces principes de cartographie ne peuvent être que conventionnels et non pas absolus
  • la syntaxe du jeu de l’intelligence collective n’est pas complètement indépendante du sens des symboles qu’elle régit, ni des actes accomplis en contexte au moyen de ces symboles : au contraire, elle établit l’interface entre ces deux domaines.
  • La syntaxe du jeu concerne en effet l’algorithme associé à chaque idéogramme, algorithme qui spécifie ses interactions avec les autres idéogrammes et qui exécute effectivement sur eux des opérations analogues à celles que les idées qu’il représente exerceraient sur leurs cibles dans de véritables écosystèmes d’idées.
    • lucky semiosis
       
      la garaine des agents...
  • Si certains pôles sont très spécialisés ou d’autres peu développés, une bonne santé de l’intelligence collective exige que ceci soit compensé par des échanges avec d’autres communautés, de telle sorte qu’aucun des pôles ne se trouve à court de ressources.
  • La fonction de représentation est portée par le signifiant pour la linguistique, les scolastiques médiévaux parlaient de vox tandis que pour C. S. Pierce, il s’agissait de la fondation du signe. Dans mon propre vocabulaire théorique, j’appelle le support de la représentation un « signe » (représenté par un pi dans le schéma ci-dessous).La fonction de référence est portée par le référent (c’est-à-dire la chose désignée par le signe) pour la linguistique, les scolastiques appelaient le référent res tandis que C. S. Pierce l’appelait objet. Ici, j’appellerai « chose » le support de la référence (représenté par un cube dans le schéma ci-dessous).La fonction de conception, finalement, est portée par le signifié pour la linguistique, un signifié que les scolastiques appelaient conceptus et C. S. Pierce interprétant (afin de bien marquer l’opération active d’interprétation qui consiste à relier un signe à d’autres signes et à un référent). Pour ma part, je nomme ce troisième terme « être » (représenté par un bonhomme dans le schéma ci-dessous) car un esprit quelconque doit relier le signe à la chose ; sinon, aucune signification n’a lieu.
  • Aucun archétype n’est un principe absolu et ils doivent coopérer et s’impliquer réciproquement pour permettre le déploiement de l’intelligence collective.
  • fonction d’alimentation (l’énergie cognitive pourrait se mesurer en « quantité d’attention »);fonction de reproduction (réplication et mutation des représentations et des idées);fonction de communication (établissement et entretien des liens entre idées).
    • lucky semiosis
       
      les idées sont en vie !
  • Notre Jeu utilise une méthode de cartographie sémantique propre à situer les idées et connaissances sur un espace anthropologique universel.
lucky semiosis

Compte-rendu de Mathématiques et sciences de la nature ; la singularité physi... - 0 views

  • On voit donc que l'extension du cadre épistémologique mathématico-physique à la biologie n'est pas simplement un exercice d'école de la part des deux auteurs : il relève bien d'une nécessité propre à l'évolution des sciences de la nature et à leurs problèmes épistémologiques internes, en particulier celui de l'articulation problématique du déterminisme prédictif et du déterminisme non-prédictif auquel il faut faire appel pour rendre compte de l'idée de forme.
    • lucky semiosis
       
      cette même idée est aussi valide pour l'extension au science de l'information et permet une boucle méthodique : math -> physique -> bio -> info -> math ???
  • En termes de diagnostic tout d'abord, c'est bien sur le terrain de la biologie que se situe aujourd'hui la forme la plus aigue de cette incompatibilité puisque les deux points de vue y sont appliqués aux mêmes objets : tout ce qui est susceptible de s'apparenter à du codage dans le vivant relevant du déterminisme prédictif d'une part et tout ce qui a trait au développement environnemental des formes vivantes relevant déterminisme non-prédictif de l'autre.
    • lucky semiosis
       
      d'où l'intêret du jardin pour mettre en jeux cette relation paradoxale
  • L'articulation entre l'espace-temps continu du repérage géométrique externe et les variations énergétiques discrètes dépendant du système de coordonnées interne pose problème, comme en témoignent les effets de non-localité des particules quantiques identifiées à des champs de matière, effets qui défient complètement l'intuition. Le problème vient de ce que les mesures des évolutions physiques sont explicitées, de façon classique, par des nombres réels et que les évolutions sont bien, de ce fait, localement déterminées mais que ce sont des nombres complexes qui gouvernent les probabilités associées aux états quantiques discrets, et qui, de ce fait, ne se raccordent pas aux mesures continues des évolutions locales dans l'espace-temps puisque les champs de matière ne s'y réduisent pas à des singularités.
  • ...17 more annotations...
  • La fonction de régulation engage un temps de type itératif qui est celui des horloges internes propres à un individu, une espèce ou même un phylum. Il s'agit des cycles métaboliques, des battements cardiaques, des cycles de respiration, des durées de gestation et même de la durée de vie à travers tout le règne animal, qui semblent obéir à une loi d'échelle dans laquelle la durée d'un cycle se calcule en puissance ¼ de la masse de l'organisme considéré.
    • lucky semiosis
       
      constante naturelle pour un cycle vital
  • La différence capitale qui se fait jour entre la conception physique et la conception biologique du temps est donc que, dans le cas de la physique, la situation présente et future d'un système dépend exclusivement de la situation passée, et ce, même dans le cas des processus irréversibles, alors que, dans le cas biologique, intervient un tout autre régime temporel qui, loin de s'écouler selon une direction, semble plutôt actualiser des compossibles : c'est dans cette mesure que le temps est bien un observable, surplombant en quelque sorte toute transformation, qu'elle soit passée, présente ou à venir et non pas un simple paramètre qui rendrait compte d'un déroulement linéaire. Cette conception du temps permet de rendre explicite une dimension capitale de l'organisation propre au vivant : le champ des forces qui rend compte de l'apparition de formes vivantes n'est pas donné mais il est lui-même en voie d'auto-constitution.
  • il est par exemple possible de reproduire physiquement dans un champ magnétique au moyen de supraconducteurs sur un treillis l'arrangement spatial des feuilles sur la tige des plantes - selon la suite de Fibonacci, comme le veut la description phyllotaxique standard -, mais on ne donne encore, ce faisant, aucune raison de la dynamique évolutive qui a présidé à sa constitution.
  • D'une part, un argument empirique : encoder en une suite binaire la structure tridimensionnelle de toutes les protéines échangées dans les cascades post-synaptiques ou les flux biochimiques dans le système nerveux ou bien encore les déplacements de 1015 synapses dans le cerveau n'a proprement aucun sens informatique, compte tenu du nombre d'événements en jeu et sans même mentionner le problème physique de la dynamique évolutive des formes évoqué à l'instant. D'autre part, un argument physique : si le codage binaire doit aller jusqu'au niveau micro-physique, alors le niveau supposé ultime est celui de la mécanique quantique. Mais dans ce cas, on doit quitter le domaine du déterminisme prédictif et on perd, du même coup, tout le bénéfice d'une stratégie réductionniste qui fait de la détermination prédictive son idéal épistémologique.
    • lucky semiosis
       
      comment expliquer plus clairement le leurre de l'intelligence artificielle !!!
  • c'est la dimension topologique de l'élémentaire qui doit orienter la recherche des principes transcendantaux rendant compte de l'espace-temps propre au vivant.
  • S'il y a une leçon sur l'espace et le temps que les sciences de la nature contemporaines peuvent nous apprendre, c'est bien la modernité des recherches finales du Kant de l'Opus posthumum (1804) qui retrouvait l'idée leibnizienne selon laquelle l'espace et le temps ne s'opposent pas, respectivement, comme les formes du sens externe et du sens interne mais que le partage doit dorénavant être conçu autrement : l'espace et le temps possèdent en eux-mêmes des formes intrinsèques, ce qui implique de concevoir le rapport externe / interne au sein même de l'objet, le sens externe régissant les relations entre objets et le sens interne les conditions de possibilité de l'individuation de l'objet.
  • épistémologiquement, le renouvellement de la distinction entre sens interne et sens externe fait que l'espace-temps n'apparaît plus sous l'aspect d'une intuition homogène propre aux conditions de possibilité de la détermination de l'objet en général mais qu'il relève lui-même d'une construction, variable selon le type d'outils théoriques sollicités.
  • un premier groupe d'invariants biologiques composé de deux types apparaît : analogique quand des organes différents convergent par pression de sélection vers des formes semblables ayant des fonctions identiques et homologique quand un même organe évolue dans des formes différentes mais dont l'origine commune reste pourtant reconnaissable.
  • les auteurs caractérisent tout organisme vivant à partir de quatre points de vue : le point de vue topologique fondé sur la distinction entre intérieur et extérieur ; le point de vue énergétique fondé sur la notion de métabolisme ; le point de vue informationnel fondé sur la notion de patrimoine génétique ; le point de vue que l'on pourrait qualifier d'aptatif-adaptatif fondé sur la possibilité d'une transmission de ce patrimoine tout en restant doté d'une aptitude à l'évolution.
  • l'idée de patrimoine informationnel ne se retrouve évidemment pas en physique
  • Le pivot de l'arithmétisation prédictible du monde repose donc sur l'idée que l'effectivité du calcul au niveau informatique correspond à la matérialité des processus présents dans la réalité physique.
  • Et si l'on s'en tient, dans la mesure des conditions initiales, à des valeurs exactes réitérables parce que c'est ce qu'impose la discrétisation arithmétique propre à l'informatique, alors on assure une trop grande stabilité de l'évolution des systèmes physiques et on perd radicalement en intelligibilité dans la description de certains phénomènes critiques qui deviennent proprement invisibles  : qu'on songe aux orbites trop régulières du système solaire reconstruit informatiquement ou même aux oscillations pour toujours identiques d'un double pendule, à partir de conditions initiales à jamais inchangées, alors qu'il s'agit en réalité d'un système chaotique.
  • Le rôle de l'informatique et des mathématiques discrètes qui en constituent l'ossature est donc bien de simuler des phénomènes physiques mais elle ne peut jouer de rôle constituant, au sens que ce terme prend en physique, dans la mesure où l'informatique ne rend pas intégralement raison des différents régimes de causalité propres à la physique.
  • Les auteurs proposent alors, pour la rendre intelligible, une schématisation dynamique composée de trois types d'éléments : des domaines-sources, qui représentent les organes mobilisables en vue d'un but ; des domaines-cibles qui sont les buts à remplir et des flèches qui représentent les modes de fonctionnement des organes en vue des buts assignés.
    • lucky semiosis
       
      on retrouve les trois niveaux spinozistes ?
  • Le schéma général topologico-métrique décrit un ensemble-cible composé de domaines-cibles, tous atteints par une flèche au moins, et un ensemble-source composé de domaines-sources d'où partent au moins une flèche vers un ou plusieurs domaines-cibles (le terme d'« ensemble » n'a pas ici de signification technique pas plus que celui de « flèche », qui ne représente pas une fonction au sens mathématique du terme). Plusieurs domaines-sources peuvent contribuer à un même domaine-cible au moyen de flèches assurant des transferts ; par exemple, les deux métabolismes, oxygène et glucose, assurent la régulation du tissu musculaire du cœur par des moyens de transport différenciés, plus important dans le cas du transfert d'oxygène que dans celui du glucose (outre le nombre et la direction des flèches, leur épaisseur peut donc varier pour un même domaine-cible). Un même domaine-source peut aussi contribuer à plusieurs domaines-cibles, comme dans le cas des cellules-souches et plus généralement, dans tous les cas où des potentialités vont finir par s'exprimer au cours du développement.
    • lucky semiosis
       
      la représentation allégorique de ce schéma semble correspondre à une cardinalité naturaliste...
  • La notion de finalité contingente peut alors être représentée comme une structure abstraite, composée d'un triplet (domaines-source, flèches, domaines-cible), munie d'une mesure indexée sur les nombres réels (rendant compte de l'épaisseur relative des flèches) et assurant une stabilité structurelle des domaines-cible (c'est-à-dire pour lesquels l'épaisseur des flèches est non nulle). Le schéma peut alors servir à décrire les grands processus dynamiques du vivant, en particulier le régime de « développement » et le régime « stationnaire » : le début du développement se caractérise par la prévalence des flèches partant d'un domaine-source vers plusieurs domaines-cible qu'elles contribuent à créer (comme dans le cas de la différenciation des tissus, ou des systèmes anatomique et physiologique) ; ces flèches maigrissent au fur et à mesure du développement tandis que commencent à prendre de l'importance les flèches partant de plusieurs domaines-source pour aboutir à un domaine-cible (établissement des fonctions). Une fois la maturité atteinte, c'est-à-dire une fois une topologie stabilisée, le vieillissement se manifeste de façon métrique par la variation de l'épaisseur des flèches. On remarque alors que les flux allant dans le sens source-cible ont principalement un caractère énergétique (transferts de matière ou d'énergie), tandis que les flux allant dans le sens cible-source ont un caractère d'information (gradients, différence de pression) rétroagissant sur la source, la direction des flèches permettant de représenter cette différence de sens.
    • lucky semiosis
       
      voilà une belle sémantisation des principes de croissance de l'agent allégorique
  • Ces propositions relèvent de la science en train de se faire et elles seront, en tant que telles, soumises à discussion, réélaboration et critique, comme toutes les propositions conceptuelles nouvelles dans le cadre de l'élaboration scientifique. Sans préjuger de leur destin qui appartient à la communauté en question, ce travail de commentaire a eu pour but de participer à leur mise en circulation.
    • lucky semiosis
       
      faut-il parler d'une science allégorique ?
lucky semiosis

Représentations visuelles alternatives pour les réseaux sociaux - Cairn.info - 1 views

  • Dans le futur, il nous semble indispensable de proposer des outils intégrant plus intimement l’exploration visuelle et analyse statistique. Effectivement, si l’exploration génère un lot de questions nouvelles ou orientent l’analyse, une analyse statistique est très souvent nécessaire pour répondre à ces questions et éliminer les biais potentiellement introduit par la représentation graphique et l’interprétation de cette représentation.
    • lucky semiosis
       
      encore faut-il comprendre l'abstraction de la statistique
lucky semiosis

Le web sémantique - 0 views

  • Depuis le cabinet du médecin
    • lucky semiosis
       
      l'argument "santé" a été utilisé depuis le début de la société de l'information, il entretient l'illusion d'une immortalité accessible par la technique
  • manipulé de façon intelligente
  • les ordinateurs n'ont pas de méthode fiable pour s'occuper de la sémantique
  • ...15 more annotations...
  • au moment
    • lucky semiosis
       
      ni avant ni aprés ?
  • logiciel d'écriture de pages Web sémantique
    • lucky semiosis
       
      c'est le médecin qui crée les pages web du site de la clinique ?
  • un sens bien défini
    • lucky semiosis
       
      Que fait-on de la semiosis illimitée de Pierce ? Le sens est subjectif, mon sens n'est pas forcément le tien, encore moins celui de "on".
  • à mesure que les machines vont devenir de plus en plus capables de traiter et "comprendre"les données
    • lucky semiosis
       
      OK mais est-ce que l'humain va pouvoir suivre ?
  • des bénéfices difficiles ou impossibles à prédire à l'heure actuelle
    • lucky semiosis
       
      tout comme les catastrophes qui elles aussi se produiront
  • une ontologie est un document ou fichier qui définit de façon formelle les relations entre les termes
    • lucky semiosis
       
      il manque le rapport entre "les relations entre termes" et les documents dans un ici et maintenant cf. spinoza
  • Les règles d'inférence
    • lucky semiosis
       
      = processus causal <> processus sémantique en partie acausale cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Synchronicit%C3%A9
  • La structure et la sémantique fournies par les ontologies rend plus facile la fourniture d'un service et son utilisation complètement transparente
    • lucky semiosis
       
      encore faut-il avoir accés aux règles d'inférences
  • Un programme de recherche intelligent
    • lucky semiosis
       
      un humain intelligent aurait pris la carte de Ms Cook ;-)
  • de nombreux programmes qui collecteront les contenus du Web à partir de sources diverses, qui traiteront l'information et échangeront les résultats avec d'autres programmes
    • lucky semiosis
       
      outil de sémantisation des flux d'information
  • agents logiciels
    • lucky semiosis
       
      OK mais comment on paramètre ces agents ? -> agents ontologiques autonome en interraction dans une écologie de l'information
  • c'est le Web sémantique qui donne les fondements et le cadre de développement de ces technologies
    • lucky semiosis
       
      web sémantique = niche écologique = ensemble des règles de mise en relation
  • de très beaux exemples existent
    • lucky semiosis
       
      oui mais attention à la trop grande abstraction des représentations qui les rendent incompréhensible -> http://www.visualcomplexity.com/vc/
    • lucky semiosis
       
      voir aussi le vieux débat sur la vertu pédagogique des représentations entre iconoclastes et iconodules (http://www.philophil.com/philosophie/representation/Analyse/religieuse.htm)
  • Les questions sans réponse sont le prix à payer pour acquérir de la souplesse.
    • lucky semiosis
       
      les questions sans réponse sont le moteur de la pensée : la métaphysique est un trou noir de l'esprit
  • le Web sémantique brisera les limites du monde virtuel et s'étendra jusqu'au monde physique
    • lucky semiosis
       
      cf. Villes2.0
lucky semiosis

Automates Intelligents : MCR pour mieux analyser la grande crise climatique, par Jean-P... - 0 views

  • l'obervateur-acteurconcepteur
    • lucky semiosis
       
      // read-write web
  • les actions des différents observateurs-acteurs-concepteurs se conjuguent de manière normée constituant un tout constamment "cohérent"
  • conçue comme pouvant s'appliquer sur l'univers extérieur et sur l'univers intérieur auquel elle appartient
  • ...22 more annotations...
  • produire des buts au service desquels mettre une stratégie
  • le concept de 'fonctionnement-conscience' peut être étendu au fonctionnement de tous les êtres vivants, et peut-être même à celui de précurseurs matériels de la vie biologique
    • lucky semiosis
       
      les choses vous parlent...
  • J'admets par postulat l'existence - indépendamment de tout fonctionnement-conscience et de toute action cognitive - aussi, d'une réalité physique
  • 'il existe quelque chose au-delà des constructions par lesquelles nous nous représentons le monde, mais qu'il est impossible - à jamais - d'en connaître autre chose que des descriptions
  • un générateur d'entité-objet dénoté G
  • une relation de un-à-un dénotée G&lt;-&gt;œG
  • L'opération de génération d'une telle description crée à partir du réel physique encore jamais conceptualisé, une entité-objet-à-décrire qui peut être encore entièrement inconnue; en tout cas elle est encore entièrement inconnue du point de vue duquel on désire construire des connaissance qui la concernent.
  • un ensemble de marques observables "transférées" sur des enregistreurs d'un appareil de qualification (ou de "mesure") via des interactions avec cet appareil
  • entièrement dépourvu d'une structure d'espacetemps assignable à l'entité-objet-de-la-description-accomplie
  • "chaînes descriptionnelles" distinctes mais reliées entre elles
  • enracinée
  • une séparation de l'ensemble des conceptualisations qui existe à tout moment donné, en une strate primordiale transférée enracinée dans le réel physique a-conceptuel, et une seconde strate d'épaisseur illimitée qui contient des modélisations de plus en plus complexes et de plus en plus entrelacées à l'intérieur d'un réseau de chaînes descriptionnelles hiérarchisées
  • Il est doté par construction d' "objectivité" au sens d'un consensus intersubjectif.
  • Elle a identifié aussi le lieu conceptuel où se loge le "sens" dans la théorie de l'information de Shannon
  • en faisant écran opaque face au fragment de "réel en soi" mis en jeu
  • de cette matière première que nous appelons le réel, dont nous postulons nous même l'existence, mais qui ne peut que nous rester à jamais inobservable et non "connaissable"
  • engendrer librement en tant qu'entitéobjet-de-description convenable, via le choix d'une opération de génération G adéquate au but que l'on s'est donné; et qu'ensuite on peut - à la fois - en engendrer et qualifier les "sous-systèmes" relativement à telle ou telle vue, ce qui sépare automatiquement le "système" en "sous-systèmes" consistant en zones de telle ou telle valeur de l'aspect considéré;
  • Mais peut-on espérer que des modes de pensée traditionnels, inventés depuis des millénaires par la pensée mythologique ou depuis des siècles par la pensée rationaliste cartésienne, puissent être modifiés foncièrement?
  • la mutualisation des représentations de la Terre obtenues à tous moments par ces observatoires, pourrait en permanence engendrer une méta-représentation évolutive cohérente
  • "Sur le tissage des connaissances"
  • une séparation de l'ensemble des conceptualisations qui existe à tout moment donné, en une strate primordiale transférée enracinée dans le réel physique a-conceptuel, et une seconde strate d'épaisseur illimitée qui contient des modélisations de plus en plus complexes et de plus en plus entrelacées à l'intérieur d'un réseau de chaînes descriptionnelles hiérarchisées
  • en faisant écran opaque face au fragment de "réel en soi" mis en jeu
lucky semiosis

Calenda - Actualités dans le domaine du traitement et de la représentation de... - 0 views

  • 15h40 Claire-Charlotte Buttez (UMR 5190 LARHRA, Lyon) ,&nbsp;SyMoGIH, Mise en place d'un système d'information géo-historique pour la &nbsp;&nbsp;recherche historique.
    • lucky semiosis
       
      espace - temps - échelles ?
lucky semiosis

CYBER, INFORMATIONNELLE, NUMÉRIQUE… À NOUVELLES ÉCONOMIES, NOUVELLES CULTURES... - 0 views

  • la prémonition de McLuhan, pour qui nous serions ainsi revenus à un âge de « cueillette »… d’information [McLuhan, 1964].
    • lucky semiosis
       
      belle référence...
  • toute information nécessite de l’énergie et, réciproquement, que toute dépense énergétique possède un statut informationnel ; il n’y aurait donc entre information et énergie qu’une question d’échelle et non une différence de nature.
  • un nuage sémantique
  • ...10 more annotations...
  • Et j’avance tout de suite l’hypothèse que la différentiation entre les trois cultures va s’opérer, en simplifiant un peu les choses, selon trois niveaux de leur appréhension du concept d’information : niveau de surface / intermédiaire / fondamental.
  • De sorte que toute&nbsp; « information » véhicule toujours avec elle, pour qui veut bien s’y arrêter un peu, la question de son origine, de la distance qu’il a fallu combler pour la détenir.
  • Contrairement en effet à la culture numérique qui, en quelque sorte, se vit sur un mode plutôt spontané, la culture informationnelle se conçoit surtout comme un corpus à enseigner.
  • - il nous faut examiner comment pourtant nous « sortons » (métaphoriquement) de notre lieu d’espace-temps social et physique pour nous interroger et interroger le monde depuis son extérieur, opération qui n’a rien de tellement évident quand on y regarde de près ;
  • «… le devenir humain comme un processus de co-individuation à trois brins : l’individu psychique, l’individu collectif, et l’individu technique » [Stiegler, 2006 ; p. 35].
  • Dans cette démarche, on ne peut alors manquer de faire état de ce que la littérature anthropologique et analytique travaille depuis une quarantaine d’années au moins sur une triade fondamentale : réel/symbolique/imaginaire (RSI).
  • le seul avantage d’une situation devenue si opaque depuis ses débuts dans les séminaires de Jacques Lacan [Lacan, 1974] est qu’elle constitue un humus où s’autoriser à planter quelques graines.
  • Bref, une entité qui se contente d’être… et de persévérer dans sa croissance.
  • On dira donc que la cyberculture, au sens esquissé dans ce texte, tend à représenter le registre symbolique de la construction « culturelle » relative au stade actuel de la société d’information. Et c’est à travers elle, on l’a dit, que peut se mettre en place ce regard extérieur dont l’acuité permet de penser un minimum d’orientation et de pilotage de soi dans le cyberespace.
  • Dans la multiplicité des auteurs, des points de vue, des écoles, qui a produit l’histoire terminologique des trois cultures, il est devenu inévitable que la définition de chacune d’elles puisse interférer avec les autres.
lucky semiosis

Open Annotation: Beta Data Model Guide - 0 views

  • It does not in any way prescribe client user interface, nor internal client architecture.
    • lucky semiosis
       
      c'est justement ce qu'il manque pour que les données soient facilement compréhensible par des humains cf. la nécessité d'une représentation de la monade chez B. Latour 
  • Contrary to the prevailing view, in which the author of the Annotation and the author of the Body are the same, the Annotation, Body, and Target can have different authorship.
  • Figure 1: Baseline Model
    • lucky semiosis
       
      le modèle est exclusivement rhizomatique, il manque une dimension arborescente et une dimension de rapport entre l'arbre et le rhizome
  • ...1 more annotation...
  • It should have a timestamp of when the annotation relationship was created (dcterms:created) and a reference to the agent that created it (dcterms:creator). It is recommended that the object of dcterms:creator relationship be a foaf:Agent, and it have at least foaf:name and foaf:mbox properties.
    • lucky semiosis
       
      cf. projet FolkBiblio 
lucky semiosis

Projections algorithmiques et cyberespace - Cairn.info - 0 views

  • Structurellement, on identifie la strate matérielle réunissant l’ossature physique du réseau, les serveurs, routeurs, les interconnexions, les machines supportant le calcul, au sens d’une machine de Turing. 6 La seconde strate est constituée quant à elle de l’ensemble des programmes, codes d’origine humaine ou systémique, agents logiciels plus ou moins autonomes exécutés sur la première couche. 7 On la nomme strate algorithmique, sa nature informationnelle est compatible avec une description formelle. 8 La strate des calculs humains vient compléter l’édifice. C’est une couche créatrice qui engendre, sculpte et supervise les deux premières. Elle constitue aujourd’hui l’unique strate génératrice du feuilletage (en attendant les futurs systèmes de calculs autonomes, affranchis de toute assistance humaine, et eux-mêmes générateurs de codes).
    • lucky semiosis
       
      A ces trois strates correspondent trois genres de connaissances...
  • Un opérateur humain est noté H
  • Les ensembles IS (H/A) et IH (S/A) subsistent le temps de l’exécution de A sur S et se réduisent, après exécution, à une fraction d’information archivée sur le système incluant les métadonnées éventuellement créées par S lors de l’exécution de A. Cet ensemble informationnel appelé projection algorithmique sera noté PS (H/A).
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  • La projection algorithmique s’exprime donc comme une réunion disjointe des composantes ouverte et fermée&nbsp;: 37 PS (H/A)=POS (H/A) U PFS (H/A)
  • En croisant les partitions précédentes, on obtient une partition plus fine constituée des quatre composantes&nbsp;: La projection ouverte-volontaire POS (H/A) ∩ PVOL-S (H/A)La projection ouverte-systémique POS (H/A) ∩ PSYST-S (H/A)La projection fermée-volontaire PFS (H/A) ∩ PVOL-S (H/A)La projection fermée-systémique PFS (H/A) ∩ PSYST-S (H/A)
  • L’approche par projection sous-entend un positionnement situé à l’interface de deux strates de calculs&nbsp;: celle du calcul humain et celle du calcul artificiel. Cette zone abstraite, à la frontière de l’informatique du silicium et des stratégies humaines est en constante mutation (Dossé, Kempf, 2011).
  • L’accélération exponentielle de notre production de données numériques justifie, elle aussi, la recherche de représentations des flux d’information diffusant de l’espace physique vers le cyberespace.
  • La projection globale d’un individu contient par définition l’ensemble de ses traces numériques archivées, chacune marquée par son algorithme générateur.
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Calenda - La géophilosophie de Gilles Deleuze entre esthétiques et politiques - 0 views

  • 18h00&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp; Baptiste Morizot, ENS-Lyon, Le concept comme carte : Deleuze à la lumière du pragmatisme américain
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      Y'a-t-il un rapport avec J. Cage ?
  • 11h00&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp; Claudio Rozzoni, Université de Palerme (IT), Géoimages de la pensée. Figures esthétiques et personnages conceptuels
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      Comment représenter une ontologie vivante ?
  • 14h00&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp; Arnaud Bouaniche, Université de Lille3, Terre, milieu, territoire : coordonnées de la "géophilosophie" dans Qu'est-ce que la philosophie ? de G. Deleuze et F. Guattari
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  • 15h45&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp; Manola Antonioli, EHESS, Trajets dynamiques et cartes intensives
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Réseau National des Systèmes Complexes : AI2010-laureats - 0 views

  • 10 Bihanic David and Polacsek Thomas Contribution du design à l’ingénierie des systèmes complexes : étude des apports du design d’interface pour l’ingénierie des modèles
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      info design complexe...
  • 33 Alexis Drogoul, Jean-Daniel Zucker, Guillaume Hutzler and Duc-An Vo Un langage de modélisation multi-échelles pour représenter et spécifier les structures émergentes dans les modèles à base d'agents
    • lucky semiosis
       
      multi-agent pour la modélisation mult-échelle
  • 53 Thierry Poibeau, Jean-Philippe Cointet, camille Roth and David Chavalarias Caractériser les contenus du web social
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Novembre 2008 > Le web sémantique (2ème partie) : RDF, RDFs, OWL, etc. De la ... - 0 views

  • compréhensible par des machines
    • lucky semiosis
       
      je dirais plutôt "utilisable" par des machine Comment savoir ce qu'une machine comprend ????
  • les modes de paiement
    • lucky semiosis
       
      surtout ne pas oublié le buziness !
  • c'est en termes de représentation des connaissances qu'il faut penser le Web sémantique et le Web de demain
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  • accessible aux abonnés
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      merci pour l'ouverture
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Calenda - Science, imaginaire et représentation : le bachelardisme aujourd'hui - 0 views

  • 17h30 : Gaël CLOITRE, Université de Bourgogne : Le corpus bachelardien et les arbres de connaissance.
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      Très curieux d'en savoir plus...
  • 11h45 : Renato BOCCALI, Université de Milan : Géométries ontologiques de l’espace onirique. Sur la topologie et la dynamique du rêve.
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Calenda - Totalité et infini, une oeuvre de ruptures - 0 views

  • 17h15-18h00&nbsp;: Corinne Enaudeau – «&nbsp;Racines et déracinement de la représentation.&nbsp;»
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      vers une ontologie globale ?
  • 9h30-10h15&nbsp;: Michel Olivier – «&nbsp;Trace morpho-sémantique de l'Idée de l'infini.&nbsp;»
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Qu'est-ce que le Web Sémantique ? | C/blog - 0 views

  • En prenant pour unité non le document mais la ressource, niveau plus abstrait, irréductible aux fichiers présents sur un serveur, le Web définit des critères d’identité propre et, par-là même, le niveau qui est le sien&nbsp;: celui de l’universel par opposition au local.
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      En ce sens, la ressource vient du ciel et l'interprétation de la terre.
  • «&nbsp;Universel&nbsp;», ici, signifie qu’une ressource est dotée d’un certain sens, qui demeure peu ou prou constant quelles que soient les représentations transmises par un serveur.
  • Il est donc impossible de déterminer si un «&nbsp;document » est un document vivant ou un document mort[7], selon l’expression de Tim Berners-Lee. Autrement dit, le document mort n’est qu’un cas limite, asymptotique, d’un Web qui, dès ses origines, était bel et bien dynamique.
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  • Umberto Eco parle à cet égard de «&nbsp;contrat de la référence&nbsp;» pour marquer le fait que l’existence et la cohérence des entités auxquelles il est fait mention à l’aide d’un nom propre (ici, d’une URI), repose sur la crédibilité des interlocuteurs (en partant d’un constat très proche, nous avions évoquédans l’article cité écrit avec Nicolas Delaforge, le «&nbsp;contrat éditorial&nbsp;» à la base du Web).
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