Business schools françaises : pour rester leader, préparons l'avenir. Par Edo... - 0 views
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Veille & Documentation on 13 Feb 15"Tribune de Jean-Michel Huet, Associé chez BearingPoint et Edouard Husson, Professeur des universités, ancien Dean d'ESCP Europe, parue sur FocusRH, le 6 février 2015. Nous sommes convaincus que nos écoles peuvent continuer à rayonner à l'échelle nationale et mondiale… mais à condition de ne pas avancer avec des œillères, de ne pas croire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et donc de tenir compte des faiblesses de leurs modèles et des menaces qui les entourent. Ce rapport considère la situation d'écoles de tailles et de statuts divers : Insead, Skema Business School, Essec, HEC, EM Strasbourg, ISG, ECSP Europe, ESC Montpellier, TBS, IPAG, EM Lyon, Grenoble EM, EM Normandie, Kedge Business School, France Business School, Edhec, Audencia, ESC Rennes, Neoma, ect. Et, comme cela est d'usage pour toutes publications de l'Institut Montaigne, nous avons formulé des propositions opérationnelles, telles que : lancer un appel d'offre international pour ouvrir un ou deux centres d'excellence en Afrique francophone et anglophone ; développer les études de cas de PME-PMI, généraliser les stages en PME-PMI ; accroître le développement d'incubateurs et de fonds d'amorçage au sein des écoles ; moduler les droits d'inscriptions selon un gradient correspondant aux échelons de bourse du CNOUS, etc. Alors que nous avons parfois pu lire une présentation tronquée de notre rapport, nous précisons que nous n'appelons pas à ce que l'État finance les business schools, mais que nous plaidons pour un engagement financier ponctuel - conditionné à la réalisation de certains engagements - nous pensons ainsi que l'État pourrait - par exemple dans le cadre de la nouvelle vague IDEX - débloquer 100 à 300 millions d'euros, pour soutenir cinq à six grands projets de rapprochement entre des pôles universitaires et des business schools. Et, lorsque nous dessinons une possible répartition des rôles entre IA