"Les établissements scolaires catholiques de Besançon et aux alentours seront nombreux à ouvrir leurs portes le samedi 4 mars en matinée. Mireille Besseyre, la directrice interdiocésaine de l'enseignement catholique en Franche-Comté, nous présente le déroulé de cette journée ainsi que le projet éducatif commun à toutes ces écoles, collèges et lycées."
"Suite à l'envoi d'un message de l'école libre et hors contrat « Saint Anselme » à Besançon : « Appel aux prêteurs » du 4 mars 2023, la Congrégation des Sœurs de la Charité a souhaité faire une mise au point."
"Samedi 23 mars, l'APEL (Association des Parents d'élèves dans l'Enseignement Libre) académique de Montpellier organisait à l'ATRIA, à Nîmes, un colloque national. 400 personnes venues de Languedoc Roussillon, mais aussi de Marseille, Nice, Paris, Avignon, Toulon, Nantes, Lyon, Grenoble, Besançon étaient présentes pour échanger sur le thème de la relation de confiance à l'école et en famille."
Résumé de la Caisse des dépôts
À quoi ressemble le paysage éducatif français ? C'est à cette - très large - question que répond - tout aussi largement - le rapport "Répères et références statistiques 2020", récemment publié par la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) du ministère de l'Éducation nationale.
À la rentrée 2019, l'ensemble du système éducatif français comptait 15,8 millions d'élèves, étudiants et apprentis, soit 50.000 de plus qu'en 2018. Cette hausse s'explique par l'augmentation des effectifs du supérieur, et notamment des apprentis (+13,4%). Dans le secondaire, la hausse est minime (0,6%) et portée par les effectifs de collégiens (+1,1%), quand ceux des formations professionnelles en lycée et des formations générales et technologiques sont en recul (- 0,8% et -0,1%). Quant aux effectifs du premier degré, ils diminuent pour la troisième année consécutive : -1,2% en maternelle et -0,4% en élémentaire.
Du simple au double
La répartition de ces effectifs sur le territoire en dit beaucoup sur les dynamiques démographiques. En métropole, le département de la Creuse affiche le taux le plus faible avec seulement 14,5% de la population scolarisée. La Corse-du-Sud (14,9%), le Lot (15,5%), le Cantal (16%) et la Dordogne (16,1%) ne sont guère mieux lotis. À l'opposé, on trouve 31,6% de la population scolarisés à Paris, un résultat qui s'explique par le nombre important d'étudiants dans la capitale. Plusieurs départements sont portés par l'attractivité des pôles d'enseignement supérieur implantés dans leur métropole : le Rhône (Lyon) dénombre 28,6% de la population scolarisée, la Meurthe-et-Moselle (Nancy) 27,3%, le Nord (Lille) 26,8%, l'Ille-et-Vilaine (Rennes) 26,6% et la Haute-Garonne (Toulouse) 25,8%.
Sur un an, les plus fortes baisses d'effectifs sont enregistrées en Martinique (-3,1%), Guadeloupe (-2,4%), Meuse (-2,5%), Ardennes (-1,8%) et Nièv