Skip to main content

Home/ Pharmaceutical Laboratory/ Group items tagged bayer

Rss Feed Group items tagged

hamelinclara

Bayer HealthCare completes acquisition of Teva Pharmaceutical Industries' U.S... - 1 views

  • Bayer HealthCare completes acquisition of Teva Pharmaceutical Industries' U.S. animal health business
hamelinclara

Les labos ont peur des réseaux sociaux…ils ont tort ! | La Factory NPA - 0 views

  • ’innovation thérapeutique (5), 69% des Français se disent mal informés au sujet de ces avancées et 14% des personnes interrogées seulement mentionnaient l’industrie pharmaceutique dans ce domaine
  • Les efforts de R&D en sont un.
  • @Diabetes_Sanofi . Animé par quatre contributrices, il permet échanges et conseils pour mieux vivre le diabète. En France, la chaîne Rose (www.lachainerose.fr, @lachainerose) est un lieu de témoignages et de soutien pour les femmes touchées par le cancer du sein.
  • ...4 more annotations...
  • De nombreuses entreprises proposent toutefois des sites sur des thèmes spécifiques. Novartis, par exemple, a créé un espace sur la sclérose en plaque (www.sep-et-vous.fr), un autre service dédié à l’accompagnement aux proches des malades (http://www.prochedemalade.com/). Pfizer se positionne sur la prévention avec www.prévention-tabac.com, Merck sur l’accompagnement des couples confrontés aux problèmes de stérilité (www.desirer-un-enfant.fr). Bayer, de son côté, réussit à dédramatiser les problèmes d’érection avec www.leplaisirdanslapoche.com.
  • Sanofi, avec sa chaîne YouTube, a tenté une approche grand public avec des conseils et des recettes pour les diabétiques ou les personnes ayant un problème de cholestérol. Sans aller cependant au bout de la logique d’une offre éditoriale cohérente, ces reportages étant noyés au milieu de vidéos corporate et d’image. Mais tout cela reste de la communication avec des témoignages balisés, où le partage et la conversation sont absents. Difficile dans u
  • Demain, l’innovation dans l’industrie pharmaceutique ne devra sans doute plus seulement être dans les produits, mais dans la communication et les services.
  • Valérie Van Oost
hamelinclara

Industrie pharmaceutique : les nouvelles stratégies de services autour du méd... - 1 views

  • 1 - La remise en question des fondamentaux du secteur Le déclin du modèle des blockbusters L'essor de la menace générique Le durcissement des conditions d'accès et de maintien sur le marché Un nouveau modèle axé sur les produits de spécialité 2 - L’impact de ces nouvelles configurations sur l’offre des laboratoires La diversification des portefeuilles d'activité Vers une médecine personnalisée ? Les enjeux de l'amélioration de l'observance L'émergence de solutions de « gestion de la santé du patient » 3 - Le patient au cœur de la stratégie de services de l’industrie pharmaceutique Une démarche centrée sur le patient et non plus seulement sur le produit et la technologie L'implication croissante des patients dans la prise en charge de leur santé Les services proposés aux professionnels de santé : formation et information, aides autour de la chaîne de distribution L'éclosion de la gestion de la relation patient (GRP) en France GRP et disease management 4 - Le développement des programmes d’accompagnement patient Les étapes clés en France L'encadrement des relations patients et industrie pharmaceutique La loi HPST donne un cadre limité d'intervention aux laboratoires Les programmes d'apprentissage, d'aide à l'observance et d'ETP Focus : Betaplus de Bayer Healthcare, Eli Lilly, CoaguCheck Link de Roche Diagnostics 5 - Les partenaires stratégiques des laboratoires dans l’accompagnement des patients Disease managers et opérateurs de programmes patient Associations de patients et sociétés savantes Les sociétés de TIC 6 - Les perspectives de ces nouvelles offres Leviers et freins au développement de ces offres de services Place des services dans les procédures d'AMM et de P&R Quel impact sur l'organisation des laboratoires ? Les nouveaux services à horizon 2020
  • L’adaptation des modèles commerciaux et marketing d’une industrie tenaillée entre générification et durcissement des conditions de market access Le passage du produit au service ? Les laboratoires font aujourd’hui face à la concurrence de plus en plus précoce des génériques une fois leurs produits tombés dans le domaine public et au durcissement de leur environnement réglementaire et politique. L’industrie pharmaceutique fait ainsi évoluer ses stratégies commerciales et marketing en associant au médicament des services visant à satisfaire à la fois les autorités de santé, les payeurs, les professionnels de santé et in fine les patients. L’amélioration de l’efficacité des traitements, un enjeu économique pour l’industrie pharmaceutique et de santé publique pour les autorités de santé Comment optimiser l’efficacité et l’efficience des traitements ? Les programmes d’accompagnement patient s’intègrent dans cette stratégie, bien qu’en France, le contexte réglementaire reste encore flou : si la loi HPST a inscrit l’éducation thérapeutique dans le parcours de soins, les décrets d’application concernant l’intervention de l’industrie pharmaceutique n’ont toujours pas été votés. Eli Lilly dans l’ostéoporose ou Roche Diagnostics pour un anticoagulant cherchent à développer l’autonomie des patients dans la prise en charge de leur(s) traitement(s), à s’adapter au plus près de leurs besoins réels et à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.).
  • Des partenariats stratégiques multipliés avec des acteurs spécialisés ou non dans la santé… … pour des services qui vont devenir des éléments indispensables d’accès et de maintien sur le marché pour les médicaments, ainsi que des procédures de prix et remboursement L’industrie pharmaceutique est amenée à travailler à la fois avec les autorités de santé nationales et régionales, les associations de patients, mais surtout les sociétés spécialisées et les call-centers (Vivactis Mail Call, Direct Medica, etc.), ainsi que les spécialistes des TIC ou encore les sociétés d’assistance. Les nouvelles technologies de transmission de l’information leur permettent notamment de se positionner en « entreprise de santé » capable de répondre à l’ensemble des étapes depuis la conception et la commercialisation du médicament jusqu’à sa distribution et son administration par le patient, notamment dans le cadre des maladies chroniques et des pathologies lourdes.
hamelinclara

Le regard d'Accenture Management Consulting : La mutation de l'industrie pharmaceutique... - 0 views

  • Une rupture scientifique : le séquençage du génome, entre autres avancées, ouvre de nouvelles voies quand la recherche traditionnelle s'épuise.Une rupture économique : la démographie, le souhait des individus de vieillir en bonne santé et les coûts unitaires des thérapies ciblées mettent les systèmes de financement sous pression.Une rupture sociétale : les payeurs mondiaux sont de plus en plus actifs, analysant les données ou "coachant" des patients. Le système de soins ménage une place accrue aux pharmaciens et aux infirmières, à la télémédecine et aux réseaux de soins. Les réseaux sociaux de patients (PatientLikeMe, Orphanet) ou de médecins (Sermo) redistribuent l'information. La place du médecin comme décideur unique est questionnée.
  • Synergies scientifiques : une activité de génériques est alimentée par les expirations de brevets ; une activité vétérinaire bénéficie des retombées de la recherche humaine.Synergies de compétences : Sanofi identifie la connaissance de l'écosystème comme une compétence clé lui permettant d'articuler produits et services de santé.Synergies thérapeutiques : certains acteurs servent une pathologie "de bout en bout", par exemple en intégrant glucomètres, insuline, analyse des données ou formation des patients, comme Novo Nordisk, Sanofi ou Bayer (qui a même lancé un jeu pédagogique avec Nintendo) sur le diabète.Synergies produits : les applications esthétiques du Botox, utilisé au départ en chirurgie urinaire, ont fourni à Allergan un très important relais de croissance.Synergies financières : à l'instar des acteurs du BTP (faibles marges, mais fortes liquidités) se lançant dans les concessions, ou des acteurs du matériel informatique se diversifiant dans les logiciels et les services, les laboratoires analysent les complémentarités financières. Quels investissements, quels risques, quelle rentabilité ? Quelle pérennité des flux de revenus, notamment face aux cycles et aux réformes publiques ?Quelles valorisations ?
  • Valeur : les laboratoires "valeur" (tels BMS, AstraZeneca ou Amgen) adressent, par une recherche innovante, des besoins noncouverts. Ce modèle présente des risques plus élevés (même si les alliances permettent de le répartir) pour des rendements plus élevés (même si l'incertitude pèse sur le financement collectif). La R&D doit s'accompagner d'innovation sur offres, de rémunération au résultat et veiller au suivi de l'efficacité du produit
  • ...2 more annotations...
  • Portefeuille : les acteurs "portefeuille" (tels GSK, Sanofi, J&J, Novartis ou Roche) assemblent diverses activités (vaccins, optique, appareils médicaux, nutrition, services, électronique grand public...) autour d'un noyau pharmaceutique. Ils peuvent intégrer les modèles "volume" et "valeur", et calibrent leur profil d'investissement et de risque. Trois questions sont centrales. Dans quelles activités non dilutives investir ? Quelles synergies justifient la diversification, au-delà de la recherche de croissance ? Comment maîtriser les nouveaux modèles (par exemple, comment protéger de la concurrence des services non brevetables, contrairement aux médicaments) ?
  • Volume : les acteurs "volume" (tels Teva ou Ranbaxy) se concentrent sur les produits familiaux, génériques ou matures, proches de la grande consommation. Ce modèle suppose moins d'investissements et de risques, pour un rendement plus prévisible ; il repose sur un marketing "de masse", sur un approvisionnement économique et sur la pénétration rapide des marchés émergents.
hamelinclara

Le Figaro - Sociétés : Les laboratoires freinent l'arrivée des génériques - 0 views

  • En 2012, les laboratoires pharmaceutiques ont signé 40 accords avec les génériqueurs pour reporter l'arrivée de ces copies légales et moins chères sur le marché américain, rapportent Les Échos. Le phénomène empire puisque ces ententes, qui permettent aux fabricants de médicaments de marque de décaler de 17 mois en moyenne la commercialisation des génériques, sont en hausse de 43% par rapport à 2011. Ces accords entraînent une hausse de 3,5 milliards de dollars par an de la facture de médicaments des familles américaines et ils coûtent 5 milliards de dollars sur dix ans à l'État, estime le Congrès.
  • Bruxelles hausse le ton Les laboratoires pharmaceutiques, qui perdent 30 à 90% de leur chiffre d'affaires lors de l'extinction des brevets qui protègent les médicaments de marque contre les génériques, sont parfois prêts à payer cher pour prolonger leur durée de vie. Bayer aurait ainsi déboursé 398 millions de dollars pour contrer les génériques de son antibiotique Cipro, qui lui rapporte 1 milliard de dollars par an. En Europe, plusieurs laboratoires sont également accusés d'ententes pour retarder les ventes de génériques. En juillet dernier, Bruxelles a haussé le ton contre le laboratoire Servier et plusieurs fabricants de génériques, soupçonnés de retarder l'entrée sur le marché du générique du Périndopril, un médicament cardiovasculaire.
1 - 6 of 6
Showing 20 items per page