Mais le plus souvent, il est apparu que l’information génétique, seule, ne pouvait pas tout expliquer. Elle n’est que prédictive et dépend pour beaucoup d’autres facteurs, notamment environnementaux.
Ici, l’équipe d’Aleksandr Kogan a voulu tester l’hypothèse selon laquelle un génotype donné influerait sur la manière dont sont perçues les personnes.