"Facebook under fire from drag queens over 'real-name' rule
* Social network demands performers use their legal names
* 6,800 sign petition, arguing policy can be harmful"
Voici une vidéo très didactique exposant la naissance d'internet ainsi que son fonctionnement. Ce petit film en français est proposé par le site ordimer.com.
A l'heure de l'Internet des Objets, le nombre d'écrans auxquels nous sommes susceptibles de nous connecter ne cesse de grandir. Cette fragmentation des médias et des audiences reste paradoxalement complémentaire, puisqu'elle est à l'origine d'un comportement appelé Multitasking. Pour ceux qui peinent à définir cette approche, il s'agit de notre capacité à réaliser différentes tâches en simultané, plus précisément à utiliser plusieurs moyens de communication en même temps.
"Le partage des connaissances a trouvé dans internet son média d'élection. Avec le web, ce sont toutes les classes sociales, toutes les nationalités, tous les âges qui peuvent avoir accès à une somme d'informations gratuites et infiniment étendues. La circulation des connaissances n'est plus contrôlée par un petit nombre d'érudits : elle est dynamisée par la masse des internautes, sans restriction."
Le mode de fonctionnement de la télévision reste par essence inéquitable : une station émet, produit ; le téléspectateur reçoit, consomme, voire subit. Il en va tout autrement sur internet, un média où l'on peut choisir soi-même ses programmes (ses vidéos, ses émissions en streaming et, plus largement, ses lectures).
"La télévision ne pose pas problème en tant qu'outil technologique, ce qui indigne ses contradicteurs ce sont les intérêts qu'elle sert désormais. Parce qu'après une courte phase de soumission au pouvoir politique, le petit écran est passé sous le contrôle quasi exclusif des as du marketing, c'est-à-dire des prescripteurs de comportements que sont les publicitaires."
Comme la plupart des pays européens, la Suisse est essentiellement un pays de petites et moyennes entreprises (PME) occupant moins de 500 personnes, phénomène renforcé par le développement du secteur tertiaire : plus de 99 % des entreprises privées non agricoles étaient ainsi des PME en 2005, un chiffre qui a peu varié depuis la seconde moitié du , : l'évolution du nombre moyen d'emplois à temps plein ne montre pas de tendance à la concentration malgré le dynamisme accru des grandes entreprises privées.