"Le sectarisme de Vincent Peillon est évident. Ces sous-entendus politiques également, même si le catholicisme est également en ligne de mire. Reste que la laïcité, dans sa dernière version, est remise en cause dans ses points d'application - aujourd'hui cette Charte peillonesque -, mais jamais dans son fondement. On oublie trois choses la concernant. Elle constitue un détournement. Elle est une arme par destination. Elle représente une falsification de la religion."
""La laïcité ne se discute pas... Mais cette fermeté n'empêche pas le dialogue". Le 4 novembre, devant les référents laïcité de l'Education nationale et les correspondants laïcité du ministère de l'Intérieur, N Vallaud-Belkacem veut présenter l'image d'une laïcité "force tranquille" de l'Ecole. Mais c'est à un exercice d'équilibriste qu'elle se livre entre dialogue et répression, entre Education et Intérieur. Pas sur que le discours soit clairement perceptible..."
"Suite aux nouveaux attentats, on entendra bientôt les « c'est la faute de l'école » ou « c'est la faute des profs », qui ressurgissent de manière récurrente. Si les profs et l'école ne sont pas responsables de tous les malheurs, ils ont certainement un rôle déterminant à assumer. "
"Pour la deuxième rencontre du cycle « Demain les banlieues », le député du Val-d'Oise Philippe Doucet reçoit Iannis Roder, professeur d'histoire-géographie à Saint-Denis, auteur de plusieurs travaux sur son quotidien d'enseignant en banlieue. "
"LE PARISIEN WEEK-END. Cinq mois après la décapitation du prof d'histoire-géographie, nous avons voulu savoir quel était le quotidien d'un de ses confrères. Marc, enseignant à Dreux, raconte dix jours au lycée Rotrou."