Group items tagged

"Georges Vigarello : La perfectibilité physique, la performance et la naissance du record"

"AGI (sometimes referred to as strong AI) is different from conventional AI (weak AI) in the sense that it is capable of performing (and learning from) very general tasks. Most AI (weak AI) is programmed to perform a very specific task, such as decoding house signs in Google Streetview, or IBM's Jeopardy-playing Watson. AGI, on the other hand, is programmed so that it solves problems in a much more human way. Where weak AI is usually characterized by speed and accuracy, strong AI is more closely linked to reasoning, planning, self-awareness, consciousness, and communicating in natural language. In other words, if you want to build useful, human-like robots, you need a really good AGI."

"Sommes-nous tous fous ? C'est ce que laisserait supposer la nouvelle version du DSM, la bible des psychiatres recensant troubles mentaux et comportements « anormaux ». Plus on compte de malades, plus le marché de l'industrie pharmaceutique s'élargit. Surtout, le DSM apparaît comme un moyen de faire rentrer dans la norme ceux qui seraient jugés « déviants » - une part de plus en plus grande de la population. Ces « mal ajustés » de notre société orientée vers la rentabilité économique, où l'individu se doit d'être performant et adaptable. Enquête sur un processus de normalisation qui, sous couvert de médicalisation, façonne les individus."

Résumé Le Monde Des entrepreneurs new-yorkais ont eu l'idée de réunir les approches des réseaux sociaux et du jeu vidéo dans une application mobile dédiée à la pratique sportive. Fitocracy, disponible sur IOS et Android, et déjà téléchargée par un million d'utilisateurs, transforme l'activité physique en un jeu dans lequel on peut gagner des points, passer au niveau supérieur, gagner des badges. Plutôt que de valoriser la performance pure, Fitocracy se concentre sur la notion de progrès, en encourageant les utilisateurs à en faire "juste un peu plus". Selon Brian Wang, directeur de la start-up, "nous aidons (les utilisateurs) à célébrer les petites victoires et à se sentir toujours plus motivés."

"Depuis les années 70, utopies et cultures numériques ont imaginé l'image d'un homme plus libre, dégagé de nombreuses contraintes dans un monde ouvert. Le « Body hacking », c'est le corps augmenté, libéré de ses propres limites. C'est la transformation volontaire du corps par l'implantation de technologies et de composants artificiels dans la chaire. Autrement dit, c'est un peu le corps en open source, librement modifiable, améliorable, amendable. Certains se sont fait implanter des puces RFID. D'autres, voyant les performances exceptionnelles du coureur handicapé Oscar Pistorius pourraient même rêver de s'amputer volontairement pour remplacer leurs membres par des prothèses bien plus efficaces... Le « body hacking » peut-il libérer l'homme de ses propres contraintes ?"

Strava est une plateforme de partage de performances sportives (principalement en vélo) et "comme le cyclisme est pourri jusqu'au noyau, le dopage digital est arrivé. Si vous cliquez sur cette adresse électronique http://digitalepo.com vous pourrez, confortablement assis dans votre sofa, booster toutes les données de votre sortie à vélo, et vous transformer dans le plus redouté et impitoyable cycliste de votre région (voire de France!)."

Cybersalon will start into the New Year with a special feature on wearables and interactive fashion beyond celebratory reviews of the latest gadget bling. Brigitte Wilfing, ego breathing. Performance with artificial skin. Photo by Michael Schultes +++ S P E C I A L E V E N T +++ Get Tickets: £5.00, free for students with proof Speakers: - Prof.

"La souris chinoise Taidu mesure le nombre de battements de cœur à la minute et détecte les gamers les plus résistants à la pression."

Espoirs et déceptions d'un écrivain anglais récemment équipé de prothèses audio, qui découvre la relation asymétrique dans laquelle il se retrouve avec les médecins et prothèsistes, qui lui refusent de lui laisser la main sur ses prothèses. No tinkering, c'est comme ça !

"comme on le voit sur cette maquette exposée au CES, le volant intègre une caméra qui fait du "eye tracking". Elle détermine vers où se porte le regard. Cela permet d'afficher la fonction désirée. Ensuite, grâce à un détecteur de mouvement similaire au système Kinect de Microsoft, à l'aide de la main (en avant ou en arrière, de gauche à droite), ou avec son pouce, le conducteur peut faire défiler les menus sur un écran"

"Composé de deux bandes et de deux pédales détectrices, DrumPants détecte les tapes de la main de l'utilisateur pour ensuite les transmettre au boîtier duquel sortira le son composé. Contrairement à ce que pourrait laisser deviner son nom, le kit peut se porter sur n'importe quel vêtement, chaussures comprises, permettant à quiconque de créer son propre morceau avec son corps. « Je suis un batteur et mes amis également. Je suis constamment en train de voir des gens jouer sur leur pantalon ou leur volant de voiture, je me suis donc dit qu'ils devraient tous pouvoir composer de la vraie musique avec ces gestes là », explique Tyler Freeman. Ancien développeur freelance chez Google, Adobe et BandPage, il a d'abord conçu DrumPants comme une blague. C'était il y a six ans. Depuis, le co-fondateur s'est persuadé de la viabilité commerciale et technologique de son invention."