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Home/ Numérique dans le domaine du livre/ Group items tagged argent

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antoinef

Parlons "argent" : ça gagne combien, un auteur? - L'univers de Cécile Chabot... - 0 views

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    "Rien de plus secret, de plus opaque, de plus hypocrite que le rapport entre argent et édition dans l'univers francophone. J'en suis particulièrement frappée, étant moi-même un pied du coté francophone, l'autre du coté anglophone : encore une différence culturelle. Parler « argent » est manifestement « mal », ou « pas très propre » ou, en tout cas, malaisé. Alors que nous somme dans une industrie avec des producteurs (l'écrivain pour le « texte » et l'éditeur en second pour « l 'objet ») et des consommateurs (nous tous en tant que lecteurs). Or, coté francophone, on dirait que l'on essaye d'occulter cette réalité : « Fi donc, nous, nous abaisser à des questions d'argent! »… Et donc, trouver des informations relève d'un travail de limier, d'enquêteur, de policier… Combien gagne un écrivain? Et bien, ça dépend…"
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    "Rien de plus secret, de plus opaque, de plus hypocrite que le rapport entre argent et édition dans l'univers francophone. J'en suis particulièrement frappée, étant moi-même un pied du coté francophone, l'autre du coté anglophone : encore une différence culturelle. Parler « argent » est manifestement « mal », ou « pas très propre » ou, en tout cas, malaisé. Alors que nous somme dans une industrie avec des producteurs (l'écrivain pour le « texte » et l'éditeur en second pour « l 'objet ») et des consommateurs (nous tous en tant que lecteurs). Or, coté francophone, on dirait que l'on essaye d'occulter cette réalité : « Fi donc, nous, nous abaisser à des questions d'argent! »… Et donc, trouver des informations relève d'un travail de limier, d'enquêteur, de policier… Combien gagne un écrivain? Et bien, ça dépend…"
antoinef

ReLIRE : le scandaleux pillage du droit d'auteur organisé par la loi - La Feu... - 0 views

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    "Le ministère de la Culture, le Syndicat national des éditeurs, la Société des gens de lettres et la BNF ont décidé d'aménager le Code de la propriété intellectuelle, par une loi, votée par le Parlement le 1er mars 2012 (la loi n°2012-287). Cette modification met en place les conditions juridiques relatives à l'exploitation numérique des livres indisponibles du XXe siècle et rend ainsi possible la numérisation de ces livres en évitant le réexamen de chaque contrat d'édition au cas par cas. [...] Contrairement à ce qu'on voudrait nous faire croire, cette modification remet bien en cause le principe du droit d'auteur puisqu'elle explique que les oeuvres indisponibles (c'est-à-dire non exploitées commercialement) d'auteurs publiés entre le 1er janvier 1901 et le 31 décembre 2000 peuvent être numérisées et commercialisées sans le consentement des auteurs au profit d'une société de gestion collective (on ne sait pas encore ni qui elle sera si ce sera la Sofia, ni ce qu'elle fera de cet argent)."
antoinef

Le crowdfunding, réflexions - sanspapier.com - 0 views

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    "Le principe-même du crowdfunding - dont l'exemple le plus célèbre est la plate-forme Kickstarter.com - est l'effort d'un ensemble d'individus mutualisant une partie de leurs argents pour permettre à une production d'une personne ou d'une organisation d'exister. Il a permis à beaucoup de projets dans les domaines les plus variés, de l'environnemental à l'artistique, de voir le jour. Ces projets étaient, pour la plupart, refoulés à la porte des circuits traditionnels de l'édition. Si les éditeurs installés prétextaient que ces œuvres ne trouveraient pas leurs publics, leur réalisation par l'intermédiaire du crowdfunding a souvent prouvé le contraire." Analyse avec les notions de contrat d'édition.
antoinef

Entrevue de Marc Boutet au Canal Argent - De Marque - 0 views

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    "De Marque réalise un pas de plus dans son développement à l'international en exportant son savoir-faire développé au Québec vers la France, et ce, afin d'y créer un projet unique de prêts de livres numériques pour toutes les bibliothèques publiques de Grenoble. Marc Boutet, le PDG de De Marque, fait le point dans cette entrevue dans une vidéo."
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L'imprimé plébiscité par la jeunesse britannique - enssib - 1 views

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    "Commandée par The Bookseller et menée par Voxburner auprès de 900 jeunes de 16 à 24 ans, une nouvelle enquête présente les habitudes de lecture de la jeunesse au Royaume-Uni. L'étude montre d'abord que les livres imprimés sont préférés aux livres électroniques à hauteur de 73%. 31% des jeunes interrogés affirment même ne jamais acheter d'e-books. D'après Luke Mitchell, directeur de Voxburner, une raison à cela pourrait être le coût des e-books jugé trop élevé : "Lors de notre enquête, 70% des jeunes interrogés ont dit que 6,99 £ était un prix raisonnable à payer pour un livre de poche, mais seulement 10% étaient prêts à dépenser autant pour un e-book". Pour 43% des jeunes un e-book devrait coûter moins de 3,80 €. Parmi les jeunes qui ont lu des livres électroniques, 39% utilisent une liseuse, 37% optent pour leurs smartphones et 36% préfèrent lire sur tablette. L'étude montre également que les jeunes sont "aussi intéressés et investis dans les livres que par le passé". Ainsi 81% d'entre eux utilisent leur propre argent pour acheter des livres. Amazon est le fournisseur préféré (75%) mais les librairies le talonnent de près (73%). Parmi les répondants, 44% fréquentent régulièrement une bibliothèque de lecture publique et 66% une bibliothèque d'étude. Plus de la moitié des jeunes (53%) affirment qu'ils emprunteraient des livres électroniques dans les bibliothèques publiques s'ils étaient facilement accessibles."
antoinef

Jeff Bezos (Amazon) : "Nous ne vendons pas des tablettes pour gagner de l'arg... - 0 views

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    "En tournée en Europe pour présenter la liseuse électronique Kindle Paperwhite, le patron d'Amazon répond aux questions des Echos."
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Placer sous licence libre les oeuvres financées par l'argent public - ActuaLitté - 0 views

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    "La députée Sylvie Andrieux (Bouches-du-Rhône) vient de soulever une intéressante question portée à la connaissance de la ministre de la Culture. Dans le cadre des oeuvres « produites ou subventionnées par les services de l'État ou des collectivités locales », ne serait-il pas juste que le contribuable puisse profiter de ce que l'argent public a servi à financer ?"
antoinef

1D Lab, alternative solidaire à Deezer ou Spotify - LeMonde.fr - 1 views

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    "Offrir une alternative solidaire aux mastodontes du streaming musical que sont Deezer et Spotify, c'est l'ambition de 1D Lab, projet lancé sous forme associative en 2012, puis transformé en société coopérative (SCIC) en 2014. « Notre plateforme de streaming équitable, 1D touch, est centrée sur les artistes indépendants, explique Cédric Claquin, responsable de la communication et du développement de cette start-up basée à Saint-Etienne. Vous n'y trouvez ni Rihanna, ni Beyoncé ni La Fouine. » A l'origine du projet, un constat : les plateformes de streaming offrent aux clients des catalogues de plusieurs millions de titres, mais la rémunération des musiciens est inéquitable, aux alentours de 1 500 euros pour un million d'écoutes en moyenne. « Seuls les artistes les plus populaires arrivent à obtenir une rémunération satisfaisante de leur travail, poursuit M. Claquin. Environ 20 % des contenus ne sont jamais écoutés et leurs auteurs ne perçoivent rien. »"
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