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Home/ Cinéma et Philosophie/ Group items tagged Méliès

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Le Voyage extraordinaire de Serge Bromberg suivi du Voyage dans la lune de Ge... - 0 views

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    Ce dossier pédagogique (48 pages, 2,3 Mo) a été réalisé par Hélène Mansouri (Français, Histoire des arts), Alain Roger (Arts plastiques, Histoire des Arts) et Vital Philippot (Approches thématiques) pour le site Zérodeconduite.net.
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"Mon oncle" de Jacques Tati analysé par Stéphane Goudet - 0 views

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    Spécialiste du genre burlesque et notamment de Jacques Tati, Stéphane Goudet est maître de conférences à l'université Paris 1. Ancien critique à Positif, il dirige également le cinéma Méliès de Montreuil. La machine, dans Mon oncle, est associée à l'un des seuls moments où Hulot travaille, dans la séquence des tuyaux qui revisite À nous la liberté et Les Temps modernes. Mais elle est également présente par le biais des voitures, préfigurant l'engin dont Hulot deviendra concepteur dans Trafic. (Stéphane Goudet)
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La couleur au cinéma - 1 views

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    Malgré les travaux de Ducos Du Hauron qui avait démontré la possibilité d'avoir des photographies en couleur par trichromie, les premières tentatives pour donner des couleurs aux films se firent par coloriage. En 1897, Georges Méliès fit colorier à la main les images de son film de 60 mètres : « La manoir du diable ».
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« Le cinéma face à l'histoire » - Dossier de présentation - 2 views

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    Une fascination immédiate De même que les mondes futurs ou imaginaires, les mondes passés ont toujours fasciné le cinéma. Avec leurs décors grandioses, leurs costumes chatoyants (on parle souvent de « films en costume » pour souligner leur importance), les films historiques offrent une promesse de grand spectacle et de dépaysement immédiat. A côté de son célèbre Voyage dans la lune et autres fantasmagories, George Méliès tourne ainsi une Cléôpatre et une Jeanne d'Arc. Mais ce sont deux films produits la même année qui par leur succès vont marquer leur temps et célébrer les noces du couple « cinéma et histoire ». L'Assassinat du duc de Guise (1908) d'André Calmettes est à la fois l'une des premières tentatives de reconstituer une scène historique, et le premier « film d'art », pour reprendre le nom de la société qui le produit : il a été écrit par un académicien, interprété par des comédiens de la Comédie Française, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Son succès va sortir le « cinématographe » des baraques de foire et du mépris dans lequel le tiennent les intellectuels, et constituer le film historique comme un genre à part entière. Au même moment Luigi Maggi tourne en Italie Les Derniers Jours de Pompéi (1908), premier avatar d'un genre, le peplum, qui va faire les beaux jours du cinéma italien (Cabiria de Giovanni Pastrone, 1918) puis américain (voir les fresques bibliques de Cecil B. de Mille).
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