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"Alors que l'Europe tente de s'organiser pour accueillir des réfugiés syriens, l'évêque syro-catholique d'Alep, en Syrie, Mgr Denys Antoine Chahda, appelle ses fidèles à rester. « Nous avons besoin de vous » a-t-il expliqué à l'organisation AED, Aide à l'Eglise en détresse, précisant que « si les chrétiens quittent la Syrie, il n'y aura plus d'espoir pour ce pays ». La semaine dernière, c'est le patriarche de l'Église grecque-melkite en Syrie, Mgr Gregoire III Laham, qui s'inquiétait devant l'exode de nombreux jeunes chrétiens."

"Entretien - Une réunion sur la crise humanitaire en Irak et en Syrie se déroule ce jeudi au Vatican, organisée par le Conseil pontifical Cor Unum, en présence notamment du cardinal Leonardo Sandri, le préfet de la congrégation pour les Eglises Orientales, mais aussi, une première, du sous-secrétaire de l'ONU pour les affaires humanitaires, Stephen O'Brien. De nombreuses Caritas participent également à cette réunion ainsi que des évêques syriens ou irakiens et des représentants du Saint-Siège dans la région. Parmi eux, le nonce apostolique en Syrie Mgr Mario Zenari. Malgré la situation très difficile dans le pays et l'urgence humanitaire, il veut croire à l'utilité de cette réunion. Il est interrogé par Olivier Bonnel "

"Le Conseil pontifical Cor Unum, en charge de la solidarité du Saint-Siège, anime du 29 juin au 2 juillet au Liban une session de formation pour les personnels diocésains engagés sur le front de la crise humanitaire dans la Syrie voisine."

"Le patriarche de l'Église grecque-melkite en Syrie, Mgr Gregoire III Laham, s'inquiète devant l'exode de nombreux jeunes chrétiens. Dans une lettre envoyée à l'Aide à l'Église en Détresse, le patriarche ne mâche pas ses mots. Pour lui, l'exode est si grave qu'il met sérieusement en question l'avenir de l'Église en Syrie."

"Le Conseil pontifical Cor Unum organise jeudi 17 septembre à Rome une réunion sur la crise humanitaire qui touche la Syrie et l'Irak. Le dicastère romain a invité des représentants d'ONG catholiques qui œuvrent au Moyen-Orient ainsi que des évêques de la région dont les présidents de Caritas Syrie, Mgr Antoine Audo et de Caritas Irak, Mgr Warduni. Plus de trente organisations ont déjà confirmé leur présence. Parmi les intervenants figurent le Sous-secrétaire des Nations Unies pour les Affaires humanitaires, Stephen O'Brien et le nonce apostolique à Damas, Mgr Mario Zenari. Pendant la rencontre, Cor Unum présentera son rapport 2014-2015 sur l'aide humanitaire des instances ecclésiales dans le contexte de la crise syrienne et irakienne. "

"La 7ème Nuit des Témoins se tiendra ce vendredi soir à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Milices armées, Bachar Al-Assad, immigration : Mgr Jean-Clément Jeanbart, archevêque d'Alep en Syrie, racontera la situation dans son pays. Il était notre Grand Témoin."

"Le pape François a exprimé sa « grande appréhension » face au drame qui frappe le nord-ouest de la Syrie, lors de la récitation de l'Angélus du 8 mars 2020. Le pontife a appelé à ne pas « détourner le regard » devant cette crise humanitaire et à lui donner « la priorité sur tout autre intérêt »."

"La question migratoire revient en force en Europe après la décision de la Turquie de laisser partir vers la Grèce les centaines de milliers de réfugiés qu'elle accueille sur son sol depuis la conclusion d'un pacte avec Bruxelles en 2016. Par ce pacte, la Turquie s'est engagée, contre une aide de 6 milliards d'euros, à retenir sur son territoire les migrants venus de Syrie ou d'ailleurs qui voulaient entrer en Europe en franchissant la frontière turco-grecque. C'est cet accord qu'Ankara remet en cause, allant même jusqu'à faire croire aux candidats au départ que la Grèce est prête à leur ouvrir ses portes. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, parle désormais d'une refonte de l'accord. Cible de cette manoeuvre d'intimidation, l'Union européenne est menacée d'un nouvel afflux de migrants si la Grèce ne parvient pas à les empêcher de passer et laisse une brèche se creuser dans la « forteresse Europe ». Aussi s'est-elle empressée de renouer le dialogue avec Ankara pour « clarifier », selon le mot de Charles Michel, président du Conseil européen, la mise en œuvre de l'accord et s'entendre avec la Turquie sur son « interprétation ». La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, qui a reçu le président Erdogan à Bruxelles, s'est voulue apaisante. « Nous reconnaissons que la Turquie fait beaucoup en s'occupant de millions de réfugiés avec notre aide », a-t-elle déclaré. On peut comprendre la volonté de la Turquie de se libérer en partie du fardeau des migrants qui pèse sur sa population et dont il demande qu'il soit au moins partagé par les Européens. Mais il est clair que le président turc a choisi d'instrumentaliser la question migratoire pour exercer une pression sur l'Union européenne. Il attend des Européens, en les soumettant à une sorte de chantage aux réfugiés, qu'ils lui apportent leur soutien dans le bras de fer qui l'oppose à la Russie en Syr

"La guerre en Syrie met à l'épreuve à la fois l'OTAN et l'Union européenne. Pour Judy Dempsey, chercheuse à Carnegie Europe et rédactrice en chef de Strategic Euope, l'attitude de la Turquie affaiblit la crédibilité de ces deux organisations, dont les valeurs démocratiques sont bafouées par le chantage aux réfugiés pratiqué par Ankara. Le prix moral et politique qu'elles devront payer sera élevé. Pendant ce temps les souffrances continuent à Idlib."

"Depuis le début de la guerre en Syrie en mars 2011, plus de 5,5 millions de personnes ont dû fuir le pays. Parmi ces réfugiés, de nombreux jeunes, qui ont trouvé refuge en différents pays du monde, déracinés. Mgr Jean-Clément Jeanbart, archevêque grec-melkite d'Alep, veut permettre à ces jeunes d'avoir un avenir dans leur pays."

"Dix ans après le début de la guerre en Syrie, ceux qui ont fui vivent au Liban dans des conditions dramatiques. Le pays du Cèdre s'enfonce dans la crise. Les pays occidentaux ferment leurs portes. Un retour en Syrie est hasardeux."

"La Turquie est en un train d'ériger un mur sur sa frontière avec la Syrie. Une construction destinée à empêcher toute intrusion de membres de l'Etat islamique dans le pays."

"Deux cents réfugiés de Syrie seront accueillis par la Slovaquie sur les deux prochaines années, mais à la condition qu'ils soient chrétiens."

"Cité du Vatican, 14 septembre 2015 (VIS). Le Conseil pontifical Cor Unum organise le 17 septembre une réunion sur la crise humanitaire en Syrie et en Irak, à laquelle ont notamment été invités les organismes de charité catholique qui œuvrent au Moyen Orient, et les évêques de la région. La réunion, à laquelle plus de trente organismes ont adhéré, se déroulera en deux temps."

Même s'ils ont évolué sur le sujet, les Français sont toujours une majorité (57%) à ne pas souhaiter que soient faites des différences entre les migrants venus de Syrie et les autres migrants 7 Français sur 10 comprennent les maires qui refusent d'accueillir des réfugiés dans leur commune Favorables à une intervention militaire en Syrie, les Français pensent que les frappes aériennes seules ne sauraient être efficaces sans intervention au sol

"Depuis plus d'un an, la Fédération de l'Entraide Protestante (FEP) coordonne l'accueil et l'accompagnement de réfugiés d'Irak et de Syrie au sein des foyers et paroisses protestants. Pour accompagner au mieux ces hébergeurs dans leur fonction d'accueillant, la Fédération publie à leur attention un guide intitulé « Accueil des réfugiés d'Irak et de Syrie : devenir hébergeur »."

"La France a de l'argent pour envoyer des missiles contre la Syrie, mais refuse aux Syriens demandeurs d'asile les moyens de vivre décemment sur son sol. j'ai honte à mon pays dit "des droits de l'homme"."

"L'armée syrienne reprend ses opérations militaires dans la région d'Idlib. L'armée syrienne a annoncé ce lundi la reprise de ses opérations militaires dans la région d'Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie."

"Elle a le regard brillant, Myriam. Au marché de Noël de Fuveau, elle offre sourires et gâteaux à tous ceux qui approchent le stand de l'aumônerie de son collège. Voilà bientôt un an que cette pétillante brunette de 11 ans débarquait en France, avec son petit frère Elie et leur maman pour rejoindre le père, accueilli à Lambesc quelques mois auparavant. A une ou deux semaines de la Nativité, ils quittaient la Syrie et l'enfer de la violence pour la quiétude d'un village de Provence, jusqu'alors totalement inconnu. "

"Prière pour la paix, dimanche 11 Décembre 2016 à 16h avec les familles chrétiennes de réfugiés arrivant de Syrie, d'Irak et d'Égypte."