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Elise Carbone

Twitter today, quitter tomorrow - 0 views

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    Article qui analyse la fidélité des utilisateurs. L'effet de découverte de l'outilspassé, 60% tweeters n'utilisent plus leur espace.
Christophe Deschamps

Panorama des outils 2.0 au service de la veille - 0 views

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    La veille collaborative est aujourd'hui une réalité dans de nombreuses entreprises. Cette collaboration s'insère à toutes les étapes du processus de veille : ciblage, collecte, analyse et diffusion. Dans ce contexte, les outils issus du web 2.0 peuvent largement contribués à l'amélioration des activités de veille.
Christophe Deschamps

Management.fr Vs 21ième siècle : le coût de la hiérarchie et du contrôle - 2 views

  • Right now, your company has 21st-century Internet-enabled business processes, mid-20th-century management processes, all built atop 19th-century management principles. (Gary Hamel – The Future Of Management)
  • Cette étude visait à démontrer que la culture d’entreprise ne pouvait pas être la même dans toutes les filiales car elle ne faisait nullement disparaître la culture nationale ; dans le meilleur des cas, elle se juxtaposait à elle.
  • Dans le cadre de cette étude, Hofstede mesure les distances hiérarchiques des différentes filiales. Pour un indice médian de 57, il mesure des distances hiérarchiques faibles dans les pays scandinaves (moins de 31) et anglo-saxons (moins de 40) et élevé en France (68).
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  • Dans cette même étude, Hofstede mesure le contrôle d’incertitude.Le contrôle faible suppose davantage d’acceptation des situations comme ambiguës, réversibles dans leurs malheurs et leurs bonheurs. Les personnes sont acceptées comme pouvant changer d’humeur et de décision. Le contrôle fort veut s’appuyer sur des bases assurées qui peuvent aller de précautions concrètes à des précautions juridiques voire religieuses. Le contrôle fort est très en rapport avec le développement de la culture scientifique et techniqueEncore une fois, la France se classe en haut du tableau avec un contrôle fort de l’incertitude (un score de 86) tandis que les pays anglo-saxons ou nordiques affichent des résultats faibles attestant d’un contrôle faible de l’incertitude.
  • la primauté de la hiérarchie va à l’encontre des valeurs ayant emergé de la culture collaborative internet
  • Depuis au moins dix ans, la France est en retard sur les principaux pays de l’OCDE en matière de développement du télétravail (notamment dans l’administration), quelles que soient les sources ou les approches statistiques. Dans les pays scandinaves et anglo-saxons notamment, il concerne deux à trois fois plus de salariés.
  • ce détail a un coût. Cisco a ainsi publié un rapport intitulé the The Economics of Collaboration, et dans lequel l’entreprise explique comment en mettant en oeuvre des outils collaboratifs et en facilitant la mobilité des employés avec entre autres une démocratisation du télétravail, celle-ci a obtenu des résultats étonnants : Cisco IBSG analysis shows that Cisco realized net benefits of $691 million/year through its Web 2.0 and visual collaboration investments in FY08. (…) These benefits represent a 4.9 percent productivity increase for Cisco. We believe this is just the beginning of the value creation we will see around the new collaborative web.
  • These solutions achieve their remarkable benefits by removing the costs and inefficiencies with which our employees have been struggling. Eliminating these inefficiencies not only brings financial benefits to the company; it also increases employees’ work/life balance, reduces stress and fatigue from extensive travel, and increases job satisfaction.
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    Analyse d'études sur le contrôle et la hiérarchie dans les entreprises. Le modèle français est-il encore adapté?
Gregory Culpin

Using Enterprise 2.0 to prepare for recovery (part II) - Whitepaper to download - 0 views

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    In a business world where change is constant, knowledge becomes an essential asset for any organization. Survival and growth require the development of solutions that will optimize collaboration and knowledge management. Focussing on this topic we recently produced our first whitepaper. It analyses the benefits associated with the introduction of Enterprise 2.0 solutions, and positions the collaborative management of knowledge as a stable and lasting solution, especially in these times of economic tumult.
Gregory Culpin

L'Entreprise 2.0 pour préparer la reprise (part II) - Whitepaper à télécharger - 0 views

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    Dans un monde des affaires en perpétuelle mutation, la connaissance devient un capital essentiel pour toute organisation. Leur survie et croissance passe par la mise en place de solutions optimisant la collaboration et la gestion des connaissances. Forts de ce constat, nous avons récemment travaillé à l'écriture de notre premier livre blanc (disponible en anglais uniquement). Il se veut être une analyse des avantages liés à l'introduction d'outils de l'Entreprise 2.0, et positionne la gestion collaborative des connaissances comme une solution stable et durable, plus particulièrement en ces périodes de tumulte économique.
Yan Thoinet

Wikinomics - 0 views

  • En 1999, McEwen assiste au MIT à une conférence sur Linux. Il découvre le concept de l’Open Source et il crie Eurêka. Il décide alors de publier toutes ses données géologiques sur internet, données habituellement gardées secrètes par les entreprises, et de proposer aux internautes volontaires de les analyser à la recherche de nouvelles veines. Plus de milles prospecteurs virtuels les étudient. En quelques mois, ils découvrent de l’or et encore de l’or, faisant exploser la valorisation de Goldcorp.
  • Dans cette révolution, l’individu est moteur. Des sociétés ou des associations proposent des projets participatifs, elles ouvrent les portes, puis les individus décident d’y aller ou non.
Christophe Deschamps

Obtenir des résultats grâce aux réseaux sociaux - 0 views

  • Il est donc plus que jamais temps de comprendre que : • Business (or corporate) Social Netwoks have nothing to do with General Public  Social Networks on the web.
  • • Le réseau social n’est pas né avec les logiciels du même nom qui ne sont que des catalyseurs. C’est la manière dont travaillent effectivement les collaborateurs depuis longtemps. Votre entreprise est truffée de réseaux sociaux quand bien même aucun collaborateur n’aurait d’ordinateur à sa disposition.
  • • Le réseau social n’est pas quelque chose de figé et stable que l’on “met en place”, c’est quelque chose de mouvant, de vivant, dont l’activité interne n’est pas prévisible.
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  • • Le réseau social n’est pas un enchevêtrement de personnes qui se “lient” et échangent (ou non) de l’information. C’est une manière de travailler afin d’obtenir des résultats. On parle trop de Facebook alors que le concept même de réseau social en entreprise n’a rien à voir, a des règles et des objectifs qui lui sont propres
  • En effet ça n’est pas parce que ces réseaux sont pas définition informels que l’entreprise doit les négliger, ou pire, les combattre. Il y a des méthodologies permettant de comprendre le fonctionnement des réseaux internes à l’entreprise, d’en identifier les acteurs clé, d’identifier les circuits de création de valeur afin de pouvoir en tirer le meilleur. Et essayer de les développer là où ils sont nécessaires.
  • la contribution d’un individu à la création de valeur n’est pas forcément liée à son poste mais peut résulter de son rôle central dans un réseau ou entre deux réseaux.
  • Je suis d’ailleurs surpris du nombre d’entreprises qui se lancent dans des projets de réseaux sociaux sans avoir pris la peine de comprendre leur rôle actuel dans leur organisation et essayent de développer des réseaux en partant de rien et en recopiant leur organigramme tout en négligeant totalement de procéder à une analyse de l’existant.
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    Compte-rendu de l'ouvrage Driving Results Through Social Networks de Robert Cross.
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