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Contents contributed and discussions participated by Conciliation études-travail

Conciliation études-travail

Le travail rémunéré des étudiants à temps plein au Saguenay-LacSaint-Jean; ra... - 2 views

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    Dans le cadre du Chantier régional écoles-entreprises-milieu pour la persévérance scolaire, la question du travail rémunéré des étudiants à temps plein a été retenue comme une des trois grandes cibles d'intervention pour un partenariat entre le milieu de l'éducation et le monde socioéconomique. Le présent rapport est une synthèse de ces trois études de cas réalisées par le CRÉPAS afin de mieux documenter le phénomène et d'appuyer les actions de trois comités locaux dans les secteurs de Chicoutimi, Alma et Dolbeau-Mistassini. Il vise les objectifs suivants : ♦ dresser un portrait de la situation du travail rémunéré chez les étudiants du secondaire, du cégep et de l'université; ♦ mesurer l'importance du travail rémunéré dans le système de valeurs et les représentations des étudiants; ♦ approfondir le lien entre le travail rémunéré et la réussite scolaire; ♦ proposer des pistes d'intervention. Faits saillants :  Les résultats scolaires des étudiants en emploi ne sont pas nécessairement plus faibles que ceux des étudiants sans emploi.  L'emploi peut constituer un atout pour la persévérance si on y consacre un nombre raisonnable d'heures.  Il n'est pas possible de déterminer exactement le nombre d'heures par semaine MAIS il semble y avoir un seuil autour de 20 heures par semaine  L'idéal serait entre 10 et 15 heures par semaine. Dufour, Stéphane, CREPAS, décembre 2002 Pour plus de détails http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume20-CET.pdf
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Portrait des jeunes de la région de Sherbrooke : la conciliation études-trav... - 10 views

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    Qu'ils évoluent au secondaire, au cégep ou à l'université, de plus en plus de jeunes travaillent pendant leurs études. Au secondaire, le phénomène est particulièrement préoccupant puisque le taux de décrochage scolaire augmente chez les élèves qui travaillent plus de 15 à 20 heures par semaine. Cette étude est un outil de référence pour les décideurs et intervenants qui œuvrent auprès des jeunes Sherbrookois, principalement ceux âgés de 15 à 30 ans. En faisant mieux connaître la répartition des jeunes sur le territoire, les enjeux et les problématiques qui leur sont propres ou des statistiques sur l'éducation, la santé et l'emploi, cette étude permet d'orienter les multiples interventions jeunesse. En Estrie, un jeune sur quatre abandonne ses études sans avoir obtenu de diplôme ou de qualification dans une période « normale » de 5 ans. En 2008-2009, la région occupait le 14e rang sur 17 pour le taux de sorties sans diplôme ni qualification affichant un taux de SSDQ de 24,2 % alors que le taux pour l'ensemble du Québec était de 18,4 %. Par ailleurs, plus les étudiants avancent dans leur parcours scolaire, plus le nombre d'heures qu'ils consacrent au travail augmente. À la CSRS, par exemple, un sondage en 2009 a montré qu'environ 11,8 % des élèves de secondaire 3 travaillent et que ce pourcentage augmente à 44,8 % en secondaire 5. Par ailleurs, les garçons sont plus nombreux que les filles à travailler plus de 20 heures par semaine. Table de concertation jeunesse de Sherbrooke (TCJS), en collaboration avec l'Observatoire estrien du développement des communautés (OEDC), 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume21-CET.pdf
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Étudier travailler-Sondage réalisé auprès des élèves du deuxième cycle du se... - 8 views

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    L'équipe de travail du volet communautaire de la polyvalente de Saint-Georges a voulu connaître la situation de ses élèves et la CET. Le questionnaire a été administré en mars 2002 aux élèves de 3e,4e et 5e secondaires du secteur régulier et à ceux de Cheminement individualisé et d'Insertion sociale. Les perceptions de l'ensemble du personnel de l'école révèlent que beaucoup plus de jeunes travaillent pendant l'année scolaire pour différentes raisons telles la consommation, l'indépendance, la situation familiale et plusieurs autres. Est-ce que le travail nuit au rendement scolaire? Quel est le rôle des parents face à cette situation? L'école peut-elle agir ou réagir à cette réalité? Quelles sont les responsabilités des employeurs? Peut-on faire un lien avec la réussite des garçons? Étant donné que 27 % des pères ont obtenu leur DES et 41 % n'ont pas terminé leur secondaire contre 30 % pour les mères, et qu'au niveau québécois, selon l'enquête de 1992, c'est 30 % des élèves qui avaient un parent avec un diplôme universitaire comparativement à 14 % pour les élèves de St-Georges, la région continue d'être une zone sous-scolarisée malgré l'amélioration notable de 4% dans l'acquisition des diplômes universitaires. Sur dix ans, 14 % d'augmentation du nombre d'élèves a travaillé pendant leurs études. Et parmi ceux qui travaillent, 55 % des répondants y consacrent de 6 à 15 heures/semaine. Toutefois, 26 % des répondants affirment que le travail hebdomadaire nuit aux études. Une réponse qui dénote un changement de perception chez les élèves si on compare avec les années précédentes. Morin, Paul, Commission scolaire de la Beauce-Etchemin, Service recherche et développement, 2002. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume22-CET.pdf
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Être jeune aujourd'hui, habitudes de vie et aspiration des jeunes des région... - 1 views

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    Cette synthèse trace le portrait des jeunes de trois régions du Québec. Les jeunes du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Capitale-Nationale et des Laurentides ont été invités au printemps 2008 à participer à une enquête sur leurs habitudes de vie, leurs perceptions et leurs aspirations. Cette recherche s'inscrit dans une démarche de mobilisation des différents milieux (scolaire, santé et services sociaux, municipal, communautaire) afin d'améliorer globalement la situation des jeunes de ces régions. Le but ultime est, d'une part, de réduire la fréquence de divers comportements et d'habitudes de vie qui compromettent leur réussite éducative et leur bien-être, et d'autre part, de promouvoir les attitudes ou les comportements qui conduisent plutôt à leur épanouissement. Passages intéressants sur l'importance des heures de sommeil et le danger de surmenage. Une quarantaine d'indicateurs rassemblés en six dimensions constituent le corpus de données utilisées pour brosser le portrait des jeunes des trois régions visées par l'enquête. Ces dimensions sont présentées en deux parties distinctes. La première partie concerne l'expérience scolaire, le cumul études‐travail, le vécu psychoaffectif, les habitudes de vie et le désir d'enracinement. La deuxième partie porte sur l'intérêt des jeunes envers la science et la technologie. Dans cet ouvrage, sauf en de rares exceptions, les renseignements sont présentés pour les sexes réunis. Gaudreault, Marci, Gagnon, Mélanie et Arbour Nadine, portrait des jeunes de trois régions du Québec. : la CapitaleNationale, le Saguenay-Lac-Saint-Jean et les Laurentides, 2002. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume23-CET.pdf Voir le cumul Études Travail p 20, ÉCOBES,
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Portrait des jeunes de 12-18 ans de Bordeaux-Cartierville (Montréal) : rappo... - 3 views

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    En dehors de ces données statistiques générales provenant principalement de la Direction de la santé publique et de la Régie régionale des services de la santé et des services sociaux de Montréal-Centre, peu d'informations sont disponibles sur les jeunes de 12 à 18 ans résidant à Bordeaux-Cartierville. Ce constat a donc conduit les membres de la Table de concertation jeunesse à mettre de l'avant ce projet de recherche afin de répondre à 4 objectifs précis: 1. Dresser un portrait actuel des problématiques jeunesse du territoire; 2. connaitre les besoins identifiés par les jeunes eux-mêmes en termes de ressources et de services; 3. confirmer les réalités perçues par les intervenants-terrain (besoins, problèmes, etc. 4. Orienter les interventions futures. Le présent rapport vise donc à répondre en priorité à ces objectifs. Présenté par thème, il est avant tout un outil de travail qui est destiné aux intervenants du milieu afin de permettre d'orienter les interventions futures pour le bien-être des jeunes du territoire. C'est d'ailleurs dans cet esprit qu'une bibliographie a été ajoutée à la fin du présent rapport. Celle-ci, qui ne prétend pas être exhaustive, devrait permettre au lecteur de trouver des études présentant des résultats d'enquêtes similaires pour fins de comparaisons. Rapport de recherche - Belleau, Hélène et Bayard, Chantal, collaboration de Péarron, Dominique, Table de concertation jeunesse Bordeaux-Cartierville, mai 2002. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume24-CET.pdf
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La perspective québécoise des valeurs des jeunes - Une étude de cas : les va... - 4 views

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    Les valeurs des collégiens ne sont pas sans conditionner leur rendement scolaire et la persévérance aux études. Pour le milieu scolaire, ces valeurs se positionnent alors en enjeu. Une revue des écrits ici et à l'étranger permet de voir quelles sont ces valeurs. Au Québec, comme ailleurs dans d'autres sociétés occidentales, on repère un certain nombre de valeurs communes chez les jeunes dans les écrits sur les valeurs des jeunes. Faits saillants : Un constat tout au long de cette étude : dans l'échelle de valeurs des cégépiens, réussir ses études, c'est très important. De fait, huit étudiants sur dix (80 %) considèrent que c'est « très important », 18 % estiment que c'est « important », alors que 2 % accordent peu d'importance à la réussite des études. Malgré le fait que les filles accordent généralement davantage d'importance aux études (P = 0,000), il n'en reste pas moins que filles comme garçons semblent bien engagés sur le plan des valeurs concernant la réussite des études. Ainsi, 83 % des filles et 72 % des garçons considèrent que réussir ses études, c'est « très important ». Cette variable - l'importance accordée à la réussite des études - est apparue comme l'une des plus révélatrices parmi celles qui sont associées à la réussite scolaire. Roy, Jacques, « La perspective québécoise des valeurs des jeunes », Pensée plurielle (n° 14), pp. 35-43, janvier 2007. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume25-CET.pdf
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Travailler pendant ses études : une charge de plus à l'emploi du temps des je... - 6 views

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    Cette étude scrute les différences entre filles et garçons au chapitre du temps consacré aux études. Les données sont tirées de l'Enquête sociale générale (ESG) de 1998, laquelle fournit des renseignements sur l'emploi du temps et les indicateurs de la qualité de vie recueillis auprès d'un échantillon de 1 376 jeunes femmes et de 1 195 jeunes hommes de 15 à 29 ans. L'analyse porte sur la transition partielle de l'école au travail chez les jeunes occupant un emploi rémunéré, mais dont la principale activité est l'étude. Le fait de combiner études et emploi rémunéré ne signifie pas simplement substituer une portion des heures d'étude par des heures de travail. D'autres activités du quotidien sont aussi réaménagées de façon à former un nouvel horaire, lequel laisse souvent moins de place au sommeil et aux loisirs, incluant les activités physiques. Avec l'aide d'un tableau décrivant certaines habitudes de vie à la fois chez les étudiants du secondaire et du postsecondaire, l'analyste s'attarde sur le temps consacré par les jeunes femmes à leurs études : celles-ci voient le temps qu'elles consacraient à leurs études réduit à 2,9 heures par jour comparativement aux 6,4 heures qu'elles pouvaient investir lorsqu'elles travaillaient peu ou pas du tout. De plus, elles délaissent pratiquement tous leurs loisirs. Les jeunes hommes qui rencontrent les mêmes exigences de travail réduiront plutôt leurs heures de loisirs (presque 4 heures par jour) en coupant notamment dans les sports et les autres activités telles que la socialisation et la télévision. Franke, Sandra, Les transitions études-travail chez les jeunes, deux temps trois mouvements, Statistique Canada, 2003. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume26-CET.pdf
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- Une nouvelle recherche longitudinale démontre qu'un lien existe entre l'in... - 2 views

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    Cet article issu d'une recherche américaine s'intéresse principalement à l'impact de travailler de longues heures pendant les études collégiales, en particulier durant la dernière année où en moyenne le nombre d'heures consacrées au travail est le plus élevé. Il s'attarde également sur certaines conséquences comportementales qui pourraient être développées face à un travail rémunéré intensif de la part des collégiens. En fait, la plus importante conséquence à long terme à laquelle de longues heures de travail contribuent semble portée sur l'obtention des diplômes. L'étude démontre que le nombre d'années d'études complétées après la fin du collège est inversement proportionnel au nombre d'heures travaillées au cours de la dernière année de collège : les étudiants qui consacrent de trop nombreuses heures au travail ont tendance à poursuivre de moins longues études après leur collège. Une autre conséquence à long terme d'un grand nombre d'heures consacrées au travail est la consommation… de cigarettes. Parmi les finissants qui travaillaient de longues heures au collège, les taux de fumeurs demeuraient élevés à l'âge de 29-30 ans. Par Bachman, Jerald G. (Université du Michigan); Staff, Jeremy (Université de Pennsylvanie); O'Malley, Patrick, M. Schulenberg, Johan E. et Freedman-Doan, Peter (Université du Michigan), 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume27-CET.pdf
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- Retour sur l'impact du travail à temps partiel sur l'adaptation de l'adole... - 2 views

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    Cette étude révèle que les jeunes qui commencent à travailler plus de 20 heures par semaine voient leur implication scolaire diminuer et leur taux du consommation de drogues et de délinquance augmenter, comparativement aux jeunes qui demeurent sans emploi. Inversement, travailler 20 heures ou moins présente des effets négligeables, tant positifs que négatifs, sur les résultats académiques, psychologiques ou comportementaux. Certains chercheurs suggèrent que travailler favorise une « maturité précoce », dans la mesure où les jeunes poussent leur comportement adulte au-delà du travail pour y inclure la consommation de tabac et d'alcool et le développement d'une vie sexuelle active. D'autres affirment que travailler de longues heures fait en sorte que les étudiants ne se concentrent pas assez sur leurs études. Enfin, certains rapportent que les emplois des adolescents sont synonymes de manque de supervision de la part des adultes, ce qui laisse au jeune plus d'occasion d'adopter un comportement déviant. À travers tous ces regards, une chose demeure essentielle : le travail à un rythme modéré - intensif ne génère pas d'effets négatifs. Par contre, les recherches suggèrent parents, éducateurs et politiciens devraient restreindre le nombre d'heures de travail hebdomadaire des ados pendant l'année scolaire. Par Monahan, Kathryn C. (Université de Washington), Lee, Joanna M. (Université de Virginie); Steinberg, Laurence (Université Temple) Revue Child development, volume 82, numéro 1, pages 96 à 112, janvier/février 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume28-CET.pdf
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Rythme du travail chez les adolescents, performance et investissement person... - 2 views

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    Les adolescents de 13 à 17 ans qui travaillent plus de 20 heures par semaine réussissent moins bien à l'école que ceux qui travaillent moins d'heures. Deux théories s'affrontent pour expliquer ce lien : 1. Que le travail rémunéré requiert temps et efforts qui ne sont pas consacrés aux activités scolaires ; 2. Que le lien entre travail rémunéré et réussite scolaire n'est pas fondé, reflétant plutôt des différences préexistantes parmi les étudiants au regard de leurs capacités académiques, motivation et investissement personnel à l'école. L'originalité de cette étude réside dans le fait que celle-ci prend en considération les différences en terme de préférences en termes d'emploi chez les adolescents. Ceci la distingue des recherches précédentes qui occultaient cet aspect et attribuaient ainsi tous les effets préjudiciables d'un travail à son aspect trop intensif, sans examiner les antécédents des individus. Selon certaines études, à 13 ans, une piètre performance à l'école et des origines socioéconomiques défavorables peuvent laisser envisager de « meilleurs » emplois pour adolescents comme vendeur, par exemple. C'est une question de motivation face à l'école. Cette recherche révèle qu'aucune différence notable dans les problèmes scolaires n'a été observée entre les jeunes qui travaillent modérément et ceux qui préfèrent un travail modéré ou ne pas travailler du tout. Par Staff, Jeremy, Schulenberg, John E. et Bachman,Jerald G. 83:183 Sociology of Education, 2010. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume29-CET.pdf
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