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"Le pape François salue la foule au Vatican, le 30 janvier 2016. (Photo d'illustration). Il apparaîtra dans l'épilogue d'un film pour expliquer aux enfants "comment trouver Jésus". afp.com/TIZIANA FABI Le Pape François apparaitra pour la première fois dans un film, a révélé lundi le site américain Variety. Les recettes devraient être reversées à des associations caritatives argentines, en charge d'adultes et d'enfants en situation précaire. Le Pape François, nouvelle étoile du cinéma? Et pourtant, elle est vraie. Le souverain pontife jouera son propre rôle dans un film, a annoncé lundi le site américain Variety. Il ne s'agit pas de n'importe quelle production, mais d'un film évangélique au titre évocateur: Beyond the Sun- au-delà du soleil en français. Si le projet se concrétise, ce sera la première apparition sur grand écran du pape François. Et d'un pape tout court. "Pour expliquer Jésus" Destiné à un public familial, le film souhaite partager la parole de Jésus Christ aux plus jeunes. Il ne devrait apparaître que lors de l'épilogue "pour expliquer" aux chérubins comme trouver Jésus", rapporte Le Figaro. Andrea Iervolino et Marika Bacardi, les cofondateurs de la société AMBI FILMS, qui doit en partie produire le film, se sont déclarés très "enthousiastes". "C'est un grand honneur pour Andrea et moi d'avoir l'opportunité de travailler avec sa Sainteté, le pape François", a déclaré Marika Bacardi. Le tournage doit commencer bientôt aux Etats-Unis. Par ailleurs, les recettes du film devraient être reversées à El Almendro-l'Amandier, et Los Hogares de Cristo- les foyers de Jésus, des associations caritatives argentines, destinées aux adultes et enfants en situation précaire."

"Son film, Nathalie Sarraco a voulu l'adresser à "tous ceux qui n'ont pas la grâce de la foi", en particulier aux jeunes. "C'est un film qui sort de l'ordinaire", dit-elle, "qui pose la question du sens de la vie". L'artiste a une idée très claire de son objectif : "Le film peut paraître un peu violent... Ce qui m'intéresse en tant que catholique pratiquante que je suis, c'est de susciter les bonnes questions amener à une réflexion sur Dieu aujourd'hui et sur la fragilité humaine". Un pari qui semble en bonne voie d'être réussi. Lors des avant-premières, un peu partout en France, les salles ne désemplissent pas. "Dernièrement, il n'y avait que trois chrétiens dans la salle", raconte Nathalie Sarraco, "ils m'ont dit qu'ils étaient contents d'entendre parler de Dieu et notamment de l'Eglise catholique de cette façon-là, ça fait du bien ! On se rend compte que Dieu ne nous juge pas mais qu'il est amour". La réalisatrice de "La mante religieuse" le répète : "Nous ne sommes pas dans le prosélytisme, c'est un film qui parle de la société actuelle avec une Marie-Madeleine des temps modernes", car c'est bien à toutes ces personnes que Jésus s'adresse, ajoute-t-elle, "à des prostituées, à des publicains, à des pharisiennes, à la samaritaine,... Ce film s'inscrit dans le cadre de la nouvelle évangélisation". Pour que le pari soit totalement gagné, il faut maintenant que le film soit distribué dans le maximum de salles : d'où l'importance du succès des avant-premières."

"'association catholique Civitas dénonce « l'antichristianisme, les blasphèmes et la banalisation du meurtre de religieux catholiques » dans le film. « Au nom du fils » (interdit aux moins de 12 ans), sorti hier en France. Un film sur la pédophilie dans l'Eglise qui met en colère les plus religieux qui estiment que l'église est salie par ce film. Du coup, de peur de représailles, seulement 25 salles, dont 5 sur Paris, ont accepté en France de diffuser le film mercredi. "

" Le Métis de Dieu : un film sur le cardinal Lustiger 24 mars 2014 / pas de commentaires / 636 vues Share on facebookShare on twitterShare on emailShare on pinterest_shareMore Sharing Services6 Le 4ème Festival international du film juif de Genève (GIJFF) aura lieu du 26 au 30 mars 2014 à Genève et à Lausanne. Le festival présente toute une gamme de films internationaux qui explorent les cultures et le vécu juifs, ainsi que les réalisateurs et acteurs qui y ont contribué. Lors de la soirée de gala, le 4ème GIJFF présentera en première suisse le film «Le Métis de Dieu», d'Ilan Duran Cohen (France, 2012). Le réalisateur présente le destin d'Aaron Lustiger - le futur cardinal Jean-Marie Lustiger -, juif converti en pleine occupation allemande de la France."

"Le vendredi 28 février sortira sur les écrans aux États-Unis le film Son of God, retraçant la vie de Jésus. Bien loin des polémiques qui avaient entourés le film La passion du Christ de Mel Gibson en 2004, ce film a déjà enthousiasmé toutes les communautés religieuses américaines.Il faut croire que la Bible a le vent en poupe à Hollywood, puisque 2 autres productions tirées du Livre sont prévues pour 2014. Le 6 avril de cette année, Russel Crow (le Maximus de Gladiator) incarnera Noé dans le film éponyme, accompagné d'une brochette de stars : Anthony Hopkins, Emma Watson… Et pour Noël 2014, l'ex-Batman Christian Bale sera Moïse pour le film Exodus réalisé par le non-moins célèbre Ridley Scott (Alien, Blade Runner)."

"Il s'agit très probablement d'un navet grandiose, mais il n'en est pas moins dangereux, compte tenu de l'abyssale inculture religieuse des gens. La Bussola quotidiana a traduit l'article d'un écrivain américain, Don Feder (10/4/2014) Le film américain à énorme budget «Noé» («Noah», titre original) débarque en France (et en Italie) cette semaine, précédé du tapage dont sont capables les américains lorsqu'il s'agit de lancer un "produit", que ce soit un livre, un film, un album de "musique", un téléphone ou une tablette tactile. L'acteur-vedette Russell Crowe a même envoyé plusieurs tweets au pape François pour lui demander une audience. Il était effectivement présent avec son équipe à une audience générale (le 19 mars, apparemment) mais malgré ce qui a été affirmé (en particulier sur Europe 1, la semaine dernière au micro de l'ineffable Nikos Alyagas), il n'a pas réussi à se faire photgraphier avec le Pape, comme il en rêvait pour la promotion de son film (cf. radionotredame.net). Ce qui ne l'a pas empêché de saluer l'ouverture d'esprit de CE Pape... Il faut dire que ç'aurait été un coup de pub fabuleux, de pouvoir enrôler le Pape dans la lutte pour "sauver la planète", d'autant plus qu'on annonce la parution prochaine d'une encyclique "très attendue" de François sur l'environnement (vaticaninsider.lastampa.it) Mais, heureusement, le Pape n'a pas marché, et c'est une bonne décision."

"risteros est sans aucun doute un film à voir. Le padreblog l'a bien chroniqué, le scenario et les acteurs sont remarquables. Le film, qui sort aujourd'hui en salle, retrace l'histoire des dizaines de milliers de mexicains qui de 1926 à 1929 ont pris les armes et se sont levés contre l'interdiction des pratiques religieuses décidée par le président d'alors. Lorsqu'il y a un an, j'ai vu ce film, il a eu sur moi le même effet que les films sur la guerre de 39-45 : une immense interrogation. D'un côté, l'admiration sans faille pour ces résistants et cette question sourde : aurais-je eu leur courage ? Ne me serais-je pas défilé ? Aurais-je su m'opposer, jouer ma vie pour la liberté, pour la foi, pour l'homme, pour Dieu ? De l'autre, ce mot du Christ - tranchant comme un glaive - : Celui qui vit par l'épée mourra par l'épée (Mt 26, 52). Il ne s'agit en aucun cas pour moi de développer un antimilitarisme primaire. Le livre de l'Apocalypse parle de la Parole de Dieu comme d'un glaive à double tranchant1 et, en effet, je crois que dans toutes les grandes questions de la vie, le glaive est à double tranchant ; n'en voir qu'une lame serait illusoire."

"Les distributeurs du film Cristeros en France estiment que ce film constitue une opportunité pédagogique et pastorale très riche : plusieurs directeurs d'établissements privés ou de responsables de la pastorale collège et lycée les ont déjà contacté pour programmer ce film à la rentrée scolaire pour leurs collégiens ou lycéens. "

"La réalisatrice française Anne Fontaine a joint ses forces à celles de cinéastes polonais pour créer ce qui est, à mon avis, jusqu'à présent le meilleur film de l'année 2016, un film qui devrait intéresser tous les catholiques et devrait être l'année prochaine un bon candidat pour l'Oscar du Meilleur film étranger. Les Innocentes est un soulagement bien venu après les films contre l'Eglise que Hollywood produit à la chaîne, sauf bien sûr lorsqu'il y a un démon à exorciser, auquel cas - pour emprunter le slogan d'une relance ratée de l'été - Qui allez-vous appeler ?"

"Le pape François n'est Pontife que depuis quelques mois, et déjà un film retraçant sa vie, est en préparation, affirme mardi la revue spécialisée Variety. Premier souverain pontife originaire de l'Amérique latine, le film ne va pas se faire n'importe où. Il est à l'étude en Argentine. Le film, qui a déjà pour nom "Histoire d'un curé", sera réalisé par Alejandro Agresti avec Rodrigo de la Serna dans le rôle de l'ancien archevêque de Buenos Aires, Jorge Bergoglio. "Bien plus qu'une rapide biographie relatant les principaux faits, je suis bien plus intéressé à tenter de montrer l'intérieur de cette personne si singulière, sa décision de suivre sa vocation et comment il a associé foi et raison après avoir étudié pendant 14 ans comme jésuite avant d'être ordonné prêtre", a déclaré M. Agresti à Variety. "

"'J'ai eu la chance de voir le film en version française, grâce à Carlota, entre autres choses cinéphile passionnée. C'est un grand moment de cinéma, un film vraiment sublime, avec des moyens hollywwodiens, et les raisons de sa diffusion différée sont évidemment purement idéologiques (je me souviens d'une histoire analogue avec un film d'Eric Rohmer de 2001, que je voulais pourtant voir à tout prix, "L'Anglaise et le Duc", que j'ai eu toutes les peines du monde à trouver en import, et qui est sorti en salle en catimini après avoir longtemps attendu un distributeur, pour la simple raison qu'il offrait de la Révolution française une image non conforme à l'historiographie officielle)"

"Deux ans après sa sortie aux Etats-Unis, le film Cristeros a enfin trouvé un distributeur en France, et sortira le 14 mai prochain sur les écrans. Au vu de la promotion lancée dans le petit milieu catholique, au sein duquel circulait déjà les versions téléchargées du film, qui furent visionnées avec excitation lors des manifestations de l'an dernier, tout indique que le succès sera sans doute au rendez-vous."

"Cheyenne Carron est une jeune réalisatrice, productrice et scénariste française. A l'occasion de la parution prochaine de son nouveau film, l'Apôtre, nous avons souhaité l'interviewer, ce qu'elle a gracieusement accepté de faire pour le site www.diocese64.org. Ce qui anime cette femme? la charité. Cette charité pousse le héros de son film à se convertir à la suite d'un événement bouleversant qu'elle même a réellement vécu ; et la mène aussi sur le chemin de son baptême qui aura lieu à Pâques. Silence...on tourne!"

"L'Apôtre ne cherche pas à affronter le christianisme et l'islam. S'il montre l'attitude hostile des musulmans envers leurs apostats, c'est par un souci de vérité, dont Cheyenne-Marie Carron témoigne avec un évident courage. Mais elle le fait avec la volonté affichée de lutter contre les préjugés. Ceux que les Français de tradition chrétienne peuvent avoir contre les musulmans, mais plus encore ceux que les musulmans ont à l'encontre des chrétiens. De sorte que c'est d'abord pour les musulmans que ce film est fait. S'il est douteux que la dernière image, irénique, les convainque, la mise en relief de leurs a priori et de leur violence a en tout cas de quoi les interpeller. D'autant que, malgré la modicité de ses moyens, le film est du très bon cinéma, bien écrit, nerveusement mis en scène, dialogué avec justesse, et joué de façon impressionnante par tous les comédiens, musulmans, juifs, catholiques, convertis ou athées. On le reçoit comme une gifle, on le garde comme une caresse."

"Mais, le film vient d'être gravé en DVD et la réalisatrice nous a autorisés à vendre ces DVD (avec une marge pour le Salon Beige). Si vous voulez soutenir ce film et votre blog préféré en même temps, n'hésitez pas à acheter en cliquant ici. En le commandant tout de suite, vous pourrez profiter d'un prix avantageux: 25 euros, port offert. Et n'hésitez pas à en acheter plusieurs, pour en offrir autour de vous"

"Cheyenne-Marie Carron a vu son film L'Apôtre, récompensé le 3 juillet par la Capax Dei Foundation. Cette fondation, présidée par Liana Marabini, organise, sous le patronage du Conseil pontifical pour la culture, le festival de cinéma du Vatican Mirabile Dictu. C'est la cinquième année qu'a lieu ce festival. C'est aussi son cinquième film que réalise Cheyenne Carron. Le sujet en est brûlant, car il s'agit de la conversion d'un jeune musulman au christianisme. Le film ne cherche pas la polémique et évite tout prosélytisme déplacé. Le jeune Akim vit dans une famille française apparemment bien intégrée et tranquille. Lui et son frère Youssef se destinent à devenir imams. Ils participent régulièrement à la prière musulmane commune et suivent les enseignements islamiques."

"C'est un petit film magique. Et son histoire l'est tout autant : il y a 7 ans, Nicolas Gayraud, ancien projectionniste, obtient l'autorisation de filmer dans l'abbaye cistercienne de Bonneval, alors que toutes les demandes avaient été jusqu'alors refusées. 3 semaines où seul, caméra à l'épaule, il filme les sœurs dans leur vie quotidienne. Il ne termine son film qu'en 2010, en assure lui-même la promotion avec un site et des DVD."

"La popularité du premier pape venu d'Amérique latine ne se dément toujours pas : la revue Variety annonce (en anglais) qu'un film sur sa vie est en préparation en Argentine, son pays d'origine. Baptisé Historia de un cura (Histoire d'un prêtre), le film sera réalisé par Alejandro Agresti et mettra en scène l'acteur argentin Rodrigo de la Serna, déjà vu dans Carnets de voyage de Warter Salles, où il interprétait un compagnon de route du futur Che Guevara. "

"Le film de la Polonaise Malgoska Szumowska (dont Courrier international est partenaire) montre un prêtre dans son quotidien. Loin d'être un saint, il travaille, s'interroge sur sa foi et remet en question sa hiérarchie. En outre, il est homosexuel. Tourner un tel film en Pologne, c'est faire preuve de courage."

"Le réalisateur Alejandro Agresti veut mettre en image la vie du cardinal Jorge Bergoglio, plus connu aujourd'hui sous le nom de pape François. Le tournage de la vie de ce dernier débutera en 2014 en Argentine. C'est Rodrigo de la Serna qui interprétera le souverain pontife. La ressemblance est d'ailleurs troublante… "Historia de un cura" ("Histoire d'un prêtre", en français). C'est le titre du film dont le tournage devrait débuter au début de l'année prochaine et qui retrace la vie du cardinal Jorge Bergoglio, devenu le pape François. C'est en Argentine que devrait être réalisé ce long métrage, qui voyagera aussi en Espagne, en Allemagne et en Italie, selon le quotidien "La Nació". Et c'est Rodrigo de la Serna, qui avait joué Alberto Granado, le compagnon de route du Che Guevara dans "Carnets de voyage", qui interprétera le souverain pontife. Le réalisateur, Alejandro Agresti, a commencé à se documenter sur la vie du premier pape argentin dès sa nomination au plus haut poste du Vatican. Il veut en fait un film d'époque, sur l'arrivée du cardinal argentin à Rome. En espagnol, pour coller au plus près de la réalité."