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Eric Delcroix

A PRACTICAL GUIDE TO IMPLEMENTING WEB 2.0 (AKA SOCIAL NETWORKING TOOLS) IN YOUR ORGANIZ... - 0 views

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    "A lot of organizations are struggling with what to do with a host of costly, high-maintenance technologies that they have introduced in the last decade, hoping these technologies would produce (a) improved internal productivity, and (b) better relationships with customers ..."
Christelle Gamache

Des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseau sociaux - 0 views

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    Les espaces numériques des bibliothèques ont pour mission de favoriser l'accès du grand public aux nouvelles technologies. Quels que soient l'âge et le niveau des utilisateurs, des ateliers et des rendez-vous individuels sont mis au point par les responsables tout au long de l'année. Le Centre de Ressources des EPN (Espaces Publics Numériques) de Wallonie nous signale une belle initiative de leurs collègues des Espaces Publics Numériques de la Bibliothèque Municipale de Lyon. En effet, ces derniers ont publié des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseaux sociaux. Disponibles gratuitement au format PDF, ces documents sont destinés à sensibiliser et former le grand public sur les nouveaux outils du Net.
Christophe Deschamps

Enterprise 2.0 Vs Diffusion of Innovation - 3 views

  • Relative advantage : what value does it bring ? Compatibility : how much effort to transition to this innovation ? Complexity : how much learning is required to apply it ? Triability : How easy is it to try the innovation ? Observability : How visible are the results ?
  • None of these intangible assets (human, organizational and informational capital – i.e databases, Information systems, networks, technology infrastructure) has value that can be measured separately or independently.
  • Mc Afee still recommend to build some kind of business case with the following elements
  • ...10 more annotations...
  • Costs and time lines
  • Expected benefits
  • Technology footprint
  • People make relative evaluations Reference point is status quo People are loss-adverse : a prospective loss of X is 3 times more painful that a gain of X is pleasurable.
  • These elements lead to the fact that we value what we have far more highly that what we could have instead. The result is what Gourville calls the 9x effect : people rate what they have 3 times more than their actual value and prospective items three times less than what they’re actually worth. A new item must therefore be at least 9 times better to justify the (perceived) effort required for the adoption.
  • As a result, McAfee quotes Gourville and recommends not to oversell the collaborative platform and make it clear that the adoption will be a long phase.
  • The objectives is to help them realize that these tools are the root cause of many of their daily work frustrations
  • So a 30 days trial might not be enough to see the full benefits of such solutions. However it can still proves how easy it is to use them.
  • A good strategy to make the results visible is to locate some teams of social networks enthusiasts (IT or HR departments might be a first good guess). And start to deploy the solution on such narrow teams.
  • In a transparency and observability purpose, it might be a good idea to monitor the knowledge workers perceived value of their tools and measure the progress. Preparing a questionnaire with a set of questions around the subject of collaboration, innovation, productivity and knowledge management could be a good starting point.
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    Revue du livre de McAfee par @ceciil
Christophe Deschamps

Les études de cas nous disent "c'est possible" et rien de plus ! | Bloc-Notes... - 5 views

  • au fur et à mesure que les premiers cas solides arrivent à propos des projets étiquetés “social media”, on a l’impression qu’un doute subsiste, ou que les cas ne semblent pas assez nombreux ou assez proches de leurs lecteurs pour les convaincre. Combien de fois entend on “ils n’ont pas notre culture, notre passé, nous ne sommes pas sur le même marché, nos produits sont différents, nos clients sont différents”.
  • D’ailleurs, tout le monde y croyait d’autant plus que toutes les entreprises étant sur un même secteur ou ayant les mêmes besoins déployaient peu ou prou les mêmes logiciels, accompagnées par les mêmes consultants qui en utilisant les mêmes méthodes en arrivaient aux mêmes implémentations.
  • i toutes les entreprises implémentaient les mêmes choses de la même manière, faisaient les mêmes choix, c’est également parce qu’on leur demandait d’être comparables. Les investisseurs avaient bien compris qu’ils ne pouvaient comparer des pommes et des poires alors ils exerçaient, même de manière inconsciente, une pression amenant à l’uniformisation des pratiques et des technologies. Qui aurait pris le risque de se retrouver montré du doigt en raison de choix manageriaux, technologies ou organisationnels non conformistes qui auraient fait qu’on aurait pas pu comparer ses résultats avec les autres, point par point, en utilisant les mêmes indicateurs dans le même contexte.
  • ...4 more annotations...
  • Le cas “entreprise 2.0″ se distingue par deux aspects. Le premier c’est que le logiciel en question ne fait rien par lui-même, que tout dépend des variables humaines, managériales, etc… qui étaient la variable cachée des cas des années 2000.
  • es réponses apportées par une entreprise A à ces questions sont peut être aux antipodes de celles qui conviennent à une entreprise B.
  • Souvenons nous d’un des principes de base, un des fondements du social media en entreprise. “Rendre les entreprises moins semblables”. Il est donc normal de ne pas trouver de réponse standardisée et standardisable à la manière de réussir.
  • l’apport de l’outil dépend de facteurs qui sont quasi uniques à chaque entreprise. Savoir, culture, capital humain, potentiel innovant…c’est ce qui différencie deux entreprises même lorsqu’elles ont l’air a priori identiques. Ce qui laisse à penser qu’une bonne implémentation de solutions de social software sera beaucoup plus différenciante que d’autres projets informatiques ont pu l’être par le passé. Mais s’agit il encore de projets informatiques ?
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    Billet essentiel de Bertrand Duperrin pour comprendre la logique qui doit animer les projets 2.0 et qui est radicalement différente des projets de type ERP.
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
  • ...9 more annotations...
  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Christophe Deschamps

Intellipedia suffers midlife crisis - 0 views

  • The problem? The growth of the collective intelligence site so far largely has been fueled by early adopters and enthusiasts, according to Rasmussen. About all those who would have joined and shared their knowledge on the social networking site have already done so. If the intelligence agencies want to get further gains from the site, they need to incorporate it into their own formal decision making process, he contended. Until that happens, the social networking aspect of Intellipedia is "just a marginal revolution," he said.
  • Established in 2005, Intellipedia, now managed by the Office of the Director of National Intelligence,  has approximately 100,000 user accounts. Open to anyone with a government e-mail account, it has social bookmarking tool, a document repository, a home page for each user, and collaboration spaces.
  • For true change to occur, other agencies must use Intellipedia as their official conduit, at least for some functions, Rasmussen said. Otherwise, it is just creating additional work for contributors.
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  • Another problem is that managers may not worry that their employees would not be comfortable contributing information to a social-networking tool. Rasmussen said he talked with one executive who said employees may not want to contribute personal items to their home page.
  • " 'Are you kidding?' " Rasmussen responded. "This is work. We force people to do stuff [they don't want to do] all the time — we make people come in sober and wear clothes. In certain cases top-down may not work, but in certain cases it does."
  • Contributors need to learn to accept "an agency-neutral non-ownership" stance to their articles, he said.
  • "If you bring too many locks into an overly cautious culture, that's all you get: locks," Rasmussen said. He also mentioned that mashups remain to be too difficult for non-programmers to create, and social networks continue to be held, presumably unfairly, by higher standards than other technologies.
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    Intelipedia, le réseau social des agences de renseignement US mis en place en 2005, connaît quelques difficultés. Intéressant retour d'expérience sur un projet 2.0 déjà ancien.
Miguel Membrado

Business starts to take Web 2.0 tools seriously - FT.com / Technology / Digital Business - 0 views

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    These companies, say the authors, are showing that the use of blogs, wikis, widgets and other Web 2.0 tools "encourages horizontal collaboration and harnesses the power of collective intelligence to boost productivity, foster innovation and create enhanced value".
Miguel Membrado

The Business Impacts of Social Networking - AT&T : Enterprise Business : Trends White P... - 0 views

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    Very good white from Cecile Demailly about how social tools (aka social networks) will change our corporations, and what we must do to reach this level.
Christophe Deschamps

La productivité en entreprise a besoin des liens humains - 0 views

  • Réseaux sociaux et outils 2.0 ne sont pas un facteur de dissipation en entreprise, au contraire. Ils permettent aux collaborateurs de construire un climat de confiance avec des collègues mais aussi avec d'éventuels clients et partenaires,
  • Donner plus de liberté et de flexibilité aux employés est généralement perçu comme contre-productif, pourtant il s'avère au contraire que cela donne plus de stabilité aux entreprises qui se prêtent au jeu
  • Les technologies et les solutions de gestion qui facilitent la communication changent perpétuellement. Au vu du climat d'affaires actuel, elles représentent une opportunité significative de créer de la valeur",
  • ...1 more annotation...
  • Reste qu'une telle étude doit être prise pour ce qu'elle est : un rapport commandité en partie par un opérateur, qui fournit des outils de collaboration aux entreprises.
Christophe Deschamps

Employers taking chances when blocking Facebook too, says Deacons - 0 views

  • 14 per cent use it at some time to access social networking sites. Usage is significantly higher among younger workers with 32 per cent of 16-24 year olds and 23 per cent of 25-34 year olds reporting frequent or occasional use. 20 per cent said their employer blocked access to social networking sites while 57 per cent said their employer allowed it (23 per cent did not know). 76 per cent of workers who use the Internet at work could see a benefit to their organisation in allowing access to social networking sites believing it showed: - trust in employees (68 per cent);  - gave people a break from day to day work and kept them fresh (48 per cent); and  - allowed them to better network with other employees, customers and suppliers (40 per cent). Among those who use social networking sites, 91 per cent saw a benefit to their organisation from the activity. In general, younger workers were more likely to see these benefits than their older counterparts. 16 per cent overall said an employer’s policy re on-line social networking would influence their decision to join one employer over another. This view was particularly strong among 16 to 24 year olds, with one in four saying it would. 91 per cent say that they use the Internet appropriately at work, with only 1 per cent admitting to frequent inappropriate use.
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    Etude australienne, avril 2008
Yan Thoinet

Entreprise 2.0 at Savoirs en réseau - 0 views

  • 2008, l’année de l’entreprise 2.0 selon Forrester 03.02.08 - 12:45 Selon le Forrester Research, l’année 2008 sera l’année de l’entreprise 2.0. Toujours selon lui, 42 % des entreprises n’envisagent pas de recourir aux technologies Web 2.0. Et pourtant, trois raisons résumées par Anthony Poncier, devraient les faire changer d’avis : 1. De nombreuses personnes qui travaillent dans les nouvelles techonologies utilisent déjà des services web […]
Yan Thoinet

Entreprise 2.0 - Wikipédia - 0 views

  • "Entreprise 2.0 est un terme pour les technologies et pratiques commerciales qui libère la force de travail des contraintes des outils de communication et de productivité comme l'email. Il permet aux cadres d'accéder à la bonne information au bon moment à travers un réseau d'applications inter-connectées, services et dispositifs. Entreprise 2.0 permet d'accéder à l'intelligence collective de nombreuses personnes, transférant un énorme avantage compétitif se traduisant par une augmentation de l'innovation, la productivité et de l'agilité."
Yan Thoinet

Symposium Gartner Les trois domaines impactés par l'Entreprise 2.0 - 0 views

  • Symposium Gartner Les trois domaines impactés par l’Entreprise 2.0 jeudi 08 novembre 2007 Par Bernard Laur, consultant Synthèse Informatique. Quel sera l'impact des évolutions actuelles du Web 2.0 sur l'entreprise et son système d'information ? La question mérite d'être posée même si l'on a du mal à imaginer le type d'intégration envisageable et applicable au phénomène actuel marqué par les réseaux sociaux et autres « mashups ».  Les analystes du Gartner ont évalué trois grands domaines dans lesquels cet impact devrait se faire sentir : les utilisateurs, les services et les architectures applicatives.  Les utilisateurs sont incontestablement un des facteurs qui devraient favoriser (pousser) l'utilisation du Web 2.0 en entreprise. Les « Digital natives », nés dans les années 90's et élevés devant un PC connecté au Net,  portent aujourd'hui les technologies Web 2.0 et  vont intégrer les entreprises dans les toutes prochaines années. Il faut s'attendre à ce qu'ils demandent à retrouver en entreprises, comme collaborateurs ou comme clients, certains des outils et services auxquels ils se sont habitués très tôt dans leur utilisation du Web « grand public ». Soit dit en passant, on peut s'attendre également à ce que la fracture se creuse entre les « Digital natives » et les « Digital migrants » au sein de l'entreprise, les modes d'utilisation des premiers nommés n'ayant guère à voir avec ceux des utilisateurs classiques d'entreprise, à l'âge moyen plus élevé et au « passé » d'Internaute nettement moins riche.
Yan Thoinet

» Nine ideas for IT managers considering Enterprise 2.0 | Enterprise Web 2.0 ... - 1 views

  • In addition to Web 2.0 itself however, we have two more important enterprise software trends: Office 2.0 and Enterprise 2.0, coined by Ismael Ghalimi and Andrew McAfee respectively.  Office 2.0 represents the increasing use of browser-based software in the office, while Enterprise 2.0 is more Web 2.0-ish in that it specifically describes the use of freeform, emergent, social software to conduct collaboration and share knowledge.
  • Specifically this means the fact that corporate information tends to be non-shared by default, that the easiest productivity tools to use are the ones that have very little collaboration built-in, and that the information that does exist is often impossible to find and is often structured in some formal, centrally controlled way.
    • Yan Thoinet
       
      Very true.
  • Certainly, increased transparency, some loss of control over information flow, and outright abuse of low-barrier Intranet publishing tools gives enterprise IT and business leaders pause for thought.
  • ...16 more annotations...
  • And while some of it must remain under strict control, particularly in public companies, much of it is unnessarily — and usually to a fault — hidden, unreused, and unexploited.
    • Yan Thoinet
       
      Unexploited sources. Action: Implement a Wiki so as to share and keep up to date this wealth of information e.g. manuals, meeting agenda, minutes of meeting. This would act as the memory of the enterprise
  • Explain the reasoning behind retaining more knowledge, in making it public, searchable, and organizing it via tagging.  Describe the benefits of being able to access much fresher and more up-to-date information elsewhere in the organization because their colleagues are managing more of their projects, tasks, and other work via social tools. 
  • Provide useful templates for common activities and reference material such as projects, tasks, resource management, policies, procedures, standards, and so on.  You still have to keep template layouts and template usage simple; excessive structure tends to kill the golden goose of contributions quickly.  But a little basic structure goes a long way and prevents contributors from having to figure out how to structure all the white space and provide a simple layer of consistency.
  • The enterprise has not caught up, largely because most enterprise information doesn't allow a hyperlink structure, and links aren't encouraged very much when it does
  • setting up blog and wiki directories as well as good enterprise search based on link ranking (which is what Google does to make the right information come up in the first few pages of search results.) 
  • Provide your own search engine in the tools only if you must.
  • Create an internal Wikipedia that contains a seperate copy of all Intranet content and let users edit away.
  • This boils down to having some form of moderation, either human or automated, to ensure that the level of discourse remains at some bare minimimum acceptable standard. 
  • A high-profile executive sponsor that obviously uses the tools can also help in a big way.
  • Triggering an Enterprise 2.0 ecosystem quickly is likely an early activity driver.  This can mean a lot of things but the link structure of Web tools allows information to quickly flow, circulate, and mesh together.  You can leverage this in a almost infinite number of ways to drive user activity, interesting content, create awareness of what the company is "thinking", and more.  For example, create a blog for every employee in the company and mail the link to them with instructions on how to use it. >  Create a social bookmarking site for the enterprise where everyone can see what is being bookmarked by everyone else that day. >  Create an internal Wikipedia that contains a seperate copy of all Intranet content and let users edit away. >  The possibilities are endless and provide a much greater number of "entry points" where people can get started with these tools.
  • The problems will be with the business culture, not the technology. 
  • For example, create a blog for every employee in the company and mail the link to them with instructions on how to use it. 
  • Create a social bookmarking site for the enterprise where everyone can see what is being bookmarked by everyone else that day.
  • , the real issue, day in and day out, with getting Enterprise 2.0 to take off is to educate, evangelize, demonstrate, and most importantly, evolve the interface and structure of your tools until you pick the right formula that resonates with your audience.
  • Allowing the output of SQL queries to be inserted into wikis when they load, calling Web services or using Flash badges that access data resources can turn Enterprise 2.0 tools from pure knowledge management into actual hybrids of software and data
  • And the reverse should be true as well, getting data back out into traditional tools including Office documents, PDFs, and XML must be easy to inspire trust and lower barriers to use.
Yan Thoinet

Andrew McAfee - 0 views

  • factors that differentiate successful Enterprise 2.0 deployments from unsuccessful ones
  • things that are especially important to get right in order to succeed with E2.0. Italics denote difficulty— aspects of technology, initiatives, and culture that seem to be particularly hard to get right.
Yan Thoinet

Web 2.0 : la révolution par les usages - 0 views

  • Tout au plus les technologies sur lesquelles est fondé l'Internet (HTML, javascript, CSS...) ont-elles légèrement évolué vers un cadre mieux défini, plus ouvert et plus standard.
  • "Une participation plus forte des internautes"
  • Des utilisateurs qui partagent plus
  • ...5 more annotations...
  • De même, les wikis connaissent également une forte croissance. Wikipedia, l'encyclopédie en ligne collaborative, en est la figure emblématique. Tellement emblématique qu'elle en devient la cible de critiques organisées. Qu'à cela ne tienne, de nombreuses déclinaisons existent déjà : WikiNews, WikiBooks, WikiTravel et même YelloWikis (les pages jaunes en version collaborative).
  • un système de classification basé sur des mots-clés collectifs (ou tags). Le principe est simple : ce sont les utilisateurs qui organisent leur contenu (photos, liste de liens, musique...) en appliquant à chacun des éléments un ou plusieurs tags. Ces tags sont ensuite mis en commun et les plus pertinents ressortent statistiquement du lot. Il s'agit en quelque sorte d'une forme de classement empirique qui repose sur l'appréciation de chacun.
    • Yan Thoinet
       
      Bonne definition
  • Les folksonomies en sont un bon exemple avec des services aux noms étranges comme del.icio.us ou FlickR.
  • Les réseaux sociaux trouvent également d'autres domaines d'application comme les ressources humaines où les sites de recrutement reposant sur le principe de cooptation commencent à voir le jour : Jobster aux Etats-Unis ou encore Cooptin lancé récemment par Keljob.
  • "Une ère nouvelle où les utilisateurs sont contributeurs et bénéficiaires"
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