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hamelinclara

Le « big data » s'attaque au diagnostic médical, Actualités - 0 views

  •  A titre personnel, ça ne m'emballe pas du tout, estime Francis Lévi, membre de l'Académie des technologies et directeur de l'unité rythmes biologiques et cancers de l'Inserm. D'abord parce que l'idée d'établir des arbres de décision personnalisés aboutit au risque de faire de la médecine sans médecins. Ensuite parce que les données publiées dans la littérature médicale ne reflètent pas forcément la réalité de la médecine, car elles correspondent à des patients correspondant aux critères de l'étude
  •  Il n'y a pas de frein technologique aux outils d'aide au diagnostic, mais il y a deux domaines fondamentaux : la sécurité des données, qui ne doivent être ni communiquées ni modifiées par un tiers. Mais aussi la formation des médecins et des usagers : il faudra expliquer ces nouveaux outils pour que chacun comprenne leurs limites. »
  • « Pour créer de meilleurs outils d'aide au diagnostic, il faudra arriver à trouver une structuration commune à toutes les pratiques médicales, ce qui est loin d'être le cas », estime Pierre-Henri Comble
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  • « L'objectif n'est pas de se substituer au médecin, indique Pascal Sempé, directeur du business development pour IBM Research, mais d'améliorer la façon dont il va prendre une décision. »
  • « Watson s'appuie pour cela sur trois compétences complémentaires qu'il est, à ma connaissance, le seul à réunir, détaille Patrice Poiraud, directeur business analytics et optimisation chez IBM France. D'abord sa capacité à comprendre le langage naturel : il n'a pas besoin que les données soient structurées pour fonctionner. Ensuite la possibilité de formuler des hypothèses en étant capable de les justifier. Enfin la capacité à s'adapter et à apprendre : la qualité des résultats proposés s'améliore au fur et à mesure que le nombre de cas traités augmente. »
hamelinclara

Industrie pharmaceutique : les nouvelles stratégies de services autour du méd... - 1 views

  • 1 - La remise en question des fondamentaux du secteur Le déclin du modèle des blockbusters L'essor de la menace générique Le durcissement des conditions d'accès et de maintien sur le marché Un nouveau modèle axé sur les produits de spécialité 2 - L’impact de ces nouvelles configurations sur l’offre des laboratoires La diversification des portefeuilles d'activité Vers une médecine personnalisée ? Les enjeux de l'amélioration de l'observance L'émergence de solutions de « gestion de la santé du patient » 3 - Le patient au cœur de la stratégie de services de l’industrie pharmaceutique Une démarche centrée sur le patient et non plus seulement sur le produit et la technologie L'implication croissante des patients dans la prise en charge de leur santé Les services proposés aux professionnels de santé : formation et information, aides autour de la chaîne de distribution L'éclosion de la gestion de la relation patient (GRP) en France GRP et disease management 4 - Le développement des programmes d’accompagnement patient Les étapes clés en France L'encadrement des relations patients et industrie pharmaceutique La loi HPST donne un cadre limité d'intervention aux laboratoires Les programmes d'apprentissage, d'aide à l'observance et d'ETP Focus : Betaplus de Bayer Healthcare, Eli Lilly, CoaguCheck Link de Roche Diagnostics 5 - Les partenaires stratégiques des laboratoires dans l’accompagnement des patients Disease managers et opérateurs de programmes patient Associations de patients et sociétés savantes Les sociétés de TIC 6 - Les perspectives de ces nouvelles offres Leviers et freins au développement de ces offres de services Place des services dans les procédures d'AMM et de P&R Quel impact sur l'organisation des laboratoires ? Les nouveaux services à horizon 2020
  • L’adaptation des modèles commerciaux et marketing d’une industrie tenaillée entre générification et durcissement des conditions de market access Le passage du produit au service ? Les laboratoires font aujourd’hui face à la concurrence de plus en plus précoce des génériques une fois leurs produits tombés dans le domaine public et au durcissement de leur environnement réglementaire et politique. L’industrie pharmaceutique fait ainsi évoluer ses stratégies commerciales et marketing en associant au médicament des services visant à satisfaire à la fois les autorités de santé, les payeurs, les professionnels de santé et in fine les patients. L’amélioration de l’efficacité des traitements, un enjeu économique pour l’industrie pharmaceutique et de santé publique pour les autorités de santé Comment optimiser l’efficacité et l’efficience des traitements ? Les programmes d’accompagnement patient s’intègrent dans cette stratégie, bien qu’en France, le contexte réglementaire reste encore flou : si la loi HPST a inscrit l’éducation thérapeutique dans le parcours de soins, les décrets d’application concernant l’intervention de l’industrie pharmaceutique n’ont toujours pas été votés. Eli Lilly dans l’ostéoporose ou Roche Diagnostics pour un anticoagulant cherchent à développer l’autonomie des patients dans la prise en charge de leur(s) traitement(s), à s’adapter au plus près de leurs besoins réels et à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.).
  • Des partenariats stratégiques multipliés avec des acteurs spécialisés ou non dans la santé… … pour des services qui vont devenir des éléments indispensables d’accès et de maintien sur le marché pour les médicaments, ainsi que des procédures de prix et remboursement L’industrie pharmaceutique est amenée à travailler à la fois avec les autorités de santé nationales et régionales, les associations de patients, mais surtout les sociétés spécialisées et les call-centers (Vivactis Mail Call, Direct Medica, etc.), ainsi que les spécialistes des TIC ou encore les sociétés d’assistance. Les nouvelles technologies de transmission de l’information leur permettent notamment de se positionner en « entreprise de santé » capable de répondre à l’ensemble des étapes depuis la conception et la commercialisation du médicament jusqu’à sa distribution et son administration par le patient, notamment dans le cadre des maladies chroniques et des pathologies lourdes.
hamelinclara

Biopharmaceutics - Wikipedia, the free encyclopedia - 0 views

  • Biopharmaceutics is the field of study concerning biopharmaceuticals, medical drugs (see pharmacology) produced using biotechnology. They include proteins (including antibodies), nucleic acids (DNA, RNA or antisense oligonucleotides) and living microorganisms like virus and bacteria where the virulence of viruses and bacteria is reduced by the process of attenuation, they can be used for therapeutic or in vivo diagnostic purposes, and are produced by means other than direct extraction from a native (non-engineered) biological source
  • Biopharmaceuticals may be produced from microbial cells (e.g. recombinant E. coli or yeast cultures), mammalian cell lines (see cell culture) and plant cell cultures (see plant tissue culture) and moss plants in bioreactors of various configurations, including photo-bioreactors.[4] Important issues of concern are cost of production (a low volume, high purity product is desirable) and microbial contamination (by bacteria, viruses, mycoplasma, etc.). Alternative platforms of production which are being tested include whole plants (plant-made pharmaceuticals).
hamelinclara

Industrie pharmaceutique : les nouvelles stratégies de services autour du méd... - 0 views

  • Le passage du produit au service ? Les laboratoires font aujourd’hui face à la concurrence de plus en plus précoce des génériques une fois leurs produits tombés dans le domaine public et au durcissement de leur environnement réglementaire et politique. L’industrie pharmaceutique fait ainsi évoluer ses stratégies commerciales et marketing en associant au médicament des services visant à satisfaire à la fois les autorités de santé, les payeurs, les professionnels de santé et in fine les patients.
  • Comment optimiser l’efficacité et l’efficience des traitements ? Les programmes d’accompagnement patient s’intègrent dans cette stratégie, bien qu’en France, le contexte réglementaire reste encore flou : si la loi HPST a inscrit l’éducation thérapeutique dans le parcours de soins, les décrets d’application concernant l’intervention de l’industrie pharmaceutique n’ont toujours pas été votés. Eli Lilly dans l’ostéoporose ou Roche Diagnostics pour un anticoagulant cherchent à développer l’autonomie des patients dans la prise en charge de leur(s) traitement(s), à s’adapter au plus près de leurs besoins réels et à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.).
  • Des partenariats stratégiques multipliés avec des acteurs spécialisés ou non dans la santé… … pour des services qui vont devenir des éléments indispensables d’accès et de maintien sur le marché pour les médicaments, ainsi que des procédures de prix et remboursement L’industrie pharmaceutique est amenée à travailler à la fois avec les autorités de santé nationales et régionales, les associations de patients, mais surtout les sociétés spécialisées et les call-centers (Vivactis Mail Call, Direct Medica, etc.), ainsi que les spécialistes des TIC ou encore les sociétés d’assistance. Les nouvelles technologies de transmission de l’information leur permettent notamment de se positionner en « entreprise de santé » capable de répondre à l’ensemble des étapes depuis la conception et la commercialisation du médicament jusqu’à sa distribution et son administration par le patient, notamment dans le cadre des maladies chroniques et des pathologies lourdes.
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  • Stéphanie Lavielle, titulaire d'une maîtrise des Sciences de Gestion de Paris IX Dauphine et d'un DESS de Marketing Pharmaceutique, a travaillé pendant plus de 10 ans dans l'industrie pharmaceutique (Roche-Nicholas, Novartis Santé Familiale, Ménarini), où elle a occupé des postes de chef de gamme. Elle bénéficie d’une expertise en marketing pharmaceutique et d'une connaissance approfondie du système de santé français.
hamelinclara

Industrie pharmaceutique : Nouvelles stratégies pour valoriser le médicament ... - 0 views

  • Nouvelles stratégies Une nouvelle étude fort intéressante en ce qu’elle révèle clairement les nouvelles stratégies des laboratoires dans la chaîne du médicament. Le cadre réglementaire se durcissant de manière croissante, en particulier en ce qui concerne la fameuse visite médicale, il faut bien inventer de « nouvelles voies » pour « parler de ses médicaments ». Comme j’y ai déjà fait allusion à plusieurs reprises, l’une de ces voies majeures passe par le contact avec le patient. Nous allons voir, à la lumière de la présentation de cette étude comme les laboratoires comptent s’y prendre (et s’y prennent déjà d’ailleurs) : Le titre de l’étude est précisément « Industrie pharmaceutique : les nouvelles stratégies de services autour du médicament » avec un sous-titre qui permet de comprendre tout de suite de quoi l’on parle « Education thérapeutique, aide à l’observance, gestion de la relation patient… Les nouvelles voies de valorisation du médicament »
  • « Les programmes d’accompagnement patient s’intègrent dans cette stratégie, bien qu’en France, le contexte réglementaire reste encore flou : si la loi HPST a inscrit l’éducation thérapeutique dans le parcours de soins, les décrets d’application concernant l’intervention de l’industrie pharmaceutique n’ont toujours pas été votés. »
  • « Eli Lilly dans l’ostéoporose ou Roche Diagnostics pour un anticoagulant cherchent à développer l’autonomie des patients dans la prise en charge de leur(s) traitement(s), à s’adapter au plus près de leurs besoins réels et à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.).
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  • « Empower the patient » Développer l’autonomie du patient, pourquoi me direz-vous ? Mais pour qu’il demande lui-même comme un grand au prescripteur le médicament qu’il souhaite se voir prescrire, « qu’il se prenne en charge », c’est là l’un des sens (retors s’il en est) du fameux « empower the patient »)…  Quand à ce qui suit « à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.) » et bien c’est tout simplement ce que je dénonce depuis plusieurs années, à savoir une influence et une communication médicaments (une forme de marketing aussi n’ayons pas peur des mots) à travers les outils dernière génération du web… Pourquoi croyez-vous que les laboratoires s’intéressent de si près aux évènements type Doctors 2.0, etc ?
hamelinclara

La Reco 2013 du Think Tank Economie Santé : comment passer du projet à la réa... - 0 views

  • « Vos propositions sont cohérentes et devraient susciter l'unanimité (au moins sur les objectifs) a réagi Patricia Siwek (Haut Conseil de la Santé Publique). Cependant il me semble qu'il manque en préalable de vos travaux un états des lieux   et une évaluation de tous les dispositifs qui ont eu comme objectif (a minima) d'assurer la coordination des soins. Que ce soit les Clic, dont on dit que ce fut un échec, le forfait de 40 euros versé aux médecins, par année et pour chaque patient en ALD (ce qui représente quand même une grosse somme si on considère les plus de 10 millions de personnes en ALD), ou encore le "médecin traitant" mis en place par la réforme de l'assurance maladie de 2004, le DMP, pourtant si indispensable et qui malgré les financements très importants mis en œuvre n'a pas réussi à s'imposer... Aucune de ces mesures n'a rempli son office et aucun diagnostic n'a été réalisé concernant les causes de cet éch
  •  « Ayant participé aux travaux du Pole Finance Innovation sur le thème « Longévité et bien-vieillir » explique Jérôme Sallard ( Octen consulting) « nous étions arrivés à des conclusions tout à fait similaires sur certains points , comme la nécessité d’un point orientation (ou l’assureur pourrait tenir son rang, étant financeur, preneur de risque et apporteur de services) mais aussi la nécessité d’avoir une approche globale qui permette de coordonner l’ensemble des besoins des personnes concernées.
  •  Il y a urgence. Sur les six millions de 75 ans et plus, un tiers est hospitalisé au moins une fois par an et dans un cas sur deux en urgence !  Il s’agit là d’une thématique d’avenir. Chaque année en France il y a 100 000 nouvelles personnes âgées de plus de 75 ans. En 2030 : deux millions de plus soit 8 millions.  Cette Reco est structurante car elle s’attaque à un des défauts majeurs du système de soins français, l’insuffisance de coordination qui le concerne dans son ensemble.
hamelinclara

Le magazine américain "Forbes" désigne l'année 2013 comme l'année de la e-san... - 0 views

  • Ces avancées technologiques pour le grand public suffiraient à elles seules à susciter un engouement de la part des investisseurs. Le marché des applications « bien-être » ou d’information sur la santé en ligne est d’ores et déjà colossal et se développe à une allure vertigineuse. Mais la réelle nouveauté réside pour le magazine dans le fait que l’enjeu de développement économique se double d’une nécessaire maîtrise des coûts de santé, voulue par les Etats et plébiscitée par l’opinion publique. La mise en œuvre aux Etats-Unis de la couverture santé universelle (ou Patient Protection and Affordable Care Act, dénommée « Obamacare ») cristallise le débat politique et pour cause : dans un contexte de crise économique doublée d’une augmentation des coûts des soins se pose le dilemme d’une santé accessible à chacun mais supportable par tous. La e-santé est vue par les Etats comme le moyen d’améliorer l’efficience des soins tout en responsabilisant les citoyens sur leur santé et éviter ainsi les gaspillages, ce qui les conduit à investir pour développer le secteur. Par ailleurs, l’arrivée des technologies numériques est perçue comme une évolution naturelle de la médecine dont le progrès est une obligation morale afin de faire bénéficier les pays en développement de ces progrès. Ainsi, à l’image du « Tricorder X-Prize » lancé en janvier 2012, plusieurs fondations philanthropiques outre-Atlantique lèvent des fonds pour accélérer le développement de la e-santé et faire progresser la médecine pour une meilleure qualité des soins ayant pour conséquence une meilleure qualité de vie et des traitements vitaux pour tous. Cette valeur-là, elle, est inestimable.
  • Plusieurs des arguments avancés concernent les récents bonds en avant des technologies numériques et leur impact dans la société. Après avoir transformé des secteurs comme l’administration ou le commerce, le numérique atteint désormais un niveau de sécurité et d’acceptabilité par le grand public qui lui permet de s’attaquer à la santé. En très peu de temps, l’informatique s’est démocratisée. A la faveur notamment du développement fulgurant des smartphones, réseaux internet mobiles et autres tablettes tactiles, le numérique est sorti des chambres d’adolescents geeks pour s’installer durablement dans toutes les poches. Ces terminaux sont désormais la porte d’entrée vers notre identité numérique, interconnectée, et ayant son existence propre dans le cyberespace. Les conditions techniques sont réunies pour permettre aujourd’hui l’éclosion du patient 2.0, informé sur son état de santé, connecté aux soignants qui le suivent, pouvant accéder à ses données médicales en ligne et participant lui-même au soin en temps réel grâce à des outils de mesure intégrés (l’essor du quantified-self). Le magazine souligne également les espoirs nouveaux que suscitent ces flux de données dans les domaines de la recherche et de l’épidémiologie, avec notamment le fleurissement du "big data" et des dossiers patients informatisés.
  • Habitué des classements en tous genres, le célèbre magazine économique américain Forbes identifie dans un billet daté du 1er février, les 10 raisons pour lesquelles la e-santé sera un secteur majeur de développement en 2013 aux Etats-Unis. Les raisons d’un tel engouement ? Une « convergence de chiffres, de faits et de nouveaux besoins » pour 2013. Selon le webzine, innovation technologique, revendications sociétales et nécessité économique convergent pour que cette année soit celle de la e-santé.  L’explosion des nouvelles technologies et des réseaux
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  • Un enjeu économique à deux niveaux
hamelinclara

Pharma industry's most productive innovators recognised - 0 views

  • This year there were two major factors which contributed to Johnson & Johnson’s number one ranking. It successfully brought to market Abiraterone (Zytiga) - a lyase and steroid synthesis inhibitor for use in the treatment of prostate cancer - and furthermore it was a major riser in the Access to Medicine Index, which is of increasing global importance.”
  • “Roche, which kept its number 3 spot on the Index, saw the first combined launch of a drug and companion diagnostic device, but on the negative side it had to close phase III development of dalcetrapib, a potentially $20bn product. “Sanofi, although rising one place to rank fifth, suffered a massive climbdown with Zaltrap in colorectal cancer launching at a suicidally high price which it continued to defend against increasing criticism. It eventually cut costs to 50 per cent but the damage had been done. “And AstraZeneca is the perfect example of a company which has shown all the signs of panic over the past five years. The stress of an underwhelming pipeline has led it to make bad decisions on top of bad decisions, and although it enjoyed some top line growth by flogging its sales model, the same primary care sales model has led to poor decisions in many areas.”
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