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Sophie Chergui

Les classes moyennes, principales victimes de la réforme des allocations fami... - 0 views

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    "Près de 3,5 millions de ménages voient fondre leurs aides pour redresser la branche famille de la Sécu. PUBLICITÉ Les premiers effets de la baisse des dépenses publiques sur les ménages, c'est maintenant. L'essentiel de la réforme des allocations familiales, présentée en juin 2013, entre en effet en vigueur ce mardi 1er avril. Pour redresser les finances de la branche famille de la Sécu - 2,5 milliards de déficit l'année dernière - le gouvernement a mis à contribution les familles."
Sophie Chergui

Les classes moyennes, grandes oubliées de la politique familiale - 0 views

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    "Les aides sociales et fiscales aux familles profitent surtout aux ménages modestes et aisés. Toutefois, ces derniers ont été durement touchés par les réformes de la famille des gouvernements Ayrault puis Valls."
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L'Institut Thomas More dénonce «une offensive de grande ampleur contre la fam... - 0 views

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    "L'Institut Thomas More vient de mettre en ligne une note d'actualité (télécharger) consacrée à la politique familiale et intitulée « Encore un instant, Monsieur le bourreau… » Le think tank démontre que cette augmentation des impôts qu'est la baisse du coefficient familial « ne va pas toucher que les plus riches » mais aussi « les classes moyennes » qui « ont de plus en plus de mal à boucler les fins de mois ». Cette mesure est injuste alors que « la branche (Famille, ndlr) est structurellement bénéficiaire et que son déficit est créé par l'obole de 4,4 milliards d'euros que verse depuis 2011 la Caisse nationale des allocations familiales aux régimes de retraite afin de financer la majoration de 10% des pensions de retraite versées aux parents de trois enfants ou plus ». "
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DREES - Aide sociale à l'enfance - 55 000 enfants et adolescents hébergés en ... - 0 views

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    Fin 2012, 55 000 enfants et adolescents sont hébergés dans un établissement de l'aide sociale à l'enfance (ASE). En moyenne, les jeunes accueillis ont 13 ans et effectuent dans l'établissement un séjour de 13 mois, mais l'âge des enfants et la durée de l'hébergement varient sensiblement suivant la mission des établissements. Deux tiers des placements font suite à une mesure judiciaire confiant l'enfant à l'ASE. Les mesures administratives représentent un quart des placements. Avant leur prise en charge dans un établissement de l'ASE, la moitié des enfants ou adolescents vivaient avec leurs parents ou chez un proche. À leur sortie, quatre enfants sur dix y retournent, deux sur dix sont orientés vers un autre établissement de l'ASE, un sur dix habite chez un assistant familial et 8 %, parmi les plus âgés, obtiennent un logement personnel ou accompagné. Deux tiers des enfants bénéficient encore d'un suivi à leur sortie de l'établissement. Entre 6 et 16 ans, de 90 % à 95 % des enfants accueillis sont scolarisés, contre 98 % dans la population générale. Fin 2012, 54 % des enfants de 11 ans, en âge d'être au collège, sont encore dans une classe du premier degré.
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Institut des Politiques Publiques - La réforme des rythmes scolaires : un rév... - 0 views

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    "La réforme des rythmes scolaires de 2013, qui a réalloué une demi-journée de classe au mercredi matin pour les élèves scolarisés en maternelle et à l'école élémentaire, est une petite révolution dans l'organisation des temps sociaux. Cette note montre que les horaires à l'école n'ont pas seulement un impact sur le rythme d'apprentissage des enfants, mais influencent également les décisions d'offre de travail des femmes. L'organisation des temps scolaires est un révélateur de deux types d'inégalités présentes sur le marché du travail : inégalités entre femmes et hommes, et inégalités entre femmes diplômées et non diplômées. Avant l'introduction de la réforme des rythmes scolaires, les femmes dont le plus jeune enfant était en âge d'aller à l'école élémentaire étaient deux fois plus nombreuses que les hommes à ne pas travailler le mercredi, et donc à adapter leur activité professionnelle à la présence des enfants. Par ailleurs, la décision de travailler ou non le mercredi était corrélée au niveau de diplôme, les femmes diplômées du supérieur étant moins nombreuses à travailler le mercredi que les femmes non diplômées, alors même qu'elles travaillent plus d'heures en moyenne par semaine. La réorganisation des temps scolaires prévue par la réforme de 2013 a entraîné une réorganisation du temps de travail des femmes : si la réforme n'a pas eu pour effet à court terme d'accroître le nombre d'heures travaillées par semaine, elle a permis à un plus grand nombre de femmes de travailler le mercredi, entraînant, en moins de deux ans, une réduction de 15 % de leur différentiel de participation ce jour de la semaine par rapport aux hommes."
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Famille, classe moyenne de la sainteté, famillechretienne.fr - 0 views

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    "Pour le pape François, les familles sont appelées à être, par leur intériorité et leur prière, « moteur de l'histoire »."
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Les classes moyennes, grandes oubliées de la politique familiale - 0 views

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    "Les aides sociales et fiscales aux familles profitent surtout aux ménages modestes et aisés. Toutefois, ces derniers ont été durement touchés par les réformes de la famille des gouvernements Ayrault puis Valls."
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Unicef - 14e rapport Innocenti : Construire l'avenir : les enfants et les obj... - 0 views

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    Innocenti, le centre de recherche de l'Unicef basé à Florence, publie son quatorzième bilan intitulé "Construire l'avenir : les enfants et les objectifs de développement durable dans les pays riches". En effet, pour le rapport - qui porte sur 41 pays développés de l'Union européenne et de l'OCDE -, le signe le plus révélateur des progrès accomplis par une nation pour atteindre les objectifs de développement durable "est sans doute la façon dont elle répond aux besoins de ses enfants". L'étude s'appuie donc sur l'analyse de 9 objectifs et de 25 indicateurs de développement durable en lien avec la thématique des enfants. (...) La 19e place de la France sur les 41 pays étudiés recouvre bien sûr des écarts importants selon les objectifs de développement durable considérés. Côté positif : le 7e rang de la France sur l'objectif "Faim zéro" (éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et améliorer la nutrition). De même, le classement apparaît correct avec le 14e rang sur l'objectif "Education de qualité" et le 15e rang sur l'objectif "Pas de pauvreté", voire avec le 17e rang sur l'objectif "Bonne santé et bien-être". Deux autres critères se situent juste dans la moyenne de l'échantillon : la France figure ainsi au 20e rang sur l'objectif "Travail décent et croissance économique" et au 21e rang sur "Paix, justice et institutions efficaces". En revanche, la situation sur les autres objectifs est nettement moins favorable et pèse sur le classement final. La France figure ainsi au 23e rang sur l'objectif "Villes et communautés durables" et au 25e sur "Consommation et production responsables". Mais le plus mauvais résultat concerne l'objectif "Inégalités réduites", sur lequel la France se classe au 34e rang, tout juste devant les Etats-Unis (35e). Sur ce critère, tous les autres grands pays développés se trouvent classés devant la France. Ce critère combine trois indicateurs portant respectivement sur l'inégalité (ind
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Les nouvelles règles de calcul des aides aux familles - La Croix - 0 views

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    "Le Plan de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2018 comporte plusieurs mesures qui concerneront les familles. Les classes moyennes seront perdantes."
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France Stratégie - Un nouvel âge pour l'école maternelle ? - 0 views

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    Pionnière dans l'accueil universel des enfants, l'école maternelle française a longtemps bénéficié d'une excellente réputation, au point de servir de modèle à l'étranger. Aujourd'hui, une comparaison européenne conduit à un tableau quelque peu différent, pour trois raisons. Tout d'abord, la France présente une dépense par élève relativement faible et des classes de taille importante. Ensuite, notre école maternelle se caractérise par une forte et constante focalisation sur la préparation aux apprentissages formels de l'école élémentaire, que l'on ne retrouve pas - avec une telle ampleur -chez nos voisins. Une inflexion récente et des textes o ciels qui appellent à prendre en compte le développement de l'enfant dans toutes ses dimensions - sensorielle, motrice, cognitive, sociale et affective - n'ont pas effacé cette « primarisation » de la maternelle. La formation des enseignants de maternelle, poussée mais peu spécialisée, n'a fait qu'accentuer la tendance. Enfin, le modèle français, dual, avec une forte césure entre l'accueil des 0-3 ans et la préscolarisation à partir de cet âge, apparaît désormais de plus en plus isolé face au développement en Europe des systèmes « intégrés » d'accueil du jeune enfant, qui traitent comme un bloc la période allant de la première année à l'âge de la scolarité obligatoire. Comment tirer parti de ces constats pour dessiner l'avenir de l'école maternelle française ? À court terme, il serait pertinent d'expérimenter un renforcement de l'encadrement des élèves, en le hissant à la moyenne de l'OCDE. Il conviendrait aussi d'améliorer la spécialisation des enseignants et la qualification des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem), et de mieux accompagner les innovations pédagogiques initiées par les enseignants. À plus long terme, l'évolution vers un système intégré, regroupant progressivement
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La lente agonie de la politique familiale - La Vie - 0 views

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    "Le gouvernement s'apprête à donner un petit coup de canif dans les aides aux jeunes parents, en particulier ceux qui appartiennent aux classes moyennes. Le montant et le plafond de la « prestation d'accueil du jeune enfant » (Paje) versée aux parents d'un enfant de moins de 3 ans sera baissé. Parallèlement, le « complément de mode de garde » sera accru pour les familles monoparentales."
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Crédoc - Les attentes des Français envers les politiques familiales en 2020 - 0 views

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    "Les Français attendent des prestations sociales et familiales qu'elles s'adaptent aux besoins des familles. Si la natalité n'est pas une priorité pour l'opinion, elle appelle de ses vœux le versement des prestations familiales dès le premier enfant, et avec un montant égal pour tous. Si, dans leur grande majorité, les Français soutiennent les plafonnements des prestations familiales, excluant les plus aisés, et la priorité donnée aux plus modestes, ils n'adhèrent pas à la diminution des aides pour les classes moyennes. Renforcer l'offre d'accueil collectif, favoriser la parité et un bon équilibre de vie … sont autant de pistes pour une meilleure adéquation des aides aux besoins des familles actuelles. Les Français aspirent également, en 2020, à davantage de stabilité : le soutien aux réformes touchant les allocations familiales diminue, il n'y a pas d'adhésion forte au calcul plus réactif du montant des aides et l'hypothèse d'un revenu universel divise la population et inquiète les publics cibles. Le contexte sanitaire de confinement n'a pas été sans impact : il a favorisé un retour à des rôles genrés traditionnels (deux fois plus de femmes que d'hommes se sont arrêtés de travailler pour prendre en charge un enfant) et amplifié le besoin de stabilité et de protection. Si le système a su s'adapter dans l'urgence, les craintes pour l'avenir sont réelles."
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