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Depeche - Métro de New York: un plan d'urgence de 836 millions de dollars - F... - 0 views

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    Ce sont toutes les infrastructures qui prennent la même voie.
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Libération - TGV, une fierté espagnole à deux vitesses - 0 views

  • «L’AVE est et a été le plus bel outil de la modernité pour l’Espagne. Interconnectivité des provinces, intégration de tout le territoire grâce à une technologie de pointe… Sans lui, nous ne serions pas les mêmes aujourd’hui.»
  • cet effort financier sans précédent (51,7 milliards d’euros en un quart de siècle) n’a pas empêché la non-rentabilité structurelle du train à grande vitesse, et a occasionné une batterie de dommages collatéraux sur les autres transports publics. La plupart des spécialistes jugent que l’AVE est un chantier mégalomaniaque qui a tout balayé sur son passage.
  • effet paradoxal : l’AVE renforce la domination de Madrid sur le reste du territoire. Dans un livre intitulé España, capital Paris, l’économiste Germà Bel dénonce le développement centraliste du ferroviaire ultra-rapide de Madrid vers les provinces, sur le modèle français centralisé de Paris vers les régions.
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  • il aura coûté au total 1 100 euros à chaque Espagnol, avec un passif global de 16 milliards d’euros.
  • Dans l’Hexagone, on compte 100 à 120 millions de passagers annuels pour 2 000 kilomètres de lignes et pourtant, toutes ne sont pas rentables. Dans la péninsule circulent à peine plus de 20 millions de personnes sur 3 240 kilomètres de réseau. «En réalité, hormis le corridor Madrid-Barcelone, toutes les lignes sont déficitaires»
  • A côté de l’AVE et de ses 2,3 milliards d’euros de financement public pour 2017, les 800 millions consacrés aux autres lignes ne permettent pas une maintenance correcte.
  • Disparition de l’équivalent des Intercités, des trains de nuit… « Or, ces lignes en désuétude étaient très utiles et démocratiques. L’AVE, lui, discrimine et pratique la politique de la table rase»
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    Pathétiques, ces fuites en avant des infrastructures centralisatrice, élitistes, obsolètes et déficitaires.
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lesechos - Les élus cherchent la martingale pour faire rouler les citadins à ... - 0 views

  • vélos à assistance électrique (VAE). Ce dernier segment ayant progressé de 8,5 % en France l’année dernière.
  • Très visibles, les réseaux express vélo ont une valeur emblématique, explique Véronique Michaud, secrétaire générale du Club des villes et territoires cyclables. Ils montrent que l’on peut réquisitionner de la voirie pour le vélo qui devient, dès lors, un outil de rénovation urbaine comme ce fut le cas pour le tramway. »
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    "L'essor des infrastructures ­cyclables pose la question de leur ­continuité. Les experts ont inventé l'expression « réseaux sans couture », l'idée étant que, pour faciliter la pratique, il faut supprimer les obstacles."
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lesechos - Avec "smart nation", Singapour veut devenir la référence en matièr... - 0 views

  • « Nous essayons de construire la meilleure infrastructure au monde, souligne-t-il. Et nous disons aux en­trepreneurs du monde entier : venez tester vos produits ici. Vous aurez un marché fantastique, et on ne vous régulera que lorsque vous aurez atteint une taille critique. »
  • ne agence publique pour l'innovation, GovTech, composée de 1.700 personnes. Celle-ci est au­jour­d'hui fondue dans l'IDA (Infocomm Develop­ment Authority), qui regroupe aussi la future autorité de régulation des télécoms et des médias (700 personnes supplémentaires). Elle dispose déjà de son propre bras financier
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    Ce programme prévoit d'investir 12 milliards d'euros en recherche et développement sur les 5 prochaines années. En misant sur des acteurs locaux issus de GovTech - une agence publique centrée sur l'innovation - et différents partenariats bilatéraux notamment avec Londres, et Skolkovo, le centre de recherche Russe, Singapour souhaite encore augmenter la présence de start-up sur son territoire, qui a déjà triplé ces deux dernières années. On notera aussi le réaménagement de One-North, un nouveau quartier dédié à aux startups, incubateurs, et autres laboratoires de recherche.
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    Ce programme prévoit d'investir 12 milliards d'euros en recherche et développement sur les 5 prochaines années. En misant sur des acteurs locaux issus de GovTech - une agence publique centrée sur l'innovation - et différents partenariats bilatéraux notamment avec Londres, et Skolkovo, le centre de recherche Russe, Singapour souhaite encore augmenter la présence de startup sur son territoire, qui a déjà triplé ces deux dernières années. On notera aussi le réaménagement de One-North, un nouveau quartier dédié à aux startups, incubateurs, et autres laboratoires de recherche.
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lesechos - L'humain, point faible de l'auto autonome ? - 0 views

  • « Remplacer les chauffeurs par des véhicules autonomes qui viendront, d'une simple pression sur votre smartphone, vous chercher en bas de chez vous fait forcément partie de la stratégie d'Uber »
  • « Il ne va pas y avoir un big bang, mais une transition, avec l'ajout progressif aux véhicules de briques d'automatisme et de sécurité : conduite automatisée sur autoroute, dans les embouteillages… »
  • Pour faire une voiture autonome, il faut d'abord des capteurs (radars, caméras, télédétection par laser…) d'un prix raisonnable, pour percevoir l'environnement de la voiture (piétons, véhicules, signalisation…). On y ajoute des actionneurs électroniques (frein, accélérateur, volant…) pour piloter la voiture ; on prend des systèmes de cartographie haute définition capables d'indiquer qu'il y a un feu rouge à tel endroit ; on mélange avec des systèmes de géolocalisation (GPS, minicentrale inertielle…) précis à 30, voire 10 centimètres près ; on saupoudre de connectique pour dialoguer avec les infrastructures ou les autres véhicules et anticiper leurs actions ; on recouvre d'algorithmes de fusion de données, capables d'interpréter l'environnement de la voiture (il y a un feu, mais est-il rouge ou vert ?) ; et l'on chapeaute le tout d'un algorithme de décision (pas de voiture en face, je peux doubler…).
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  • modifier la Convention de Vienne qui régit la circulation routière dans la plupart des pays membres des Nations unies. Son article 8 stipule toujours que « tout conducteur doit constamment avoir le contrôle de son véhicule ».
  • si la voiture amorce un déboîtement sur la gauche dans un embouteillage, il suffira de tenir le volant droit pour annuler cette manoeuvre. » Une approche inspirée des pressions qu'exerce un cavalier sur les flancs ou les rênes de son cheval. La voiture deviendra-t-elle enfin la plus noble, mais aussi la plus sûre conquête de l'homme ?
  • Une route en six étapesPlusieurs organismes, dont la Society of Automotive Engineers et l'Organisation internationale des constructeurs d'automobiles, ont élaboré des jalons sur la longue route qui mènera aux voitures autonomes. Niveau 0 : Le conducteur fait tout Niveau 1 : Assistance à la conduite, comme l'aide au maintien dans la voie que proposent déjà certains véhicules haut de gamme Niveau 2 : Automatisation partielle (la voiture se gare dans un parking…) mais sous l'entière supervision du conducteur. Déjà possible techniquement. Autorisation attendue vers 2018. Niveau 3 : Sur certains types de trajets (autoroutes, embouteillages à petite vitesse…), le conducteur peut faire autre chose. Peut-être vers 2020. Niveau 4 : Sur un trajet complet, le conducteur peut faire autre chose. Niveau 5 : La voiture se conduit toute seule et peut se déplacer sans personne à bord. Pas avant 2025/2030.
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    "Uber a débauché à prix d'or une quarantaine de spécialistes en robotique de l'université Carnegie Mellon de Pittsburgh, aux Etats-Unis, pour créer un centre de recherche dédié à la voiture autonome."
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legazette - La métropole, "bonne échelle pour développer le service public lo... - 0 views

  • veiller à une évolution en continu des infrastructures de collecte, de diffusion et de production de données.
  • identifier la manière de créer de la valeur sur le territoire à partir de ces données, en améliorant leur diffusion et leur exploitation, en lien avec les chefs de projet numérique de la métropole et les start-ups locales.
  • Le troisième relève de l’animation de la communauté, nous passons notamment via notre outil de travail au quotidien, le TUBÀ, un espace ouvert dédié à la création des services publics de demain. Il nous permet de rencontrer les utilisateurs, de connaître leurs besoins et de travailler à la diffusion des données.
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  • Nous les avons découpés en trois volets. Le premier consiste à développer l’accès au patrimoine informationnel de la métropole, et donc à faire évoluer notre plate-forme.
  • La solution ne serait-elle pas de travailler main dans la main avec Google, ce que nous faisons, dans un sens ? C’est aussi un potentiel de création de services, on le voit dans les villes qui ont ouvert leurs données à Google
  • La troisième partie porte sur l’acquisition de données. Jusqu’à présent, nous étions plutôt sur des stratégies d’opportunités, c’est-à-dire que, dans le cadre d’un projet, comme Optimod’Lyon
  • Moovit exploite nos données et celles de nos partenaires en temps réel, après avoir signé la licence, et les enrichit avec le retour de ses utilisateurs.
  • Second point, nous souhaitons accompagner la réutilisation des données par nos réutilisateurs, à travers le TUBÀ, par des hackathons, des challenges, des meet-ups…  Nous avons aussi un projet avec la Fing baptisé MesInfos, et portant sur le “selfdata”, que nous allons essayer de valider.
  • L’objectif est vraiment de poser la métropole comme le porteur du service public de la donnée sur son territoire et au travers des tests, de faire la preuve d’un service et ensuite de le porter sur le territoire national.
  • Nous allons d’ailleurs nous rapprocher de la CNIL. C’est une question d’efficience du service public. Nous essayons également d’être force de proposition et territoire d’expérimentation, par exemple sur les taxis ou sur le développement d’un moissonneur de nos données autre que géographiques qui serve à d’autres collectivités.
  • Sous “licence engagée /Engaged license avec authentification des réutilisateurs (annexe 2 / appendix 2), visant à s’assurer que les réutilisations soient compatibles avec les politiques publiques sur la base des données de l’annexe 1 / appendix 1. Il s’agit d’éviter, par exemple, que le trafic routier soit envoyé devant des écoles parce que l’axe principal situé dans une rue parallèle est indiqué saturé. Cette licence permet des échanges entre le Grand Lyon et les réutilisateurs afin de mieux connaître les usages prévus et mieux comprendre les données”;
  • sous « licence associée / associated license visant à garantir un écosystème concurrentiel équitable, en évitant la formation de monopoles. Pour cela, cette licence outre l’authentification du réutilisateur (annexe 2 / appendix 2), introduit la possibilité d’une redevance en fonction d’un seuil élevé du taux de pénétration du produit ou du service créé
  • Nathalie Vernus-Prost est la première administratrice générale des données (AGD) en collectivité, nommée en avril 2015 au sein de la métropole de Lyon.
  • Notre système de licence est un vrai facteur vertueux. Nous avons le sentiment de faire en sorte que les partenaires privés participent à l’intérêt général. Je ne sais pas si nous aurions pu entamer notre échange avec Google sans lui.
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    "la collectivité s'est positionnée comme un animateur des producteurs de données, avec une plate-forme unique d'accès, dans un cadre de confiance. Les licences les rassurent et les encouragent à cette ouverture, car ils connaissent leurs réutilisateurs."
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