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abrugiere

Silke HELFRICH : pour une société des communs - Millenaire3 - 2 views

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    La reconnaissance et la préservation de ce monde commun qui fonde la vie en société (le vivant, les ressources naturelles ou encore le patrimoine immatériel de l'humanité) est au cœur de la réflexion et de l'engagement de SilkeHelfrich. Prenant acte des difficultés rencontrées par le marché et le politique pour apporter de véritables réponses à l'enjeu des communs, elle a pris le parti d'explorer, de partager et de promouvoir les solutions développées par les communautés locales elles-mêmes. Reposant sur une attention et une implication de chacun, ces initiatives témoignent de la capacité de ces communautés à se donner des normes et des règles, et parviennent non seulement à protéger durablement leurs ressources mais également à renforcer les liens sociaux qui les animent. Pour SilkeHelfrich, chacun est appelé à prendre conscience de ses responsabilités en tant que copossesseur des « choses qui nous sont communes », afin d'en tirer davantage de liberté et de communauté.
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    Le terme « communs » décrit les relations particulières qui se nouent entre des ressources d'usage commun (ou biens communs) et un groupe d'individus, la communauté. Ces relations particulières ne sont pas des relations de propriété mais plutôt de possession collective et de responsabilité. Ce dont il est question n'est pas l'eau, l'atmosphère, ou les connaissances partagées sur Wikipédia, mais plutôt des humains, de leurs relations sociales et des décisions qu'ils prennent par rapport à ces bien partagés.  Le processus des communs est un processus réflexif qui fait qu'un individu qui s'engage dans la communauté contribue à transformer le monde mais se transforme lui-même en même temps. Et pour faciliter cette bascule d'une société de l'argent à une société des liens, la logique des communs est particulièrement intéressante. Plutôt que de se focaliser sur « de quoi avons-nous besoin ? », nous devrions nous demander « qu'est-ce que nous avons ? », « sur quoi pouvons-nous compter ? », et surtout « quelles ressources pouvons-nous mettre en commun ? ». En effet, c'est en mettant nos ressources en commun que nous pouvons produire de la nourriture, se loger et résoudre toutes sortes de problèmes auxquels nous sommes confrontés. Cette logique de mise en commun de ressources nous permet aussi de reprendre confiance en nous et du coup de se sentir capable de se prendre en main et gérer ces ressources ensembles.
abrugiere

Qui sont les travailleurs de l'"Uber economy" ? - JDN - 0 views

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    Revenu à 18 dollars par heure aux Etats-Unis. Il est plus élevé dans le secteur du "revenu passif" (location sur Airbnb) et dans les transports (VTC) : 25 dollars en moyenne par heure. 38,3% des travailleurs de l'économie on-demand se disent étudiants tandis que 35,3% font des plateformes de services leur activité principale. Preuve de l'explosion du modèle, 62,6% des répondants ont rejoint une société de services à la demande pendant les douze derniers mois, contre 16,2% seulement il y a plus de trois ans. Les chercheurs ont demandé aux travailleurs d'indiquer dans quel secteur les sociétés de services à la demande pour lesquels ils travaillent se situent. Les "travaux manuels", comme les services de plomberie ou de ménage, par exemple, arrivent en tête. Suivent les sociétés de transports comme les VTC, puis la livraison, et enfin les plateformes qui permettent aux utilisateurs d'engranger un "revenu passivement", comme Airbnb en louant son appartement. 49,4% des travailleurs indépendants inscrits sur des plateformes sont titulaires d'un diplôme universitaire.- Selon l'étude menée par Requests for Startups, les travailleurs de l'économie à la demande sont plutôt des hommes (72,7%), jeunes (70% ont entre 18 et 34 ans), célibataires (65,7%). 
marinealbarede

The sharing economy must share the risks - FT.com - 0 views

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    Dans un contexte de transformations du travail, d'augmentation du nombre des indépendants ou du travail "à la tâche", les garantes sociales du XXe siècle, ne semblent plus totalement adaptées. Comment faire en sorte que les sociétés qui font travailler ces nouveaux indépendants (Uber, etc.) ne profitent pas de ces derniers en transférant sur eux toute la responsabilité, mais aussi les risques ? Comment la société peut-elle s'adapter à ces évolutions, en offrant de nouvelles formes de garanties ?
marinealbarede

83% des Français préfèrent l'usage à la possession - 1 views

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    La consommation collaborative est en train de s'installer durablement dans le paysage de la consommation, mais n'est pas liée à un rejet brutal du modèle de société actuel, conclut l'Observatoire Société et Consommation (ObSoCo), qui dévoilait il y a peu les résultats de sa dernière étude.
hubert guillaud

Que signifient les poussées tarifaires d'Uber ? - NYTimes.com - 1 views

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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
julien camacho

Forget the Cellphone Fight - We Should Be Allowed to Unlock Everything We Own | Wired O... - 0 views

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    Article en anglais qui aborde la question de l'appropriation des objets dans une société qui devient hyper-servicielle. En passant de la propriété à l'usage nous perdons le contrôle, de nouvelles formes d'obsolescence programmée apparaissent
julien camacho

Futuribles - 1 views

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    Le 21 mai, le PNUE (Programme des Nations unies pour l'environnement) a annoncé le lancement du Portail mondial pour la consommation et la production durables. L'objectif de ce portail est de rassembler en un lieu unique les informations existantes sur la consommation et la production durables, afin d'encourager la communication et la coopération entre les nombreux acteurs impliqués. Le site s'adresse donc aussi bien aux gouvernements, aux entreprises et aux chercheurs qu'à la société civile.
marinealbarede

Le Monde - Vendre des objets numériques d'occasion : un business-model en con... - 0 views

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    Revendre sa musique ou autres fichiers numériques stockés sur l'ordinateur est pour l'heure impossible en Europe. Pour l'instant, le droit ne prévoit pas cette éventualité et aucune société ne le propose.
julien camacho

Le supermarché collaboratif débarque à Paris - 2 views

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    L'expérience des magasins coopératifs new-yorkais et londoniens pourrait servir de modèle à la création prochaine d'une succursale associative francilienne. S'ils sont connus une recrudescence d'adhésions depuis les prémisses de la crise de 2008, ces initiatives existent depuis les années 70 sous leur forme actuelle, mais leur origine remonte à l'Angleterre du XIXème siècle, et aux conséquences de la paupérisation massive de la population dans l'industrie naissante (Robert Owen). En France aussi les premières associations ouvrières sont des associations de consommation...
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    ..La perspective de s'alimenter à moindre coût représente un élément de motivation fort dans la structuration de ces initiatives. Mais comme toute entreprise collective qui fonctionne sur le principe de libre adhésion (au sens coopératif d'adhésion motivée, voire passionnée), elles sont également portées et traversées par des représentations et des valeurs communes qui donnent un sens à l'action collective. On peut citer le réseau coopératif BIOCOOP comme exemple français éprouvé. Il est né à la sortie des années 70 de mouvements émergents de la société civile, porté par les premiers militant écologistes, et s'est déployé en une trentaine d'années sur l'échelle nationale. Aujourd'hui, nombreux sont les acteurs du monde militant agricole qui critiquent l'isomorphisme entre le réseau et les pratiques de la grande distribution. On peut émettre l'hypothèse que c'est en trouvant un modèle économique évacuant le bénévolat que BIOCOOP s'est progressivement éloignée de sa posture politique d'origine. Cela souligne aussi le flou juridique qui entoure les modèles d'entreprises coopératives qui fonctionnent sur les principes associatifs, ou inversement. Dans leur rapport au marché libre et concurrentiel, le législateur a échoué à proposer un statut clair dont les initiatives populaires puissent se saisir, en témoigne l'aménagement du statut coopératif le plus récent, la Société Coopérative d'Intérêt Collectif.
abrugiere

Altercarto.fr - Blog - 0 views

  • définition des biens communs et de son rapport à la question de la propriété intellectuelle
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     les formes dominantes actuelles de propriété et de rapport à la production ont une histoire courte à l'aune de l'ensemble de l'histoire humaine. Ce qui apparaît comme la seule modalité de propriété et de modes de production, actuellement, ne serait donc qu'une modalité dans l'histoire humaine, et non la seule possibilité de fonctionner. L'opensource a ouvert un champ très large de biens communs dans le domaine du software, en biologie, l'approche des biens communs ouvre également à de nouvelles formes de production et de nouvelles approches des enjeux (en lien avec les questions de souveraineté naturelle notamment). dans la théorie capitaliste, un bien s'use, et voit ainsi sa valeur baisser dans le temps. A l'inverse, une création intellectuelle voit sa valeur croître dans le temps. Plus on l'utilise, plus cette création a de la valeur. Plus qu'une création, c'est une source continue de contributions. l'Opendata comme bien commun culturel, élément fondamental pour la construction au sein de la société civile d'une capacité d'interprétation des données statistiques publiques, de leur usage et de leur mobilisation dans des discussions et des critiques des politiques publiques. L'enjeu est ici d'obtenir la mise en délibération des données et conclusions qui en sont tirées par les experts ou les gouvernants, qui se traduisent par des politiques publiques envers la population. Il s'agit donc bien de construire une capacité à demander le droit à la délibération sur les bases qui fondent les politiques publiques.
julien camacho

BALLE : 30 000 entrepreneurs indépendants lancent la révolution tranquille de... - 0 views

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    Depuis des années, la société et l'économie nord-américaines sont malmenées. Cette crise n'est pas seulement économique, c'est aussi une crise du fonctionnement démocratique et, plus profondément, une crise des valeurs partagées : le « rêve américain » bat de l'aile. Dans ce contexte, de multiples initiatives voient le jour pour changer la donne. Le réseau BALLE en est une, particulièrement dynamique et novatrice.
Veronique Routin

Uber lance un nouveau service de covoiturage urbain - 0 views

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    Uber lance un nouveau service de covoiturage à Paris sur des trajets cours uniquement. Uber est une société américaine de VTC (véhicule tourisme avec chauffeur). Concernant le vocabulaire utilisé, on parle de chauffeur "amateur" pour parler d'économie Pair à Pair.
marinealbarede

Le Monde - En France, la consommation a de l'avenir - 0 views

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    "La crise économique cacherait-elle une prise de conscience des consommateurs, augurant un développement plus durable de la société ? La sobriété pourrait-elle devenir le nouvel idéal d'un monde aux ressources finies et à la démographie galopante ? Ce sont les questions sur lesquelles a planché l'association de prospective Futuribles International, dans une vaste étude qui doit s'achever à la fin du mois de janvier. Pendant un an, l'équipe de scientifiques a passé au crible 300 postes de consommation de biens et services référencés par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) depuis 1960."
julien camacho

Hugues de Jouvenel : « L'économie collaborative peut et doit créer des emplois » - 1 views

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    Fondateur de la revue prospective Futuribles, Hugues de Jouvenel participait cette semaine au Forum de l'Economie Collaborative de Bordeaux. Selon lui, le phénomène du "co-", du couchsurfing au covoiturage, en passant par le coworking, est directement lié aux grandes mutations que traversent nos sociétés développées. A ces dernières de s'adapter à ce nouveau paradigme, où l'accès au service remplace la possession. Entretien.
marinealbarede

Eco-Sapiens - Splendeur et misère des partisans de l'économie collaborative - 1 views

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    Un billet soulignant les ambiguïtés du langage de l'économie collaborative, mais aussi les ambiguïtés de l'économie collaborative elle-même (création réelle de lien VS individualisme accru, modèle de société alternatif VS une autre voie du capitalisme, etc.).
marinealbarede

Why Airbnb wants you to know how much its users are spending - Washington Post - 2 views

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    La plupart des startups ne sont pas autant préoccupées qu'AirBnb a montrer ses résultats : des utilisateurs qui restent deux fois plus longtemps que des touristes normaux et qui dépensent 300$ de plus en moyenne par voyage... Parce que les startups de l'économie collaborative doivent montrer qu'elles favorisent la consommation et l'activité économique pour justifier leur place dans le bouleversement qu'elles instaurent et limiter les effets de la réglementation qui les menace. Pour répondre à la critique que les locations d'AirBnb auraient un impact à la hausse sur les loyers, la startup a commandé une étude à Ken Rosen, président du Centre Fisher pour la recherche en économie urbaine de Berkeley. Pour Rosen, à San Francisco, le nombre de propriété offert à la location sur AirBnb est trop faible pour que le site ait un impact sur la hausse des loyers. Sans compter que 82% des offreurs de biens sur AirBnb partagent la maison qu'ils habitent.
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    Airbnb enquête auprès de ses usagers, afin de savoir combien ils dépensent lors d'un séjour... afin de démontrer comment les villes en bénéficient d'un point de vue économique. La startup en a même fait un véritable argument de promotion (comment ses utilisateurs consomment plus, consomment différemment, comment les retombées économiques se font dans des quartiers moins touristiques que ceux concernés habituellement par l'hôtellerie, etc.)
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    Il existe déjà des formes de coopération dans le vieux monde. Les impôts, les taxes, les aides, notamment les aides au logement en France. Prenons un exemple: le coût élevé du logement social (loyer modéré, ou programmes types Duflot), en particulier dans Paris, est un effort positif auquel consent la société pour permettre de réduire la charge incombant au bénéficiaire à la partie congrue. Cet effort sera complètement dévoyé lorqu'il serva à démultiplier la rentabilité d'une location de ce logement en chambre d'hôte. Hors qu'est ce qui empêche fondamentalement que le marché ne se développe dans ce sens, dans une ville touristique où nombre de logement à faible loyer sont indiscernables de logement classiques en terme de standing? Tout business qui va dans le sens d'une déconcentration et d'une collaboration de pair à pair comporte sans doute en lui une vertue. Mais la valeur d'une innovation ne peut pas se fonder uniquement sur la suppression pure et simple de mécanismes de régulation ou de redistribution sociale. Sans quoi la société s'y opposera, et malheureusement elle aura toute légitimité à le faire.
marinealbarede

Les chauffeurs d'Uber râlent : la VTC, ce n'est plus ce que c'était - Le nouv... - 4 views

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    Les conducteurs de VTC d'Uber, l'un des leaders du marché des applications, sont la cible des critiques des des taxis ; mais certains chauffeurs de la société estiment désormais que leur sort n'est pas plus enviable. Ils affirment que leurs conditions de travail se sont dégradées.
Veronique Routin

Ne prenons pas (tous) les scouts numériques de l'économie collaborative pour ... - 3 views

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    Interrogation autour du partage, sharing dans économie collaborative : - s'appuie sur les utilisateurs : la multitude (Colln Verdier,) le travail du consommateur (Marie-Anne Dujarier), la pollinisation de l'économie (Yann Moulier-Boutang), - se fonde sur une désintermédiation là où ces sociétés via des plateformes sont de nouveaux intermédiaires - s'inspire du mode de travail open source -
marinealbarede

Les méthodes douteuses d'Uber pour étouffer la concurrence | Silicon 2.0 - 1 views

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    "Décidément, Uber ne reste jamais bien longtemps éloigné de la polémique. Contestée par les taxis - que son patron et fondateur Travis Kalanick n'hésite pas à publiquement insulter - et observée de près par les régulateurs un peu partout dans le monde, la société de transport est de nouveau dans l'œil du cyclone. En cause: des mémos internes, publiés par le site américain The Verge, détaillant ses méthodes plus que douteuses pour anéantir Lyft, son principal concurrent américain."
marinealbarede

Influencia - La consommation responsable doit-elle se réformer ? - 1 views

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    Une nouvelle étude sur les pratiques de consommation des français, et particulière de consommation responsable : "Consommer responsable, c'est presque acquis ! Mais si chacun s'y engage de plus en plus, c'est selon ses propres préoccupations ou motivations tandis que le pouvoir des actions collectives est également de plus en plus fort. Un paradoxe, reflet de la société civile et décrypté par « Un pour un, Un pour tous », l'étude typologique de consommateurs réalisée par Ethicity, avec l'Ademe".
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