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... le Coréen s'est mis lui-même dans une délicate position relevant de l'abus de position dominante présumé, et le retrait de ses demandes de blocages de produits Apple en Europe n'a pas fait reculer Bruxelles. The Guardian souligne que la Commission européenne pourrait, si elle estime Samsung coupable, lui imposer une très lourde amende, pouvant monter jusqu'à 10% de son chiffre d'affaire global. En 2011, Samsung a gagné 148,9 milliards de dollars : par conséquent, l'amende la plus sévère avec laquelle Bruxelles pourrait sanctionner la firme s'élèverait à près de 15 milliards de dollars, soit environ 9,3 milliards d'euros. Un scénario catastrophe qui reléguerait le milliard de dommages et intérêts du procès américain à une paille pour Samsung. Néanmoins, c'est également la pire condamnation qui pourrait toucher la firme : pour l'heure, on ne sait pas comment va se dérouler l'enquête de la Commission européenne, mais il y a fort à parier que Samsung cherche à négocier avec Bruxelles. Affaire à suivre… en 2013. "

15 milliards avec ou sans taxes ? ;p

"An effort by United States lawmakers to prevent government agencies from domestically tracking citizens without a search warrant is facing opposition internally from one of its largest intelligence services. Republican and Democratic aides familiar with ongoing defense-spending negotiations in Congress say officials at the National Security Agency (NSA) have approached lawmakers charged with its oversight about opposing an amendment that would prevent it from paying companies for location data instead of obtaining a warrant in court. Introduced by US representatives Warren Davidson and Sara Jacobs, the amendment, first reported by WIRED, would prohibit US military agencies from "purchasing data that would otherwise require a warrant, court order, or subpoena" to obtain. The ban would cover more than half of the US intelligence community, including the NSA, the Defense Intelligence Agency, and the newly formed National Space Intelligence Center, among others."

Illégale le contournement d'un système de protection du fichier numérique, même pour une utilisation personnelle ou éducative. Et on parle ici d'une faute sérieuse passible d'une amende allant jusqu'à 1 million de dollars et 5 ans d'emprisonnement

Les fake news n'ont pas seulement de l'influence sur la politique mais aussi sur la bourse !

Je dois avouer être très surprise de voir les principes des réseaux sociaux à être impliqués dans la loi américaine. Cela renchérit le point selon lequel aucune structure ne peut éviter l'avancement des réseaux sociaux dans le quotidien des gens. Il y a quelques années, aurait-on pensé que le fait de peser sur un simple symbole de "pouce en l'air" pouvait, oui ou non, changer son avenir.

Le président américain n'a pas le droit de bloquer ses opposants sur Twitter juste parce qu'ils ne seraient pas d'accord avec lui. C'est ce qu'a assuré une cour d'appel composée de trois juges mardi 9 juillet.

Mine de rien, cette nouvelle est importante car elle oppose les pratiques totalitaristes du président en poste au fondement même du pays, soit le premier amendement de la Constitution.

La Federal Trade Commission (FTC), chargée de la protection des consommateurs américains, a dévoilé mercredi le résultat de seize mois d'enquête sur le plus grand réseau social numérique.