Des informations complémentaires, quelques chiffres sur les prix des ebooks, la TVA... à travers une interview d'Arnaud Noury, le PDg d'Hachette Livres.
Des informations complémentaires, quelques chiffres sur les prix des ebooks, la TVA... à travers une interview d'Arnaud Noury, le PDg d'Hachette Livres.
Les enfants de Twitter :
Bon nombre de sites se sont inspirés du modèle de micro-blogging popularisé par Twitter. Blip.fm propose à peu près la même chose sur le segment de la musique, où des morceaux peuvent être postés en fin de message. Pownce, Yammer, Zannel ou Seesmic ont tous repris le concept de base de Twitter pour l'arranger à leur sauce.
The list is compiled from the contributions of 219 learning professionals (from both education and workplace learning) who shared their Top 10 Tools for Learning both for their own personal learning/ productivity and for creating learning solutions for others.
"oDesk est une place de marché... de talents. Le service, lancé au mois de mai, permet à des indépendants (développeurs, graphistes, etc.) de proposer leurs services à des clients dans le monde entier. Evidemment, la majorité des prestataires habitent dans des pays émergents, tandis que les clients sont, eux, situés dans les pays occidentaux. Le coût de la main d'oeuvre est donc très bon marché. En ce sens, oDesk se rapproche de services plus anciens, tels que Rent-a-coder. Mais il se différencie en proposant de surveiller l'avancée du travail à l'aide de webcams et de systèmes de capture d'écran. Les prestataires sont en général payés à l'heure travaillée (environ 10 dollars de l'heure). Le site, quant à lui, a levé 6 millions de dollars pour son développement."
oDesk est réellement une très bonne place de marché pour trouver des ressources pour des projets de développement/web. Mais la société a été lancée en 2004... Ce qui en fait d'autant plus sa force aujourd'hui...
"Le microcrédit n'est pas seulement à la mode dans les pays émergents. Ce système, qui consiste à prêter de petites sommes, a été adapté en Grande-Bretagne par Zopa. Son concept : le crédit entre internautes, sans intermédiaire financier. Prêteurs comme emprunteurs s'inscrivent sur le site. Les prêteurs indiquent la somme d'argent qu'ils souhaitent mettre à disposition et sont ensuite regroupés par "pools". Les taux d'intérêts sont, en moyenne, de 7 %. Zopa prélève 1 % de la somme prêtée, répartie entre le prêteur et l'emprunteur. Pour l'instant, seulement 0,5 % des crédits n'ont pas été remboursés. La société a levé 31 millions de dollars, plus que les sommes prêtées sur sa plate-forme : 10 millions de dollars fin septembre."
Le web créatif des amateurs est-il en train de céder le pas face au web des industries culturelles ? Chacun à leur mesure, Hadopi comme l’iPad d’Apple, “un outil tout entier dédié à la consultation”, n’en sont-ils pas les premiers symboles ?