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Migrants: l'Otan envoie une mission en mer Egée pour lutter contre les passeu... - 0 views

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    "L'Otan va envoyer des bateaux en mer Egée pour "lutter contre le trafic humain" des passeurs de migrants (image d'illustration). afp.com/ARIS MESSINIS L'Organisation politico-militaire vient d'annoncer ce jeudi qu'elle allait envoyer "sans tarder" un groupement naval en mer Egée, qui sépare la Grèce de la Turquie, pour lutter contre les passeurs de migrants. Une telle opération de surveillance frontalière constitue une première pour l'Otan. "Lutter contre le trafic humain" des passeurs de migrants. Tel est l'objectif d'un groupement naval allié, sous commandement allemand, qui va se rendre en mer Egée "sans tarder" a annoncé ce jeudi Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l'Otan. La mer qui sépare la Grèce, en Europe, de la Turquie d'où partent nombre de migrants en quête d'un Eldorado, est considérée comme un cimetière à ciel ouvert. Chaque mois, des dizaines de migrants périssent en tentant sa traversée sur des canots de fortune. Le commandant des forces alliées en Europe, le général américain Philip Breedlove, "est en ce moment en train d'ordonner au groupement naval permanent [...] de se rendre en mer Egée sans tarder et d'y débuter des activités de surveillance", a déclaré Jens Stoltenberg en présentant la mission navale qui doit faire face à la crise migratoire, à laquelle l'Alliance a donné son accord de principe jeudi. PUBLICITÉ inRead invented by Teads La mission navale doit toutefois être encore formellement mise sur pied, a souligné Jens Stoltenberg. Reste aussi à établir les procédures pour le partage d'informations avec les garde-côtes grecs et turcs, ainsi qu'avec l'agence européenne Frontex. "
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Boulevard Extérieur - Guerre en Syrie : la honte de l'Europe et de l'OTAN - 0 views

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    "La guerre en Syrie met à l'épreuve à la fois l'OTAN et l'Union européenne. Pour Judy Dempsey, chercheuse à Carnegie Europe et rédactrice en chef de Strategic Euope, l'attitude de la Turquie affaiblit la crédibilité de ces deux organisations, dont les valeurs démocratiques sont bafouées par le chantage aux réfugiés pratiqué par Ankara. Le prix moral et politique qu'elles devront payer sera élevé. Pendant ce temps les souffrances continuent à Idlib."
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Boulevard Extérieur - L'Europe face aux migrants - 0 views

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    "La question migratoire revient en force en Europe après la décision de la Turquie de laisser partir vers la Grèce les centaines de milliers de réfugiés qu'elle accueille sur son sol depuis la conclusion d'un pacte avec Bruxelles en 2016. Par ce pacte, la Turquie s'est engagée, contre une aide de 6 milliards d'euros, à retenir sur son territoire les migrants venus de Syrie ou d'ailleurs qui voulaient entrer en Europe en franchissant la frontière turco-grecque. C'est cet accord qu'Ankara remet en cause, allant même jusqu'à faire croire aux candidats au départ que la Grèce est prête à leur ouvrir ses portes. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, parle désormais d'une refonte de l'accord. Cible de cette manoeuvre d'intimidation, l'Union européenne est menacée d'un nouvel afflux de migrants si la Grèce ne parvient pas à les empêcher de passer et laisse une brèche se creuser dans la « forteresse Europe ». Aussi s'est-elle empressée de renouer le dialogue avec Ankara pour « clarifier », selon le mot de Charles Michel, président du Conseil européen, la mise en œuvre de l'accord et s'entendre avec la Turquie sur son « interprétation ». La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, qui a reçu le président Erdogan à Bruxelles, s'est voulue apaisante. « Nous reconnaissons que la Turquie fait beaucoup en s'occupant de millions de réfugiés avec notre aide », a-t-elle déclaré. On peut comprendre la volonté de la Turquie de se libérer en partie du fardeau des migrants qui pèse sur sa population et dont il demande qu'il soit au moins partagé par les Européens. Mais il est clair que le président turc a choisi d'instrumentaliser la question migratoire pour exercer une pression sur l'Union européenne. Il attend des Européens, en les soumettant à une sorte de chantage aux réfugiés, qu'ils lui apportent leur soutien dans le bras de fer qui l'oppose à la Russie en Syr
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