Skip to main content

Home/ InternetActu/ Group items tagged prédation

Rss Feed Group items tagged

hubert guillaud

Ras le bol du collaboratif - error 404 - 1 views

  •  
    Pour Julien Breitfeld, l'économie du partage demeure une économie du vol, de la prédation des externalités positives : des plateformes fermées et privées s'approprient le code, les contenus, les services que d'autres créent. "Rien de partagé, et rien de nouveau : il y a ici juste une substitution d'une activité autrefois dédiée à l'entreprise par une activité individuelle, sans le cadre réglementaire existant." Il y dénonce aussi l'économie du faux investissement. Le crowdfunding ne permet au souscripteur que de ne rien recevoir en contre-partie, ni dividende, ni action... ni toujours produit. Il réinvente la souscription et le bénévolat, pas vraiment autre chose. "Cet engouement pour le financement participatif s'explique en grande partie par la frilosité des acteurs traditionnels à jouer le jeu du risque." L'économie du partage n'est pas le retour du lien social ou une correction du système capitaliste, mais un système qui sert le déclassement économique. Le plus souvent, cette nouvelle économie cherche surtout à s'affranchir des législations en vigueur, en créant et renforçant une asymétrie qui joue au détriment du collectif. 
hubert guillaud

Dynamique et enjeux de l'iconomie - Michel Volle - 0 views

  •  
    Michel Volle évoque "l'iconomie", une économie-fiction mûe par le système technique contemporain, qui deviendrait le but que le politique peut assigner à l'économie actuelle. Une économie fondée sur l'hypothèse des rendements toujours plus décroissants, qui ne fonctionne que das un système de concurrence monopolistique. "l'iconomie est un monde réduit à un point (les effets économiques de la distance géographique ont disparu), mais doué d'ubiquité puisqu'également accessible de partout, et où la fonction de production de chaque produit est à coût fixe." C'est là un modèle bien différent celui auquel les économistes sont habitués. Le coût marginal étant nul, il ne peut servir de repère pour déterminer les prix. Et le système a tendance à créer des monopoles sur chaque segment de types de produits. Chaque produit est un assemblage de biens et de services. Reste que cette iconomie n'est pas sans risque, souligne l'économiste : chacun cherche à assurer son monopole et comme l'iconomie est "une économie du risque maximum, le potentiel de violence y est porté à son maximum" dans une économie qui retourne à la prédation des temps féodaux. Rien de moins. 
hubert guillaud

Reporterre.net - L'iPhone 5 est un désastre écologique - 0 views

  •  
    "En commercialisant le 12 septembre l'iPhone 5, Apple met non seulement en vente un gadget dernier cri, mais impose aussi à ses clients, partenaires et aux producteurs de produits dérivés, une nouvelle donne. Car si le design de l'iPhone 5 marque une rupture avec les modèles précédents, la connectique est, elle aussi, différente : le nouveau chargeur de l'iPhone 5 sera donc incompatible avec les 183 millions d'iPhone, 73 millions d'iPad et 275 millions d'iPod vendus dans le monde. Il en sera de même pour les stations d'accueil et autres chaînes hi-fi : de quoi nous inciter à renouveler tous nos équipements ?"
hubert guillaud

iPhone 5 : avec son nouveau port, Apple se fiche de notre pomme | Slate - 0 views

  •  
    Quant à changer de port, pourquoi Apple n'a-t-il pas choisit un port USB ? "En introduisant un connecteur dont il est propriétaire, Apple continue de chapeauter le marché juteux des accessoires. Apple pourra ainsi à la fois exiger des fabricants qu'ils lui paient des droits d'utilisation de son connecteur, mais également interdire la mise sur le marché d'accessoires dont il ne veut pas", estime Farhad Manjoo.
1 - 4 of 4
Showing 20 items per page