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Home/ Groups/ Les identités numériques
Alain Marois

Généralités - Centre d'aide Comptes Google - 2 views

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    les infos données par google sur la personnalisation de la recherche via l'historique web ou les cookies.
Palut Pascal

Twitter - 0 views

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    M.Gaetan Gorce sénateur de la Nievre
Palut Pascal

Le programme de travail 2012 - Centre d'analyse stratégique - 0 views

  • L’impact des technologies de l’information et de la communication sur le champ du travail et de l’emploi.
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    L'impact des technologies de l'information et de la communication sur le champ du travail et de l'emploi.
Palut Pascal

Rapport public 2011 du Conseil d'Etat « Les Annonces De La Seine" - 0 views

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    Le concept de loi-code est de retour
peir ric

Comment les jeunes vivent-ils et apprennent-ils avec les nouveaux médias ? - ... - 0 views

  • "Ce qui distingue les pratiques médiatiques des jeunes repose sur la différence entre ce que nous avons appelé les pratiques conduites par l’amitié et les pratiques organisées autour de centres d’intérêt.
  • "Hanging out" (passer du bon temps ensemble), en utilisant des outils comme la messagerie instantanée, Facebook ou MySpace pour retrouver et discuter avec ses amis ;
  • "Messing out" (surfer, se frotter à l’extérieur), chercher de l’information, bricoler avec des moyens expérimentaux ou naviguer au hasard ;
  • ...6 more annotations...
  • "Geeking out" (bidouiller), ou se plonger en profondeur dans un domaine d’intérêt ou de connaissance spécialisé.
  • ne s’agit pas de classer les jeunes comme ayant une identité unique ou un ensemble d’activités bien déterminé. Mais d’identifier clairement différentes façons dont ils peuvent participer à la culture médiatique. (...) La diversité des pratiques reflète les différentes motivations, les niveaux d’engagement et d’intensité dans l’emploi de ces nouveaux médias",
  • il est essentiel pour les adultes de se rendre compte que ces sites fonctionnent essentiellement pour renforcer des connexions préexistantes, en utilisant les technologies comme moyen de médiation.
  • la plupart des pratiques observées montrent que les jeunes utilisent les sites sociaux pour compléter leurs relations sociales hors ligne plutôt que pour se faire de nouveaux amis à l’autre bout du monde.
  • Les jeunes les plus marginalisés (comme les homosexuels, les minorités ethniques ou les immigrants) dans leurs univers locaux et sociaux vont plus souvent en ligne à la recherche d’amitié ou d’intimité.
  • Les pratiques axées sur les centres d’intérêt produisent plus souvent des interactions avec des gens au-delà de leur région ou des groupes sociaux auxquels les jeunes appartiennent
peir ric

Facebook stocke toutes vos données - PressMyWeb | PressMyWeb | web 2.0, e-mar... - 1 views

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    En même temps, si l'algorithme de fb est basé sur les interactions, il est normal qu'il considère la suppression d'un message comme une interaction comme une autre et qu'il la conserve donc en tant que telle
peir ric

Identité numérique et détournements - CaddE-Réputation - 1 views

  • Et, surtout, que la notion de web social amène celle de profils (sur les plates-formes), d’exposition de soi et de développement d’interactions et d’échanges entre internautes.
  • info-communicationnelle
  • Ce qui impact alors directement l’e-réputation, considérant entre autre que celle-ci repose sur la mise en contexte et l’interprétation que l’on fait du comportement de  quelqu’un ou quelque chose en fonction des informations qui circulent sur lui en ligne.
  • ...14 more annotations...
  •  l’ensemble des traces que nous laissons derrière nous [sur le web] ».
  • Traces qui peuvent être profilaires (les profils que l’on remplit), navigationnelles (laissées par la navigation sur les applications web) ou encore inscriptibles (contenu que l’on produit sur le web, et qui est généralement indexé donc mémorisé).
  • Nous ne nous inscrivons donc pas tous dans les mêmes cercles. Si Milgram nous a appris que nous étions tous connectés les uns aux autres à divers degrés, le web permet de faire une séparation entre ce que nous montrons aux uns et aux autres. Et c’est des relations que nous avons avec les cercles les plus « obscurs » que nous développons une identité numérique qui nous est propre, donc difficilement détournable.
  • Ses attributs identitaires (ses traces) sont à la fois indexés par les plates-formes qu’il utilise, par lui-même, par les autres, ils sont sans cesse réarticulés sémiotiquement parlant (redocumentarisés diront certains), changés de contextes, intégrés dans des bases de données, etc.
  • En résumé, et en gardant l’analogie documentaire (voire même plus loin, avec l’idée que nous sommes des « textes commentés par d’autres  textes »), il est intéressant de souligner que l’on peut falsifier et/ou détourner un document ou un texte (et encore plus son sens et sa possible interprétation)…
  • Idée qui se rapproche, de mon point de vue, de celle de la théâtralisation de soi de Goffman, où l’on choisit consciemment ou non ce que l’on souhaite projeter aux autres comme image de nous (de manière très schématique).
  • ces fameuses traces sont à la fois beaucoup plus et beaucoup moins que l’identité.
  • En bref, les réactions des contacts « proches » (les quelques contacts avec lesquels on échange constamment) face aux traces et à leur visibilité sont une forme de mise en contexte qui permettent de définir l’identité numérique d’un individu. Et, surtout, d’identifier un détournement.
  • le meilleur moyen est d’observer les échanges et contacts avec les cercles proches de l’IDN que l’on observe.
  • la réputation est avant tout (d’un point de vue informationnel) un système d’évaluation. Un ensemble de critères permettant de définir l’intérêt que l’on porte ou pas à quelqu’un d’autre, ou encore d’influer sur  le choix d’une information.
  • artant de ce principe, si le détournement change le sens des attributs identitaires, influe sur le contexte d’interprétation des signes que l’on émet, alors il modifie certains attributs réputationnels…donc la possible évaluation que les autres portent sur nous.
  • Le risque est donc là, le détournement des traces que l’on laisse peut redéfinir le sens qu’on leur donne, et donc biaiser l’évaluation que les autres portent sur nous.
  • Si le web est grand producteur de données, seule leur mise en contexte (par les autres notamment, la manière dont ils articulent, réarticulent les traces, les échanges, leur comportement face aux traces, etc.) permet de définir un début d’identité numérique.
  • Mais, pour ma part, je ne fouillerai pas jusque-là, l’idée étant ici de seulement souligner que le détournement de l’IDN est un détournement du sens, et que le contexte relationnel est un indicateur de l’impact de ce détournement.
peir ric

Technologies de libération et de surveillance - 0 views

  • C'est sur ce schéma -capacité expressive plus capacité connective - que repose l'idée maintenant répandue depuis presque une vingtaine d'années que les technologies numériques sont intrinsèquement libératrices.
  • Face à la vision dite cyberoptimiste d'un forum planétaire incontrôlable où tout finit par se savoir et où la parole circulera forcément, s'oppose la crainte des technologies de contrôle. Celles-ci doivent forcément s'orienter dans deux directions : repérer et interrompre.
  • Le duel activistes contre autorité est donc à l'origine de nouvelles techniques que l'on a déjà baptisé "de libération" : utilisation des TIC pour surmonter l'obstacle d'une censure ou d'un repérage.
  • ...9 more annotations...
  • puis il faut que ce collectif prenne courage, se ressasse ses raisons d'être en colère et envisage de témoigner ou de faire.
  • La dimension de l'organisation et de la représentation ne sont pas moins importantes que celle de la communication pure.
  • Avant la révolte, il faut des communautés où chacun découvre qu'il n'est pas seul et que d'autres pensent comme lui
  • L'idée que "les technologie de libération offrent des possibilités de s'exprimer en dépit de la censure" est d'ailleurs réductrice.
  • Il faut enfin que les réseaux sociaux aident à passer dans la vraie vie et à en finir avec la schizophrénie entre le virtuel (où tout est possible) et le réel (où l'on courbe la tête et où l'on n'ose parler à personne de peur de la police).
  • En d'autres termes la lutte entre technologie de contrôle et de libération porte non seulement sur la capacité de mettre en ligne certains messages (ou d'y accéder) mais aussi sur la structure des réseaux qui encouragent certaines formes de participation et de coordination au sein d'une communauté.
  • Retenons globalement que les technologies de libération sont destinées à contourner une censure et d'échapper à une force de contrôle préexistante (sinon, il s'agirait d'une simple technique d'expression).
  • Et qu'elles visent assez logiquement à rendre des messages incompréhensibles ou intraçables pour une service de police, mais aussi à établir ou rétablir des capacités de connexions entre tous les activistes et à leur permettre d'avoir des échanges intenses (et en termes d'information et au sens psychologique).
  • Assez logiquement les technologies de libération vont prendre plusieurs directions : donner des outils de journalisme au simple citoyen, crypter ou anonymiser des contenus pour que l'État ne puisse pas savoir ce que vous dites et qui vous êtes, rétablir des réseaux secondaires, au cas où l'État voudrait couper les tuyaux.
Alain Marois

Le design de la visibilité : un essai de typologie du web 2.0 « InternetActu.net - 0 views

  • La manière dont est rendue visible l’identité des personnes sur les sites du web 2.0 constitue l’une des variables les plus pertinentes pour apprécier la diversité des plateformes et des activités relationnelles qui y ont cours. Que montre-t-on de soi aux autres ? Comment sont rendus visibles les liens que l’on a tissés sur les plateformes d’interaction ? Comment ces sites permettent-ils aux visiteurs de retrouver les personnes qu’ils connaissent et d’en découvrir d’autres ? Dominique Cardon, sociologue au laboratoire Sense d’Orange Labs, propose ici une typologie des plateformes relationnelles du web 2.0 qui s’organise autour des différentes dimensions de l’identité numérique et du type de visibilité que chaque plateforme confère au profil de ses membres.
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    article de Dominique Cardon sur les identités numériques; également dispo sur Cairn
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