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"667 atteintes en 2012 dont 543 pour les sites chrétiens (édifices religieux : 352 ; sépultures : 191), 40 pour les sites israélites (édifices religieux : 31 ; sépultures : 9) et 84 pour les sites musulmans (édifices religieux : 83 ; sépultures : 1). Ainsi, de 2008 à 2012, il a été constaté une augmentation globale du nombre d'atteintes touchant les édifices religieux et les sépultures (+ 55,9 % entre 2008 et 2009, + 31 % de 2009 à 2010, 0 % entre 2010 et 2011 et + 7,6 % entre 2011 et 2012)."

"Ce sont des tombes « en majorité chrétiennes », précise la Mairie de Paris dans un communiqué d'hier, dix jours après les faits… Une trentaine de sépultures seraient atteintes."

"Des fouilles préalables à la reconstruction de la tour nord et de la flèche de l'édifice gothique ont mis au jour des centaines de sépultures, anonymes, allant du Ve au XIVe siècle."

"Elles s'appellent Marie, Catherine, Hortense et Suzanne, elles étaient restées muettes depuis le début 2015 un peu avant Pâques. Mais pour fêter les Saints elles ont fait entendre de nouveaux leurs voix. Vous avez compris, ce sont les cloches de l'église St Hilaire qui ne sonnaient plus le temps de la réfection du clocher, de la réparation du beffroi et de la rénovation de la partie électrique avec les nouvelles techniques d'aujourd'hui : des électroaimants remplaçant les anciens moteurs qui ont permis de nous renseigner sur les évènements de notre communauté, baptêmes, mariages, sépultures et fêtes chrétiennes depuis une cinquantaine d'année."

"Des tuiles fracassées sur les tombes des aïeux. Des parpaings qui se retrouvent jetés sur les sépultures et qui du même coup ont cassé les décorations et fleurs funéraires. C'est la triste découverte à laquelle a été confronté l'employé municipal qui, après le long week-end de l'Ascension, a constaté les dégâts et a immédiatement signalé l'incident au maire, Gilles Le Page."

"Visite gratuite, guidée et commentée du cimetière Saint-Roch par Michel Mercier La visite concerne une vingtaine de sépultures Evocation de prêtres et religieux, symboles religieux et histoire de congrégations religieuses présentes dans le diocèse. RDV à l'entrée du cimetière, 2 rue du Souvenir à Grenoble "

"« C'est une honte ! » L'émotion était palpable parmi les habitants fréquentant le cimetière ce dimanche. Dans la nuit de vendredi à samedi, au moins une dizaine de tombes ont été profanées. Des individus se sont introduits dans l'enceinte du cimetière et ont tenté d'ouvrir les sépultures. "

"L'art apparait avec la sépulture comme une interrogation sur l'au-delà. L'art est le refflet de la pensée de la société qui le produit, et donc de sa Foi. « Art et Foi » désire monter comment l'art sacré est un « Transitus » entre Dieu et les hommes."

"Dans un communiqué publié ce mercredi 6 mai, le maire de Nice Christian Estrosi a annoncé que des sépultures du cimetière de l'Est ont été vandalisées."

"A trois reprises plusieurs tombes ont fait l'objet d'une profanation ou d 'une tentative de violation de sépulture."

"Au total, 55 sépultures ont été dégradées. On voyait notamment des pots de fleurs brisés, plaques et des Christ cassés"

"Plus de 200 sépultures ont été découvertes lors du chantier de fouilles archéologiques mené avant les travaux de reconstruction de la tour nord."

"On retiendra que tous ces adolescents et jeunes gens sont psychologiquement fragiles. Mais, parlera-t-on suffisamment de ces marchands de violence et de chaos qui concourent à transformer des adolescents en profanateurs froids et insensibles? Reste que, comme les profanations se poursuivent, les enquêtes détermineront ce qu'il en est de ces énièmes profanations. Sont-elles le fait de jeunes délinquants, de paumés, ou de satanistes et/ou de skinheads et de néonazis? Ce qui est sûr, c'est qu'à côté de jeunes en mal de sensations, habitués à se promener dans les cimetières à des heures tardives et se laissant entraîner dans une sorte de jeu de rôles, les satanistes et les néonazis sont deux des profils les plus courants de profanateurs. Ce qui est sûr enfin et quelles que soient leurs motivations, les profanateurs brisent toujours un tabou, l'ultime: celui du respect dû aux morts."

Question écrite de Julien Aubert (LR - Vaucluse) et réponse du ministère de l'Intérieur