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Eddie Javelle

Shugyo Renshu Essay - Tsuki Kage dojo - - 0 views

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    By Nathan Scott, May 10th, 1999 (last revised 7/23/2003) "Weakening the physical senses by practicing austerities is one way to allow the spiritual senses to become stronger. Activities like Zazen, fasting, ascetic practices in the mountains, and so on
Eddie Javelle

Dégainer, couper, rengainer partie 1 - Shugyo 修行 - 1 views

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    Kuroda sensei qui est à mon sens le maitre de sabre le plus impressionnant qu'il m'ait été donné de voir à l'heure actuelle, rédige quasi-mensuellement une chronique dans la revue Hiden, et participe de temps en temps à divers dossiers en rapport avec la
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    << "Dans la pratique des katas si chacun bouge comme il en a l'habitude, de la façon la plus confortable pour lui, cela ne sert à rien, c'est "dame na keïko". Les kata sont là pour nous apprendre à bouger d'une façon différente. Il est normal que leur pratique soit difficile. Bien sûr au départ on ne peut pas bouger correctement et le geste n'est donc pas juste. Mais si les points travaillés sont présent "heta na keïko" (entraînement maladroit) deviendra "jozu na keïko" (entraînement adroit). Au début du kata tu te positionnes de telle façon que tu puisses pousser sur tes jambes pour te relever. Tu utilises ton corps de la façon habituelle. Dans le passé il n'y avait quasiment aucune situation où un samouraï se trouvait assis avec son sabre. C'est pourtant une des bases du Iaïjutsu car cela nous permet de développer ukimi (corps flottant, un des principes de l'école de Kuroda senseï). Lorsque tu es assis ton sabre au fourreau et que ton adversaire est debout le sabre au clair, il est impossible d'agir à temps en utilisant ton corps de façon ordinaire car tu as deux fois plus de mouvements à réaliser. C'est ce qu'ukimi et les autres principes nous permettent d'exécuter. Il n'y a pas de préparation pour se lever, il n'y a pas le loisir de pousser dans le sol. Le sabre est dégainé et coupe tandis que l'on se relève. Peu importe qu'aujourd'hui tu ne puisses pas te relever en travaillant ukimi, c'est là l'entraînement. Si tu te relèves en utilisant ton corps de la façon habituelle cela n'est d'aucune utilité martiale et tu resteras dans le "dame na keïko".>> [Citation a ne pas détacher du contexte " Iaïjutsu " de Kuroda bien-sure ... mais intéressante a garder en tête]
Eddie Javelle

Suburis - Shugyo - 1 views

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    Même si cet exercice semble barbant pour de nombreux kendokas débutants, il est absolument fondamental, et recèle en lui une grande part du Kendo tout entier. Il renforce et assouplit les muscles, il fait travailler l'endurance par le souffle, apprend la décontraction des bras, en un mot il est la préparation du corps à l'exercice du Kendo.

    Les kenshis pratiquent ces exercices des centaines de milliers, voire des millions de fois, au cours de toute leur carrière, et même haut gradés, y attachent une grande importance.
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    - Tamura : pratiquer le sabre tous les matins (sans préciser combien ni comment, mais bon, c'est bien de lui ça) - Daniel Toutain : 1000 suburis tous les matins pendant 3 ans sans faiblir, mais commence doucement par 500. - Philippe Cocconi : 300 à 500 suburis pour un échauffement, c'est raisonnable ! -Jaff Raji : faut pas hésiter. 800 à 1000 suburis quotidien - René VDB : quand j'étais jeune je faisais des suburis avec une barre en fer. Cela m'a abîmé. J'ai dû reprendre avec un bokken, de 500 à 1000 par jour pendant des années - Tiki Shewan : si vous voulez rentrer dans le ma-aï, de-aï et tous les concepts du kenjutsu ou iaïdo, il faut pratiquer plusieurs centaines de suburis par jour, sinon c'est impossible de comprendre quoi que ce soit. Sans parler de réaliser quoi que ce soit.
Eddie Javelle

Kamae: conception de Sagawa sensei - Shugyo 修行 - 0 views

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    Avouons-le dès à présent, je suis plutôt dans ma phase Daito ryu actuellement. Je tente en ce moment la lecture et la traduction d'un ouvrage de l'écrivain Tsumoto Yo qui retrace la vie de Takeda Sokaku, "la couronne du démon" (鬼の冠, oni no kanmuri) et dont j'essayerai de parler plus tard, et je me suis replongé dans un des livres de Yoshimaru Keisetsu, un maitre du Daito ryu, peu connu en Europe, et qui fut un des élèves privilégiés de Sagawa Yukiyoshi dans les années 60-70.
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