Group items tagged

"Dès lundi, les Abbevillois, riverains de la place Saint-Jacques, auront droit à un bloc de pierre de l'église détruite par la mairie, qui n'a pas souhaité la restaurer. 250 blocs de pierre ont été taillés et seront distribués aux habitants, sur présentation du courrier envoyé par la mairie et d'un justificatif de domicile. La mairie a annoncé la nouvelle vendredi, à l'occasion d'une réunion sur l'aménagement de la place Saint-Jacques. Fin 2014, le jardin public devrait être terminé."

"Question d'internaute : Combien de communes à deux clochers ? Combien de mairie-église ?"

"Eric Dohollou, sur son blog http://ericdohollou.blogcitoyen.fr/2012/11/25/ville-plongee-dans-le-noir-et-fermeture-de-la-cathedrale/ nous fait état de la fermeture arbitraire de la magnifique cathédrale de Saintes par une mairie PS apparemment peu scrupuleuse envers la religion catholique et son patrimoine."

"Comme je l'avais indiqué dans un post du 6 janvier dernier, la porte de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de la commune de Lavernose-Lacasse, avait été recouverte dans la nuit du 31 décembre dernier de tags obscènes et de symboles anarchistes et antichrétiens (« Fuck les sectes », croix peinte à l'envers…). J'avais, le même jour, adressé le courriel suivant à la mairie de cette commune de Haute-Garonne"

"L'Abbatiale Saint Ouen à Rouen est un chef d'œuvre gothique accolé à l'actuelle mairie. L'édifice est encore affecté à l'Eglise, mais la messe y est célébrée assez rarement. Une fois tous les 6 mois, afin que l'Eglise en reste affectataire. Le reste du temps, l'édifice accueille des expositions plus ou moins culturelles et artistiques, qui n'ont que peu de choses à voir avec l'art sacré. La mairie cherche à récupérer le bâtiment et il se murmure que l'archevêque Mgr Jean-Charles Descubes ne serait pas contre…"

"Dans la nuit du réveillon, plusieurs tags de nature obscène ont été faits sur la porte de l'église de Lavernose-Lacasse, sa salle polyvalente, sa mairie, au rond-point de la mairie et sur une voiture. Un carreau a été cassé à la salle des fêtes, mais sans pénétrer dans la salle."

"La mairie de Puteaux (Hauts-de-Seine) a repeint de couleurs vives une église du XVIe siècle classée monument historique, sans en informer ni le curé de la paroisse ni la direction régionale des affaires culturelles (Drac)"

"La mairie de Puteaux (Hauts-de-Seine) a repeint de couleurs vives une église du XVIe siècle classée monument historique, sans en informer ni le curé de la paroisse ni la direction régionale des affaires culturelles (Drac)."

"C'est un tour de magie assez audacieux que vient de tenter la mairie de Paris aujourd'hui, dans une conférence de presse consacrée au plan église « sans précédent » qui sera dédié aux édifices cultuels de la ville d'ici la fin de la mandature : faire croire qu'elle a compris l'urgence, et qu'elle met désormais les moyens nécessaires pour sauver les églises. Hélas, même si certains y ont cru, le truc est un peu trop visible pour faire illusion très longtemps. Car les 80 millions affectés à ce plan sont à peu près équivalents, ramenés à une année, au 157 millions des deux mandatures de Bertrand Delanoë (90 millions, puis 67 millions). Ces chiffres, les 80 millions, et les 157, ne sont pas les nôtres. 157, c'est ce que disait la Mairie de Paris, par la voix de l'ancienne adjointe au patrimoine, Danièle Pourtaud, en 2013 (c'est ici). Les 80 millions annoncés sont promis par Bruno Julliard et Anne Hidalgo d'ici 2020"

"Quatre-vingt millions d'euros vont être investis par la mairie de Paris, d'ici 2020, dans la restauration et l'entretien du patrimoine cultuel de la capitale. Anne Hidalgo, la maire, s'y est engagée, vendredi 10 avril, comme elle l'avait promis, en 2014, lors de sa campagne électorale municipale. L'Etat rajoutera onze millions d'euros. Somme dérisoire au regard du délabrement des édifices concernés et qui devra être largement soutenue par le mécénat, comme l'appelle, d'ailleurs fermement de ses vœux, Mme Hidalgo."

"À Marseille, 72 églises sont la propriété de la commune. Après des années sans grands travaux de restauration, la mairie décide - enfin - de programmer de vastes chantiers, parmi lesquels le plus emblématique est celui de l'église Saint-Vincent-de-Paul, dite des Réformés, pris en charge à 70% par le département. Ce sont 8 millions d'euros qui vont être investis en 2018 par la mairie pour le patrimoine religieux."

"Installé en 2007 dans l'église désacralisée de Catillon avec son équipe, le maire souhaite aujourd'hui restaurer une partie de cette église du XVè siècle pour la rendre au culte. Un projet ambitieux et original qui permettrait aux mariés de n'avoir que quelques pas à faire entre la mairie et l'église."

"Premier adjoint à la mairie de Paris, Emmanuel Grégoire précise à « La Croix » le calendrier pour la rénovation du parvis et des abords de la cathédrale."

"Le samedi 17 décembre à une semaine de Noel, les paroissiens de Quérénaing ont eu la joie de découvrir deux des 11 vitraux commandés à Marie Payen, vitrailliste et responsable de la pastorale des jeunes de notre diocèse. Ce projet initié par la mairie en mai 2020, et comme l'explique Marie, est un vrai travail coopératif. Mr Didier Joveniaux, maire de Quérénaing (NDLR : la mairie est propriétaire de l'église communale) à collaborer étroitement avec la paroisse et elle pour mener à bien ce projet. L'église St Landelin n'avait plus de vitraux depuis l'explosion d'un char allemand rempli de munitions pendant la seconde guerre mondiale, quatre-vingts ans plus tard elle retrouve des vitraux. Marie explique avoir respecter les couleurs traditionnelles pour les vitraux, ceux de la baie nord seront à dominante bleu et retraceront l'histoire de Quérénaing, ceux de la baie sud sont a dominante jaune et évoquent la nature te le monde agricole. Dans une démarche Laudato'Si mais aussi pour ne pas effacer ce qui a été fait, elle intègre dans ses vitraux des morceaux de verre récupérés sur les anciennes baies."

"Le 25 septembre, la Fédération des villes moyennes (FVM) a lancé le réseau « Villes cathédrales ». L'idée consiste à fédérer les communes qui disposent d'un tel édifice et de faciliter le dialogue entre l'Etat - souvent propriétaire des édifices, mais pas toujours -, les mairies et l'Eglise afin de mieux conserver et restaurer les cathédrales. "

"Édifice unique en Alsace, l'église de Zehnacker est partagée entre catholiques et protestants par un mur. La mairie souhaitait l'abattre pour des raisons pratiques. Mais face aux refus des deux confessions, la paroi devrait rester en l'état"

"Au cours d'une conférence de presse organisée vendredi 1er mars à l'hôtel de ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), un projet de reconstruction de la flèche de la cathédrale Saint-Denis a été lancé. La conférence de presse s'est déroulée en présence du maire (PCF) de Saint-Denis, Didier Paillard, du président (PCF) de la communauté d'agglomération Plaine Commune, de Patrick Braouezec, et d'Erik Orsenna, membre de l'Académie Française et président du comité de parrainage pour la reconstruction de la flèche."

"La mairie de saint-Denis a présenté un projet vendredi 1er mars 2013, lors d'une conférence de presse..."

"Un lecteur (merci S. R. !) m'a fait parvenir des photos d'ignobles tags apposés sur la façade et le parvis de la basilique Saint-Sernin de Toulouse dimanche 7 juin dernier, jour de la Fête-Dieu. Ces photos ont été prises ce jour même vers 18 h. Les services techniques de la Mairie de Toulouse ont, sur la demande de la paroisse, effacé ces tags le lendemain. On ignore qui est à l'origine de ces souillures, mais l'appel au meurtre contre les chrétiens relève de la correctionnelle… Il est absolument indispensable que les diocèses victimes de ce genre d'appels au meurtre ne se contentent pas d'appeler les services municipaux pour effacer ces horreurs, mais déposent plainte pour appel au meurtre. Faute de quoi ces appels au meurtre déboucheront un jour sur des meurtres réels. Il faut réagir de toute urgence et fermement."

"Cas emblématique de l'état du patrimoine religieux en France, l'église de Gesté, à 40 kilomètres de Nantes, ne sera peut-être bientôt plus qu'un tas de ruines. Malgré un avis contraire du Conseil d'Etat, le maire de cette commune de 2.500 habitants, Jean-Pierre Léger a annoncé, le 17 juin, sa ferme intention de mettre à bas l'édifice, reconstruit au XIXe siècle après avoir été détruit par les «colonnes infernales de la République» entre 1793 et 1796. Aujourd'hui, le maire invoque : le coût de restauration du lieu de culte, dégradé à 80%. Investir 3 millions d'euros dans sa rénovation reviendrait à endetter la municipalité sur 30 ans. De plus, l'édifice, selon un communiqué publié sur le site de la mairie, n'est ni inscrit, ni classé à l'inventaire des monuments historiques. Et pour cause, selon ce texte : comme il s'agit d'une « fausse église ancienne », elle ne peut « en aucun cas être considérée comme un monument historique ». « Construit en deux fois, le bâtiment est hétérogène, composé de deux parties mal raccordées », écrit le maire qui propose de détruire à nouveau le seul joyau architectural de la ville pour en reconstruire un autre à la place, plus petit. "