Skip to main content

Home/ Etudiants & Jeunes professionnels/ Group items tagged Croyance

Rss Feed Group items tagged

Veille & Documentation

IFOP - Synthèse - Les Français et les parasciences - 0 views

  •  
    "A l'occasion du lancement du nouveau service Astro Consult', l'Ifop pour Femme actuelle a mesuré le niveau de croyance des Français dans les parasciences et leurs attentes en matière de prédictions. Loin d'être un phénome marginal, les parasciences rencontrent un engouement chez les Français, et notamment les plus jeunes :   Contrairement à certaines idées reçues qui tendent à les réduire à des croyances obscures et marginales, les parasciences suscitent un phénomène d'engouement majoritaire : 58%, déclarent croire à au moins une des disciplines de parascience, à savoir l'astrologie (41%), les lignes de la main (29%), la sorcellerie (28%), la voyance (26%), la numérologie (26%) et la cartomancie (23%). Et, ce phénomène n'est pas seulement répandu, il est également en hausse continue depuis au moins une vingtaine d'années : La croyance dans l'astrologie a augmenté de 8 points par rapport à 2000, atteignant aujourd'hui les 41% La croyance dans les prédictions des voyant(e)s a également cru de manière continue en vingt ans (plus 8 points) pour s'élever aujourd'hui à 26%. Cette croyance dans les parasciences se traduit concrètement en actes : plus d'un quart des Français ont déjà consulté un spécialiste (26%) au moins une fois au cours de leur vie, dont 18% pour de l'astrologie, 14% pour de la voyance, 10% pour de la cartomancie, et 6% pour de la numérologie. Et là aussi, le phénomène semble progresser au fil des années, si on en juge par la hausse du taux de consultation de voyant(e)s : plus 5 points entre 1986 et 2020. A noter que ce recours aux parasciences pour chercher une clé d'explication à une/sa situation a été assez répandu à l'occasion de la crise sanitaire puisque 20% des adeptes ont vu un spécialiste cette année à propos du Covid-19."
Veille & Documentation

IFOP - Résultats - Les Français et les parasciences - 0 views

  •  
    A l'occasion du lancement du nouveau service Astro Consult', l'Ifop pour Femme actuelle a mesuré le niveau de croyance des Français dans les parasciences et leurs attentes en matière de prédictions. Loin d'être un phénome marginal, les parasciences rencontrent un engouement chez les Français, et notamment les plus jeunes : Contrairement à certaines idées reçues qui tendent à les réduire à des croyances obscures et marginales, les parasciences suscitent un phénomène d'engouement majoritaire : 58%, déclarent croire à au moins une des disciplines de parascience, à savoir l'astrologie (41%), les lignes de la main (29%), la sorcellerie (28%), la voyance (26%), la numérologie (26%) et la cartomancie (23%). Et, ce phénomène n'est pas seulement répandu, il est également en hausse continue depuis au moins une vingtaine d'années : La croyance dans l'astrologie a augmenté de 8 points par rapport à 2000, atteignant aujourd'hui les 41% La croyance dans les prédictions des voyant(e)s a également cru de manière continue en vingt ans (plus 8 points) pour s'élever aujourd'hui à 26%. Cette croyance dans les parasciences se traduit concrètement en actes : plus d'un quart des Français ont déjà consulté un spécialiste (26%) au moins une fois au cours de leur vie, dont 18% pour de l'astrologie, 14% pour de la voyance, 10% pour de la cartomancie, et 6% pour de la numérologie. Et là aussi, le phénomène semble progresser au fil des années, si on en juge par la hausse du taux de consultation de voyant(e)s : plus 5 points entre 1986 et 2020. A noter que ce recours aux parasciences pour chercher une clé d'explication à une/sa situation a été assez répandu à l'occasion de la crise sanitaire puisque 20% des adeptes ont vu un spécialiste cette année à propos du Covid-19.
Veille & Documentation

Fondapol | Julien Gonzalez : Enseignement supérieur : les limites de la « mas... - 0 views

  •  
    "Le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur est en constante augmentation, année après année. En parallèle, on constate un allongement de la durée des études, avec le master qui s'impose de plus en plus comme la norme. Pour autant, le chômage et le déclassement des jeunes se maintiennent à des niveaux historiquement hauts. Les déterminants aux politiques publiques visant à la démocratisation des diplômes sont doubles : une conception républicaine empreinte du principe d'égalité, la croyance qu'une augmentation du taux de diplomation (et donc du niveau de connaissances de la population) tirerait la croissance du pays. La réalité est autre : le nombre de bac + 5 délivrés est deux à trois fois supérieur à ce que le marché du travail est en mesure d'absorber. Les conséquences sont préoccupantes : frustration des jeunes diplômés et de leurs familles, dévalorisation des diplômes, renchérissement du coût de l'enseignement supérieur, emplois moins qualifiés non pourvus… L'étude se propose de creuser la piste d'une surdiplomation artificielle, dans la mesure où celle-ci n'induit ni réduction des inégalités sociales, ni augmentation du niveau général des connaissances, et se propose de placer au cœur de la réflexion une meilleure adéquation entre les diplômes émis et la structure du marché du travail."
Veille & Documentation

Le piège de la cohabitation - France Catholique - 0 views

  •  
    "Hélas, cette amie dirigeait son fils vers ce qu'on pourrait appeler "le piège de la cohabitation". Il se trouve - contrairement à une croyance répandue - que le taux de divorces parmi les couples qui vivent ensemble avant le mariage est sensiblement plus élevé qu'autrement - jusqu'à 40% selon certaines sources. On trouve des variantes dans ces statistiques inquiétantes. Les couples fiancés avant de se mettre en ménage s'en sortent mieux que les autres. Si pour la femme c'est une première et unique expérience, le taux de divorce est moins élevé. Une brève cohabitation avant le mariage aboutira probablement à un mariage plus stable que si la cohabitation dure longtemps. Quelles que soient les nuances, tous ces cas de figure ont des taux de divorce plus élevés que le cas des couples qui ne vivent pas ensemble avant le mariage."
Veille & Documentation

Observatoire de la laïcité - Etude à propos du principe de laïcité dans le ca... - 0 views

  •  
    Les situations dans lesquelles le principe de laïcité doit s'appliquer sont relativement nombreuses et diverses dans le cadre du SNU. Ces situations peuvent être classées en neuf catégories : - Personnels et encadrants : application ou non du principe de neutralité; - Usagers de la première phase en internat: restriction ou non à la manifestation d'une appartenance religieuse; - Usagers de la première phase accueillis au sein d'associations et de la seconde phase : application ou non du principe de neutralité - Bâtiments de la première phase : application ou non du principe de neutralité; - Bâtiments de la deuxième phase: application ou non du principe de neutralité; - Restauration dans le cadre de la première phase en internat : menus confessionnels autorisés ou non, menus différenciés proposés ou non; gestion de la pratique du jeûne; - Pratique et fêtes religieuses : autorisation ou non, dans quel espace et dans quel cadre à l'occasion de la première phase en internat ; - Activités : possibilité ou non de refuser une activité en invoquant une conviction ou croyance; - Associations accueillant les « appelés » durant la deuxième partie de la première phase et durant la seconde phase : exclusion ou non de celles ayant un caractère propre confessionnel.
Veille & Documentation

Opinion Way La Croix - En quoi les jeunes croient-ils ? - 0 views

  •  
    18-30 ans Questions sur : 1. Les jeunes et la religion - la probabilité de l'existence de Dieu - l'importance de la dimension spirituelle dans sa vie personnelle - le dialogue interreligieux - la difficulté d'assumer sa croyance en France - les différentes religions (appartenance) - la présence de la religion au fil de la vie - l'influence du Pape François 2. Les jeunes et l'engagement - le renseignement sur les organisations humanitaires et le service civique - les motivations à l'engagement - les domaines d'engagement - l'importance des critères d'engagement - les conséquences financières
Veille & Documentation

The Conversation - Recrutement : pourquoi les stéréotypes sur les jeunes ont ... - 0 views

  •  
    "L'existence de stéréotypes concernant les jeunes et leurs comportements est un constat récurrent. Les jeunes disposeraient de caractéristiques comportementales qui les éloigneraient des attentes légitimes des entreprises : ils auraient des exigences renforcées vis-à-vis de l'ambiance de travail, seraient plus individualistes, moins respectueux de la hiérarchie, et plus difficiles à intégrer dans les équipes. Plus créatifs et davantage multitâches, ils seraient finalement plus compliqués à manager et à fidéliser. Ces idées reçues ne sont pas vérifiées dans les faits. Mais les effets de ces croyances irrationnelles ne sont pas anecdotiques : elles sont une cause significative des difficultés que rencontrent les jeunes dans leurs parcours vers l'emploi, en particulier en France."
Veille & Documentation

INJEP - Le brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur-animatrice(BAFA) : Que... - 0 views

  •  
    Cette revue de littérature explore des travaux principalement issus de la sociologie et des sciences de l'éducation, pour analyser le lien entre BAFA, autonomie et engagement des jeunes. La partie introductive consacrée à une présentation de l'animation permet de situer le BAFA dans ce secteur professionnel et d'éclairer quelque peu les enjeux sociaux à l'œuvre dans l'idéologie d'un BAFA générateur d'autonomisation et d'engagement des jeunes. Cela étant, préciser ce qu'est l'animation n'est pas chose aisée, comme en témoigne l'absence d'une définition univoque et consensuelle dans la littérature scientifique. De même, délimiter clairement le champ d'intervention des animateurs-animatrices s'avère délicat. En revanche, un détour par les origines et la construction sociohistorique de l'animation permet, dans un premier temps, de comprendre les difficultés à circonscrire ce secteur et l'objet de son action. En second lieu, l'identification des caractéristiques actuelles du champ fait apparaître les dynamiques et les enjeux qui le traversent, de sorte, notamment, à bien situer le BAFA au sein du système de formation à l'animation. Le troisième point de ce chapitre introductif propose une mise en perspective européenne relative aux modalités de formation, d'accès et d'exercice de l'animation. Ce préalable s'ouvre sur une synthèse des connaissances qualitatives et quantitatives disponibles, sur le devenir des jeunes titulaires du BAFA Cela permet ensuite de saisir si et comment l'obtention du BAFA influence le parcours personnel et professionnel de celles et ceux qui décident de le passer, en particulier au niveau de leur engagement et de leur autonomisation. Dans le contexte du retardement de l'accès des jeunes au marché de l'emploi, cette question paraît faire diversion et mérite d'être déconstruite. D'autant plus qu'elle comporte la croyance en une compensation de la pr
1 - 8 of 8
Showing 20 items per page