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Ernesto Belisario 23 luglio 2011 "Proprio con riferimento all'ambito pubblico, ho notato che aumenta sempre più la distanza culturale tra l'Italia, dove molti Enti - addirittura - bloccano ai propri dipendenti l'accesso a questi siti, e gli altri Paesi in cui si moltiplicano le esperienze di Amministrazioni che scelgono i social media per dialogare con i propri cittadini-utenti. In questi casi, gli Enti dedicano grande attenzione all'adozione di documenti (le cosiddette "Policy") in cui spiegare le ragioni per cui l'Amministrazione si serve degli strumenti social e in che modo un dipendente pubblico deve usarli."

See also the embedded Social Media Policy video for staff of the Department of Justice (Victoria, Australia) by VictoriaGovDOJTV: http://www.youtube.com/watch?v=8iQLkt5CG8I

Andy Carvin July 27, 2011 (CET) ""If you're pulling a news report completely out of your ass, it's safer to go with Muslim." - Colbert on #Oslo coverage http://bit.ly/pa64sI"

http://twitter.com/#!/acarvin/status/96009688751144960 (in case Diigo mangles the full URL)

YANICK PHILIPPONNAT 26/07/2011, 06 h 00 | Mis à jour le 26/07/2011, 12 h 26 Midilibre.fr "Pour arriver à ses fins, à savoir avoir des relations sexuelles avec sa belle-fille, un Clermontais n'a pas hésité à user d'un stratagème particulièrement pervers. Cette affaire, qui vient d'éclater, a débuté voilà six mois dans le secteur de Clermont-l'Hérault. Le mis en cause, 46 ans, responsable de maintenance, a branché à son insu la webcam de l'ordinateur de la victime, âgée de 15 ans, avec laquelle il vit en compagnie de la mère de cette dernière. Il a ainsi capté des images de l'adolescente nue, la caméra se trouvant dans sa chambre."

A stepfather places a webcam in his 15 year-old stepdaughter's room, then befriends her on Facebook under "fake profiles" and threatens her to reveal the videos to her parents lest she has sex with him. Yet another confirmation that sexual violence is most often perpetrated by people known to the victim.

"Redaction en ligne Publié le 15/07 à 19h56 Selon Rossel, Google reproduit une mesure de rétorsion contre les contenus rédactionnels du groupe, quatre ans après avoir exclu les liens vers certains sites de presse francophone, à la suite du prononcé du jugement qui la condamnait à retirer les photos et articles protégés par le droit d'auteur de ses publications Google News et des mémoires caches. Rossel considère également que Google est parfaitement au courant du fait que Copiepresse n'a pas attaqué le fonctionnement de son moteur de recherche lui-même. Néanmoins, le Groupe Rossel affirme qu'il reste ouvert à des négociations avec Google, dans l'attente, en cas d'échec, des décisions judiciaires pour les procédures que Copiepresse a introduites concernant le paiement des astreintes judiciaires et des indemnités. Depuis vendredi matin, les liens vers les sites d'informations dont les droits sont gérés par Copiepresse (IPM, Rossel et Cie, les Éditions de l'Avenir, Sudpresse, Mediafin et Grenz-Echo) ne sont plus mentionnés sur le moteur de recherche Google."

"Rédaction en ligne vendredi 15 juillet 2011, 19:55 Et pas seulement : ce sont tous les sites de presse belge francophone qui ne sont plus référencés sur le moteur de recherche. "

Alexis Boisseau - 21 septembre 2011 "Comment sait-on qu'une œuvre fait désormais partie du domaine public et que, tout en restant une création de son auteur original (ce qu'on appelle le «droit moral», qui est éternel), on peut la rééditer ou réinterpréter sans payer de «droits patrimoniaux»? La loi est un bon premier guide, mais elle est tellement truffée d'exceptions qu'on ne peut se soustraire à des recherches parfois très longues. Dans la situation la plus courante, quand l'œuvre est «individuelle», les droits subsistent pour les ayants droits 70 ans après le 1er janvier qui suit la mort de l'auteur. Cette règle est née d'une directive européenne qui n'a été transposée en droit français qu'en 1997 et remplace, pour les œuvres qui n'étaient pas dans le domaine public au 31 décembre 1995 la durée de 50 ans de protection qui était en vigueur avant."

In French, but very clearly written, so maybe Google Translate won't make too much of a hash of it.