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Laurent Bordet

Assises : « Mais où sont donc passées les entreprises? », s'inquiètent les in... - 0 views

  • ans "un contexte de crise" et alors que la LRU prévoit "une insertion professionnelle des étudiant", "le monde socio-économique semble écarté de la définition des cursus de formation et du processus d'orientation. Peut-on imaginer préparer les jeunes à un métier en les coupant du monde du travail ?",
  • Au-delà d'un cursus fondé sur un socle de vastes connaissances scientifiques et techniques et ne rechignant pas à l'évaluation, leur réussite repose très largement sur une proximité délibérée avec les entreprises".
  • En matière de recherche, la CDEFI estime qu'il faut maintenir le cap. "Ce qui doit être au centre du système, c'est le fait que l'Université (au sens générique du terme) doit avoir une vraie stratégie recherche et qu'elle soit capable de la mettre en oeuvre. Les organismes (CNRS...) font corps avec les établissements d'enseignement
Laurent Bordet

La double vie des étudiants qui travaillent - 0 views

  • 73 % des étudiants exercent un emploi pendant l'année et/ou l'été, selon une enquête menée en 2010 par l'Observatoire national de la vie étudiante. Dans 23 % des cas, il s'agit d'un job d'été. Mais 50 % travaillent en période de cours (contre 46 % en 2006). Parmi ces derniers, 20 % sont au moins à mi-temps, 28 % à temps plein (contre 21 % en 2003). En août 2012, la ministre de l'enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, a nuancé ces données. Si l'on défalque les emplois d'été et l'activité liée à l'alternance, il ne reste que 40 % d'étudiants en emploi. Parmi lesquels "seuls 13 % exercent une activité professionnelle incompatible avec le suivi des cours et la réussite aux examens", a assuré la ministre, promettant de "s'attaquer à ce noyau dur".
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
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