Skip to main content

Home/ Les identités numériques/ Group items tagged membre

Rss Feed Group items tagged

peir ric

Koukoutsaki - 2 views

  • Ces dernières comptabilisent 975 actions (messages et approbations) engagées par 97 participants sur une période d’environ un mois.
  • le déploiement des discussions (structuration des échanges, actes de langage, référents)
  • l’activité des intervenants (types et intensités d’engagement)
  • ...58 more annotations...
  • Dominique Cardon (2008) propose de cartographier ces outils selon la façon dont les participants se rendent visibles les uns aux autres, entre « être » et « faire », « réel » et « simulation ».
  • Eugenia Siapera (2012, p. 202), les médias sociaux se réfèrent à un ensemble souvent hétérogène de sites qui utilisent la technologie à des fins d’interaction sociale et de génération de contenu émanant des usagers.
  • Selon Danah Boyd et Nicole Ellison (2007), les sites de médias sociaux sont des services web qui permettent aux individus de construire un profil public ou semi-public au sein d’un système délimité, de connecter ce profil avec une liste de profils d’autres usagers, ainsi que de visualiser et naviguer au sein de cette liste et, selon les cas, au sein de ses différentes autres connexions.
  • Thomas Stenger et Alexandre Coutant (2013) élaborent une autre approche pour classifier les médias sociaux. Sur la base d’une analyse dite sociotechnique, fondée sur les fonctionnalités offertes par les plateformes (« affordances ») et sur les pratiques effectives des utilisateurs (« arts de faire »),
  • classification des sites de médias sociaux recourant à deux axes.
  • différenciation suivant la motivation qui sous-tend l’usage : l’amitié versus l’intérêt
  • Le second révèle les différents types de données publiés : le soi (éléments biographiques, préférences, etc.) versus les contenus tiers (vidéos, news, etc.)
  • « communautés virtuelles », à savoir des plateformes organisées autour d’un intérêt précis et dont la logique est celle de la publication de contenus tiers.
  • homophilie
  • individus qui se ressemblent les uns aux autres, en termes de goûts, de convictions, de comportements, etc.
  • des espaces « communautaires » virtuels basés sur ce que la sociométrie appelle « des liens faibles »
  • rassemblements formés en ligne par des personnes qui ne se connaissent pas le plus souvent mais dont la mise en réseau permet une meilleure circulation de contenus (Mercklé, 2004, p. 47-49)
  • L’importance du réseau a également été soulignée par Serge Proulx et Guillaume Latzko-Toth (2000)
  • sa vision essentialiste apportée par Ferdinand Tönnies (1887/1992)
  • l’approche constructiviste liée notamment à la pensée de Benedict Anderson (1983)
  • Pour parler des collectifs en ligne, les auteurs (ibid., p. 117) utilisent plutôt « la métaphore du point d’eau dans le désert » ou l’image du « “point de passage” […], pôle d’attraction précaire où les individus de provenances diverses se “rencontrent” ».
  • La notion de déterritorialisation est davantage relevée par ceux qui travaillent sur les populations diasporiques (Dufoix, 2010 ; Mattelart, 2007)
  • Arjun Appadurai (1996) parle d’ethnoscapes et de « nouveaux patriotismes »
  • Benedict Anderson (1998, p. 58-74) s’interroge sur l’apparition des « nationalismes à distance »
  • l’engagement en ligne « relève plutôt du potentiel que de l’effectif ; même si la technologie fournit les moyens pour son accomplissement, les contenus réels que les gens publient en ligne peuvent ne pas être à la hauteur d’un processus délibératif »
  • « sauf si quelqu’un rentre dans le cyberespace avec un engagement précis en termes de promotion d’une nation, la structure même du web tend subtilement mais de façon systématique d’affaiblir les orientations nationalistes préexistantes » (ibid., p. 167).
  • la question de la double médiation (Jouët, 1993, p. 101, 117) qui est inhérente aux outils informatisés : à la fois technique, dans sa manière à structurer la pratique, mais aussi sociale, en tant que « cadre de référence,
  • Celle-ci mettra en évidence comment un ensemble d’usagers dans un contexte donné détourne la vocation principale d’un dispositif technique, en même temps que ce dernier, dans son sens foucaldien (Foucault, 1977), délimite le périmètre d’action de ceux-ci.
  • L’auteur souligne par exemple que contrairement aux conversations orales, les messages des forums sont archivés, du moins pendant une certaine période.
  • « sans début ni fin
  • Quant au graphisme de l’interface de la plateforme LinkedIn, il crée et impose ses propres règles de communication
  • inachevé
  • impossible, pour un seul locuteur d’avoir une lecture globale des échanges
  • En ce sens, toutes les discussions au sein des groupes LinkedIn n’ont pas la même profondeur et elles ne sont pas construites dans un cadre temporel unifié.
  • L’absence de contexte paralinguistique s’avère un autre point qui distingue les discussions en CMO (communication médiatisée par ordinateur) des conversations de face-à-face.
  • ralentit la spontanéité qui caractérise l’oral, en empêchant par exemple les coupures des phrases entre interlocuteurs ou les interventions parallèles
  • spontanéité d’ordre émotionnel ne se trouve pas complètement évacuée
  • une histoire des échanges plus longue,
  • Comme dans une situation de face-à-face en revanche, une discussion en ligne peut impliquer différents types d’intervenants. Erving Goffman (1987, p. 15) distingue les participants ratifiés des locuteurs non ratifiés « qui ne font qu’entendre, par inadvertance ou non, qu’on les y ait ou non encouragés ».
  • On peut, dans un premier temps, distinguer les locuteurs qui s’engagent dans la plateforme en position initiative ou réactive.
  • les déclarations provoquent [tandis que] les réponses sont provoquées (Goffman, ibid., p. 57)
  • Tableau 1. Types d’intervenants dans les groupes de discussion LinkedIn et degrés d’engagement Types d’intervenants dans les groupes de discussion en ligne Degré d’engagement pris Locuteurs-gestionnaires des messages (rares) Engagement très fort Locuteurs en position initiative Engagement très fort Locuteurs en position réactive Engagement fort Locuteurs exprimant une approbation Engagement moyen Témoins-membres du groupe Engagement faible Témoins-membres de la plateforme (pour les groupes ouverts) Engagement très faible
  • Cela correspond en moyenne à 4 réactions par intervention initiative. Cependant, en dehors des calculs moyens, la réalité est différente : 68 lancements de discussion n’ont pas été développés, tandis que 28 interventions initiatives n’ont été accompagnées que de quelques approbations, ce qui signifie que presque la moitié des interventions initiatives (96 sur 200) est resté sans réponse explicite
  • dernières constituent plutôt des « paroles ouvertes » (Goffman, 1987, p. 68)
  • Graphique 1. Le développement des fils de discussion selon le nombre réponses-commentaires (interventions réactives). En abscisse, les fils de discussion ; en ordonnée, le nombre des réponses-commentaires.
  • Graphique 2. Le développement des fils de discussion selon le nombre d’approbations (« j’aime »). En abscisse, les fils de discussion ; en ordonnée, le nombre des approbations.
  • celle de la transformation des discours, résultat de la recontextualisation de ces derniers et des cadrages d’interprétation éventuellement apportés.
  • « Lors de l’accomplissement d’un acte de discours […], le locuteur exprime en général le contenu propositionnel avec l’intention qu’une correspondance soit établie entre le langage et le monde suivant une certaine direction d’ajustement.
  • la majorité des interventions initiées par les membres du groupe, à savoir 177 sur 200, sont d’ordre déclaratif.
  • ou bien, ce qui est beaucoup plus fréquent, ils publient un lien vers un article de presse, une vidéo, etc. (rediffusion d’un texte déjà existant).
  • À ce titre, il est important de noter la dominance de la rediffusion des contenus en tant qu’activité principale des discutants
  • La curation de contenus relève d’un processus de circulation de l’information qui fait partie de l’acte communicationnel (Charaudeau, 2005, p. 23), si l’on tient compte que, « dans la réalité, nous communiquons le plus souvent en ayant le désir d’informer l’autre » (Sacriste, 2007, p. 33)
  • La curation soulève au moins deux questions : celle du statut de l’auteur/éditeur, en tant que personne qui sélectionne et diffuse l’information médiatique parfois en rajoutant ses propres commentaires
  • Si la « réussite d’un acte de langage » (Trognon, 1993, p. 98) est liée à la suite que les locuteurs donnent à ce dernier, cette répartition inégale fournit un premier élément de réponse à propos de l’usage que font les usagers de la plateforme.
  • elle est nommée « sociale » car elle se distingue, du moins partialement, des processus algorithmiques que mettent en place des info-médiateurs comme Google
  • du travail expressif que font les internautes pour construire leur singularité numérique » (Cardon, 2011).
  • C’est le processus de construction identitaire qui se trouve au centre de cette production collective de sens, à une époque où « l’identité prend en effet la place des autres systèmes d’inscription, d’organisation et de régulation pour servir de support, de balise et de cadre aux échanges dans l’espace et le temps »
  • n le sait, la proportion de contenus véritablement produits par les utilisateurs reste globalement très faible ». Mais qui sont alors ces « curateurs », membres du groupe ? 
  • Il est ainsi à noter que les 200 interventions initiatives qui composent le corpus ont été lancées seulement par 55 participants (pour un groupe qui comptait déjà presque 3000 membres au moment de l’enquête)
  • Graphique 5. Nombre de discussions initiées par participant. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des discussions initiées.
  • l’existence d’un modèle récurrent de participation (pattern of participation) au sein des groupes de discussion en ligne, avec un noyau de quelques membres contribuant à la majorité du contenu proposé, quelques membres périphériques intervenant de façon irrégulière et un grand nombre de « consommateurs passifs » (lurkers) lisant les discussions sans y participer.
  • Graphique 6. L’activité des « lanceurs » de discussions : interventions initiatives, réponses-commentaires, approbations. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des posts par catégorie.
  • Graphique 7. L’activité des « non-laceurs » de discussions : réponses-commentaires, approbations. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des posts par catégorie.
Emmanuel AURAY

Quora ou les bonnes pratiques d'utilisation du Facebook graph API | ReadWriteWeb French... - 0 views

  • Quora demande 3 permissions à ses utilisateurs s’inscrivant via le processus Facebook : Access my basic information : Cette autorisation permet à Quora, en plus de récupérer des informations de base sur le profil (photo, nom…), le social graph du membre ainsi que les « intérêts » de ce membre (si on détaille le flux retourné par Facebook, Quora va principalement exploiter les connections « activities, interests, music, books, movies, television, likes »). C’est précisément là-dessus que Quora marque des points par rapport à toutes les intégrations que j’ai pu voir de l’API Facebook
  • Post to my wall : Il s’agit d’une des autorisations les plus intéressantes de chez Facebook en terme de viralité. En effet, celle-ci permet à l’application de publier sur le wall d’un membre une news en son nom, qui sera diffusée dans le newsfeed de tous les amis du membre
  • Access my data any time : Une autorisation qui permet une mise à jour des données Facebook récoltées à n’importe quel moment, sans redemander l’autorisation à l’utilisateur. Idéal pour maintenir parfaitement à jour sa base de données et proposer des contenus toujours plus pertinents
  •  
    Après avoir étudié en profondeur le processus d'inscription de Quora, j'en suis arrivé à me poser la question suivante : est-ce que Quora va réussir là ou Twitter a échoué ? A savoir, proposer aux utilisateurs non avertis une interface personnalisée dès son premier contact avec le site.
  •  
    L'inscription à Quora desmande des permissions d'accès approfondis aux données personnelles de son compte Facebook
Julien PIERRE

L'Union européenne et les droits de l'homme - 0 views

  • 3. La protection des données personnelles Votre rapporteur a précédemment rappelé les inquiétudes suscitées par l'utilisation de plus en plus systématique de données personnelles dans la lutte contre le terrorisme, notamment dans le cadre des accords entre l'Union européenne et les États-Unis.
  • Sur un plan général, la protection des données personnelles a été harmonisée au niveau européen par une directive du 24 octobre 1995. Dans son rapport sur la mise en oeuvre du programme de La Haye en 2007, la Commission estime que cette directive a atteint ses objectifs mais souligne que certains États membres n'ont toujours pas intégré plusieurs dispositions importantes tandis que d'autres ne l'ont pas transposée ou appliquée correctement. Plusieurs procédures d'infraction ont ainsi été ouvertes. En outre, cette directive ne s'applique que pour les activités qui relèvent du cadre communautaire (le « premier pilier ») et pas pour celles relevant des autres « piliers », en particulier le troisième « pilier » qui recouvre la coopération policière et la coopération judiciaire pénale. Dans le cadre de ce « troisième pilier », la protection des données à caractère personnel a relevé jusqu'à présent du droit national. Cette protection est pourtant la contrepartie indispensable du principe de disponibilité défini dans le Programme de la Haye comme la possibilité pour « les services répressifs d'un État membre qui a besoins de certaines informations (préalablement à l'engagement d'une poursuite) dans l'exercice de ses fonctions de les obtenir d'un autre État membre qui les détient, en mettant ces informations à sa disposition ».
  • Toutefois, des règles spécifiques de protection des données personnelles ont été prévues pour chacun des systèmes d'échange d'informations créées à l'échelle de l'Union européenne, tels que le système d'information Schengen (le SIS), le système d'information douanier, ou encore le système d'information d'Europol et celui d'Eurojust. En outre, le traité de Prüm, signé le 27 mai 2005, contient aussi des dispositions détaillées sur la protection des données. L'adoption, le 27 novembre 2008, par le Conseil de la proposition de décision-cadre, présentée par la Commission européenne en 2005, permettra d'établir des normes communes en matière de protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel dans le cadre de la coopération policière et judiciaire en matière pénale. On peut néanmoins partager la crainte exprimée dans le rapport de consultation de Mme Martine Roure, adopté le 23 septembre 2008 par le Parlement européen, qui souligne que le Conseil était parvenu sur ce texte à un accord politique sur le plus petit dénominateur commun, notamment parce qu'il n'avait pas pris en compte les données traitées au niveau national.
  •  
    Rapport de Robert Badinter sur l'Union européenne et les droits de l'Homme
Palut Pascal

Conclusion s de l'avocat général dans l'affaire C - 117/13 Technische Univers... - 0 views

  •  
    Selon l'avocat général Niilo Jääskinen, un État membre peut autoriser les bibliothèques à numériser, sans l'accord des titulaires de droits, des livres qu'elles détiennent dans leur collection pour les proposer sur des postes de lecture électronique
peir ric

Implications philosophiques » Recension - L'identité, la part de l'autre. - 1 views

  • Il s’agit en effet de prendre position dans le grand débat entre internalisme et externalisme qui agite le monde philosophique et les biologistes depuis bien longtemps : l’organisme est-il le produit de ce qui est en lui dès l’origine, est-il le déroulement de ses composantes internes ou bien est-il le résultat de la façon dont son environnement extérieur le modèle ?
  • Cette question reçoit souvent des réponses différentes selon le champ disciplinaire dont sont originaires les biologistes qui s’y intéressent.
  • Dans ce cadre théorique, l’immunologie qui est au carrefour de la biologie moléculaire et de la biologie du développement est susceptible d’offrir un regard neuf, des exemples intrigants et une thèse plus audacieuse que celle de l’interactionnisme vague : c’est l’interactionnisme constructionniste. 
  • ...17 more annotations...
  • Selon cette thèse, notre identité n’est pas seulement le produit d’une interaction entre notre environnement et notre patrimoine génétique, notre identité est surtout le produit de la façon dont nous intégrons en nous l’extérieur et plus précisément l’autre :
  • En revanche, ce sont les conditions dans lesquelles s’exprime cette hétérogénéité qui décident l’organisme à déclencher une réaction immunitaire. Ainsi, la théorie de la discontinuité nous permet d’échapper à une vision de l’identité immunologique figée pour proposer une identité immunologique mouvante, adaptable, capable de se construire sur et par l’altérité, en intégrant d’autres identités à la sienne. La thèse de la discontinuité contribue donc à fonder la thèse constructionniste de l’identité biologique.
  • Ces auteurs, s’ils appartiennent à des courants de recherche quelque peu différents, partagent tous néanmoins la conviction que le débat entre externalisme et internalisme est une mauvaise question.
  • Cela n’a pas de sens de chercher à distinguer l’influence de l’environnement de celle du patrimoine génétique sur la détermination de notre identité, dans la mesure où ces deux paramètres ne cessent de se co-déterminer dans une dynamique incessante.
  • En revanche, il est intéressant d’étudier les relations par lesquelles l’identité individuelle se construit en intégrant ou en adoptant provisoirement des formes d’altérités.
  • Derrière le biologique se profile le politique, et avec d’autant plus de force que l’ouvrage est clairement destiné au grand public :
  • les auteurs ne cessent de jongler entre les références littéraires, anthropologiques, mythologiques, philosophiques outre bien sûr des références aux différents domaines de la biologie (génétique, théorie de l’évolution, biologie du développement).
  • Les premiers chapitres sont ainsi consacrés à l’explicitation du concept d’identité qui est successivement distingué de celui d’individualité et d’unicité.
  • l s’agit de s’intéresser à l’inscription dans le temps de notre identité : quelle permanence y a-t-il entre celui que j’étais hier, que je suis aujourd’hui et que je serai demain ? 
  • en faveur d’une théorie constructionniste de l’identité.
  • construire un lien entre identité biologique et identité humaine, entre notre identité en tant qu’individus distincts et notre identité en tant que membres de l’espèce humaine.
  • L’identité biologique n’est que le reflet d’un processus plus global de la construction d’un individu : c’est tout entier, en tant qu’individu biologique, en tant qu’individu social et en tant que membre de l’espèce humaine que nous nous construisons à travers un processus d’  « internalisation » de l’autre
  • C’est ainsi que d’une réflexion biologique, on passe à une réflexion politique sur le respect et l’ouverture à l’altérité, conçus non pas comme une option possible, comme un choix de société, mais comme une nécessité fondamentale.
  • omment concilier le caractère unique de l’individu et l’internalisation constante et permanente de l’autre dans notre identité humaine ?
  • l’autre est à la fois le miroir de mon existence et le moteur de ma construction.
  • C’est la pluralité de mes rencontres avec d’autres et la façon dont je les ai digérées qui fondent mon unicité.
  • C’est ainsi qu’on passe d’une théorie de l’identité biologique comme construction du soi par l’autre à une théorie de l’identité humaine comme ouverture à l’autre et à notre universalité.
Julien PIERRE

Digital Identity Forum: Virtual identities and LLPs - 0 views

  •  
    Limited Liability Persona = Personnage à Responsabilité Limitée. Principes du transfert des responsabilités appliqués à une personne morale. Exemple : un syndic dispose d'une id. virtuelle (et d'une clé / signature électronique). Si les membres composant le syndic viennent à changer, alors la clé change : création d'une nouvelle identité, avec de nouveaux certificats.
Julien PIERRE

Tous amis, tous pistés - Technologies - Le Monde.fr - 0 views

  •  
    Aka-aki est un réseau social (allemand) utilisant la géolocalisation des téléphones mobiles : cela permet d'identifier les membres du réseau qui pénètrent une zone de proximité, avec possibilité de sollicitations des (joli-e-s) inconnu-e-s. La CNIL locale a été incapable de jauger le respect de la confidentialité de l'outil, jugé trop nouveau.
Julien PIERRE

MyDeathSpace.com - 0 views

  •  
    L'identité numérique après la mort ? DemainLaVeille posait la question récemment. Sur MyDeathSpace.com, on met en ligne la nécor des membres (décédés) de MySpace.
Julien PIERRE

Press Release Consultation - 0 views

  •  
    En juin 2009, les Etats membres de la CEE devront inclure des données biométriques dans les passeports.
    En France, l'Imprimerie nationale vient d'annoncer que cette directive serait assurer par Gemalto, leader mondial dans le domaine.
    Avec une
Palut Pascal

Twitter - 0 views

  •  
    M.Gaetan Gorce sénateur de la Nievre
peir ric

Le bouton "j'aime" de Facebook déclaré illégal en Allemagne - 1 views

  •  Il estime que le bouton ne respecte pas le droit allemand et communautaire sur la protection de la vie privée, puisqu'il permet de contrôler y compris l'activité d'internautes qui ne sont pas membres de Facebook.
  • "Facebook peut tracer tous les clics sur un site web, voir combien de temps je suis dessus, ce qui m'intéresse", explique-t-il. Et transmettre ces données aux Etats-Unis, sans l'autorisation des internautes concernés.
Palut Pascal

CNIL (CNIL) sur Twitter - 0 views

  •  
    "Isabelle Falque-Pierrotin a été élue présidente de la #CNIL, Marie-France MAZARS vice-présidente déléguée, Eric Pérès, vice président."
peir ric

Economie de surveillance - Bloc-notes de Jean-Michel Salaün - 1 views

  • 1. L’économie souterraine du ciblage
  • Mais les logiciels espions ne s’en tiennent pas à des cookies et sont de plus en plus sophistiqués. Certains, par exemple, suivent ce que font les gens en temps réel, et évaluent instantanément le lieu, les revenus, les comportements d’achat et même les conditions médicales des personnes.
  • Les profils des individus ainsi recueillis, constamment actualisés, sont achetés et vendus sur une sorte de bourse qui a pris son envol dans les derniers 18 mois.
  • ...20 more annotations...
  • Parmi celles-ci la société BlueKai surveille, par exemple, les visiteurs de eBay.com ou de Expedia.com en temps réel et ces données sont revendues sur son site. Plus de 50 millions d’informations sur les habitudes de navigation des internautes sont vendues chaque jour à 1/10 de centime de $ pièce.
  • l semble néanmoins que, naïfs, inconscients ou complices passifs, nombre de sites ne sont pas au courant des logiciels espions qu’ils transmettent et qui sont initiés par des entreprises-tiers d’un nouveau genre où règnent les statisticiens.
  • « Les annonceurs veulent accéder aux personnes, pas aux pages web » ; « Quand une publicité est correctement ciblée, elle cesse d’être une publicité pour devenir une importante information » ; « Nous dirigeons les gens vers différentes files de l’autoroute ».
  • 2. L’importance du navigateur et des choix techniques
  • D’une part, il illustre combien la logique économique du web est radicalement différente de celle de l’économie classique des logiciels, culture initial de MSN, et repose exclusivement sur la publicité ciblée.
  • 4. Anonymat et personnalisation
  • L’épisode peut aussi faire réfléchir à la stratégie de Mozilla avec Firefox, drapé dans la vertu du logiciel libre, mais ne défendant pas mieux les données privées..
  • 3. Cellulaire ou mobile
  • Une même technologie, un même service est désigné selon les continents par des qualificatifs opposés. Ici, je garderai « cellulaire », plus représentatif des propos du WSJ. Les compagnies de téléphone savent, en effet, où se trouvent leurs abonnés à trente mètres près.
  • En réalité, les enjeux me paraissent ailleurs : sur la surveillance policière ou le contrôle social d’un côté, la publicité contextualisée, de l’autre
  • il suffisait du numéro de cellulaire de la personne, d’un ordinateur, de quelques connaissances sur la technologie des cellulaires pour surveiller n’importe qui.
  • Pour les paranos ou les incrédules, toutes les explications du chercheur sont ici . Il y explique comment il est possible de savoir, pour quelques cents et, tout de même, avec quelques compétences informatiques : qui vous êtes, quels sont les membres de votre famille, vos amis, vos collègues, où vous êtes, où ils sont, ce que vous êtes probablement en train de faire, pourquoi.. et ce que vous allez probablement faire ensuite.
  • D’autre part, il montre le rôle essentiel dans cette économie du navigateur dont les choix techniques ne sont pas gravés dans le marbre.
  • Sans doute, il leur arrive de se tromper, mais leurs propositions sont suffisamment fiables pour qu’ils aient trouvé un marché auprès des vendeurs de cartes de crédit qui évaluent ainsi en temps réel la fiabilité de leurs nouveaux clients.
  • Comme le dit le journaliste : « en résumé, les sites web ont gagné la possibilité de décider si vous serez un bon consommateur ou non, avant même que vous ne leur disiez quoi que ce soit sur vous-même ».
  • Mais la préservation de l’anonymat est toute relative et, par ailleurs même si ces sociétés disent ne pas faire de discrimination selon les genres, les profils ethniques, les handicaps qui tombent sous le coup de la loi, de tels profilages peuvent conduire facilement à des dérives éthiques.
  • 5. Contextuel ou comportemental
  • La firme détient par son moteur la plus grosse base de données sur les intentions des internautes, mais a résisté jusqu'à présent à surveiller ces derniers sans leur consentement pour préserver son image.
  • Le savoir faire de Google est d'abord contextuel, une expertise de traitement des textes, aussi bien les requêtes des internautes que les documents publiés sur le web et non comportemental, une connaissance des réactions des personnes. Cette dernière expertise est celle de FaceBook ou des jeunes firmes présentés dans les autres articles de la série.
  • comment préserver la culture de l'entreprise tout en faisant face à la concurrence ?
peir ric

FredCavazza.net > Comment les nouvelles règles de Facebook vont modifier le c... - 0 views

  • Publier des profils et des informations personnelles n’est pas très choquant en soit (après tout c’est ce que font des millions de blogueurs et tweeteurs) mais ce qui est gênant c’est que le service s’est toujours vanté d’être respectueux de la confidentialité des données, et maintenant qu’il a constitué une base de données gigantesque de profils (avec moyens de contact, listes d’amis, photos, vidéos…) il nous informe que tout ceci est librement accessible à moins que vous ne changiez vos paramètres de confidentialité.
    • peir ric
       
      ce qui gonfle, c'est le changement unilatéral des règles du jeu
  • Tout ceci est d’autant plus regrettable que certaines règles de sécurité ne sont pas respectées (Pourquoi Facebook a crucifié la sécurité) et que de nombreuses irrégularités ont déjà été constatées (Why You Shouldn’t Trust Facebook with Your Data: An Employee’s Revelations).
  • la confidentialité est un élément moteur dans la dynamique communautaire, changez les règles et vous changez la façon dont les utilisateurs vont se comporter.
    • peir ric
       
      YES !
  • ...6 more annotations...
  • Même si la majorité des utilisateurs des médias sociaux est avant tout en recherche de visibilité (cf. La vie privée n’est pas ce que l’on croit et Ok You Luddites, Time To Chill Out On Facebook Over Privacy) ce n’est pas une raison pour forcer la publicité des données personnelles
  • Nous nous retrouvons donc avec une meta-plateforme de publication qui en voulant enterrer ses concurrents (MySpace, Twitter…) va accélérer un phénomène d’avatarisation des membres.
  • Toutes les informations publiées sont ainsi autant de moyen de façonner un personnage qui vous ressemble et qui va renvoyer l’image que vous avez choisi, une image valorisante et forcément légèrement déformée de la réalité.
  • Rien de très malsain dans cette attitude (nous cherchons tous à montrer la meilleur image de nous-même) mais problématique pour un service qui se vante d’avoir le meilleur système de ciblage comportemental.
  • Les mécanismes de ciblage comportemental fondés sur un cookie (Wunderloop) ou sur l’historique de recherche (Google) ne sont pas affectés par ce phénomène de “travestissement” car les internautes n’ont pas l’habitude de tricher dans une situation de surf ou de recherche. Par contre cela risque de nuire à la performance des campagnes ciblées sur Facebook.
  • L’impact du changement des règles de confidentialité va donc être majeur mais va surtout se faire sentir dans la durée avec une prise de conscience de la part des utilisateurs que les données personnelles sont un actif et que la confidentialité est un business.
peir ric

Technologies du Marketing: Les paradoxes de la vie privée - du secret au mens... - 2 views

  • Cette balance mérite cependant d'être mieux caractérisée : les bénéfices reçus sont le plus souvent des bénéfices immédiats, les risques sont des risques futur dont la probabilité de réalisation est faible.
  • ur la valorisation des informations nouvelles, et qui propose et vérifie que si les bonnes nouvelles sont intégrées dans la décision, les mauvaises seraient masquées, ignorées, témoignant d'un comportement d'autruche.
  • A l'ère de l'information munificente, ce n'est ni la quantité ni la qualité de l'information qui compte, mais sa valeur dans un système de préférence. L'information est un bien soumis aux préférences, et l'on peut comprendre que des mécanismes de sélection déterminent son usage. En très bref, on ne retient que ce qui nous arrange dans l'immédiat.
  • ...6 more annotations...
  • Il est fort probable que les alarmes médiatiques plutôt que de dissuader soit totalement ignorées.
  • En conclusion, si fondamentalement le problème est une balance entre avantages obtenus (la personnalisation) et les coûts concédés (celui de l'abandon des données personnelles), trois questions sont posées :
  • 1) Selon quel modèle les conséquences futures de l'abandon des données sont évaluées ? Quels sont les types de risques envisagés : usurpation d'identité, surveillance policière, publicité non sollicitée....et quelles probabilités leurs sont associées ?
  • 2) Dans quelle mesure ces valeurs sont affectées par la manière dont le problème est posé pour chacun et par l'aversion au risque propre à chacun.
  • 3) Mais surtout de quelle manière les informations sur ces risques sont incorporées dans nos évaluations?
  • La conséquence de l'état d'ignorance dans lequel nous met la société de l'information est très certainement que la meilleure stratégie des membres de la société soit désormais de mentir et de dissimuler, il faudra explorer plus avant comment le triomphe de la transparence conduit au royaume de l'hypocrisie. Comment le secret violé conduit à la généralisation du mensonge.
1 - 20 of 24 Next ›
Showing 20 items per page