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"Pour promouvoir les contenus et les services de Gallica et pour expérimenter de nouveaux modes d'interaction avec les Gallicanautes, la BnF a choisi d'être présente sur les réseaux sociaux. Cet investissement s'est traduit, pour Gallica, par l'ouverture d'une page Facebook (http://www.facebook.com/GallicaBnF) et d'un fil Twitter (http://twitter.com/GallicaBnF) en 2010, ainsi que d'un compte Pinterest 1 (http://pinterest.com/gallicabnf) en 2012. Ce qui au départ constituait une expérimentation s'est pérennisé et a montré combien la bibliothèque numérique gagnait à s'aventurer sur le terrain des réseaux sociaux. Après deux ans de pratique quotidienne, la gestion de la présence de Gallica sur Facebook, Twitter et Pinterest offre matière à analyse, tant sur le plan de la stratégie de médiation numérique qui a été mise en œuvre que sur le plan des transformations qu'elle a imposées en termes de conception du métier de bibliothécaire et en termes de rapports des bibliothécaires aux usagers."

"La future bibliothèque de la Canopée à Paris souhaite assurer une forte présence sur les réseaux sociaux. Il en est de même pour la bibliothèque en préfiguration du Carré Saint-Lazare. Cette étude à un instant T doit servir de base pour déterminer quelles sont les plateformes sociales les plus intéressantes dans une bibliothèque de lecture publique. 45 réseaux ont été passé au peigne fin..." Étude complète : http://www.lemotif.fr/fichier/motif_fichier/516/fichier_fichier_etude_reseaux_sociaux_bibliotheques.pdf

"Je ne sais pas si vous êtes au courant mais demain, le samedi 22 août, c'est la deuxième édition du Ray's Day, une journée baptisée en l'honneur de Ray Bradbury et consacrée à la célébration du livre et de la lecture, des auteurs et des lecteurs. A la base, il s'agit d'une idée de Neil Jomunsi (un auteur très actif sur les réseaux sociaux) qui a rencontré un certain succès l'année dernière. Dans ce billet, je pars de l'exemple du Ray's day pour évoquer l'intérêt de ce genre d'événement, né et relayé sur les réseaux sociaux, pour faire de la médiation numérique."

"Nombreux débats et questions apparaissent autour de la notion des réseaux sociaux et de son impact sur l'identité professionnelle. Les chercheurs pourront dorénavant comptabiliser leurs activités de médiation et de partage social à leur actif de recherche1. Les bibliothécaires élaborent sur le terrain des stratégies et des méthodologies2. La publication annuelle de la Fing, Questions numériques, soulevait dans son édition 2014, "Controverses", une épineuse question sur le lien entre la conversation numérique et la participation démocratique."

"Dans le cadre de l'une de nos unités d'enseignement, l'enssib nous a proposé d'organiser des tables rondes. Evidemment, "la bibliothèque sur le web" est une thématique qui m'a parlé... Nous étions neuf camarades de la promo à avoir travaillé sur l'organisation, sous la houlette de Benoît Epron. Moi qui rédige des billets sur toutes les journées d'étude auxquelles j'assiste depuis des années sur ce blog, je ne pouvais pas faire l'économie de celui-ci ! [...] J'avoue qu'à la lumière de ce qui s'est dit et forte de l'expérience que j'ai pu avoir à Paris 4 en matière de coordination de blog et réseaux sociaux, j'aurais tendance à dire : expérimentez, testez, prenez le web comme un bac à sable. Il en ressortira des projets pertinents. Et, surtout, faites confiance à vos agents en leur laissant les clés des comptes sur les réseaux, vous aurez de belles surprises."

"Gallica vous fait découvrir la richesse et la variété des collections numérisées de la Bibliothèque nationale de France sur les réseaux sociaux : vous pouvez suivre Gallica sur Facebook, sur Twitter et désormais sur Pinterest !"

Publication de l'ouvrage aux Éditions du Cercle de la Librairie. "La nouvelle physionomie de l'Internet, avec l'avènement des médias sociaux comme Google et Facebook, devient un espace moins documentaire que conversationnel. Des bibliothèques y inscrivent de nouveaux usages de médiation documentaire. De nouveaux dispositifs de communication pour l'éducation, la recherche, les collectivités locales sont possibles."

"Les médias sociaux soutiennent et renforcent la communication entre les bibliothèques académiques ou universitaires et leurs clients. Cet atelier-conférence explorera l'usage de ces médias dans le contexte américain."

Le jeudi 14 mars 2013 à la Médiathèque de Roubaix.

"Des moteurs de recherche aux réseaux sociaux, le Web est devenu un lieu privilégié pour la recherche d'information. Pour continuer à remplir pleinement leur mission, les bibliothèques doivent s'inscrire dans cet environnement, aller à la rencontre des usagers sur le Web et rendre les données de leurs catalogues visibles et exploitables par des applications diverses. Ce nouvel environnement est une opportunité pour les bibliothèques en leur permettant à la fois de jouer un rôle nouveau dans la société de l'information et d'enrichir leurs missions traditionnelles au service de leur public et de leur territoire."

"Alors que l'enssib vient de lancer son nouveau site web, je remarque avec intérêt la mutualisation toujours forte des professionnels des bibliothèques via les réseaux sociaux. Par sa nouvelle clarté, enssib.fr permet d'accéder rapidement aux ressources, je pense notamment au service Questions ? Réponses ! mais également au nouvel arrivé : Echanges d'expériences." Thomas Colombera fait aussi le lien entre ce nouveau site de l'enssib et Bibliopédia, deux ressources et deux espaces d'échanges complémentaires.

"Créée par YABé, start-up intégrée au Labo de l'Édition à Paris, la plateforme participative Numalire propose la numérisation et la réédition à la demande de livres rares conservés dans des bibliothèques patrimoniales. Après avoir demandé un devis sur l'ouvrage de son choix, l'internaute peut ensuite lancer une souscription et la diffuser auprès de ses contacts et des réseaux sociaux afin de financer de manière collaborative la numérisation d'un livre rare. Si l'objectif de la souscription est atteint au terme d'un mois, l'ouvrage est numérisé et peut être imprimé à la demande. Depuis l'ouverture de la plateforme, début octobre, huit bibliothèques parisiennes participent au projet et proposent une sélection de 500 000 notices d'ouvrages libres de droit."

"Si la mémoire désigne le phénomène physio-psychologique du souvenir, on entend aussi le terme de « mémoire » dans le sens de trace : l'écrit, l'image sont de la mémoire. La nature du support sur le lequel est inscrit le contenu à mémoriser conditionne l'existence de ce contenu, en détermine les modes d'organisation et les modalités pratiques d'accès. La première fonction de la mémoire est de durer, elle n'est utile à la constitution des savoirs et des connaissances que si elle remplit cette fonction essentielle. L'informatique, notamment l'informatique en réseau, est-elle un bon moyen de mémoriser et de conserver pour l'avenir la mémoire des hommes ? Les actuels développements des réseaux sociaux, des services de stockage et d'accès distants (le cloud), des sources et ressources éphémères soulèvent des problèmes de préservation : comment garantir l'intégrité des données et un accès immuable à ces mêmes données ? Quel(s) rôle(s) les bibliothèques devront-elles, pourront-elles avoir dans les processus techniques de stockage et de communication ? Comment peuvent-elles participer à la réflexion qui nourrit aujourd'hui le débat public sur les données numériques ? Quelle place peuvent-elles avoir également dans le débat citoyen ? Ce sont là des interrogations d'une actualité pressante qu'il convient de préciser et d'examiner."

"C'est par ses GIFs publiés sur Pinterest que Gallica, la version numérique de la Bibliothèque nationale de France, attire l'attention. Cette bibliothèque 2.0 qui propose plus de 3 millions de documents, dont des livres numérisés, des journaux, et même des partitions, anime certaines de ses images pour en faire des GIFs. Publiés sur le tableau Pinterest Gallica en GIFs, ces petites animations permettent de se cultiver en s'amusant. Une astuce décalée pour mettre en avant les documents patrimoniaux. Les actions de Gallica sur les réseaux sociaux sont lancées pour créer le lien avec leurs internautes qu'ils surnomment les Gallicanautes. Ils proposent aussi des Do It Yourself et créent des journées spéciales #gallicagif sur Twitter, pour rendre plus accessibles et attirants ces documents méconnus."

"« L'absence de compétences numériques est une nouvelle forme d'illettrisme ». Cet avertissement de Nelly Kroes, ancienne commissaire européenne chargée de la stratégie numérique pointe l'urgente nécessité de former les citoyens aux compétences numériques essentielles dans un environnement qui requiert une véritable littératie numérique et informationelle. Les enjeux de cet apprentissage citoyen sont nombreux : l'employabilité (car demain 90% des emplois nécessiteront une maîtrise des compétences numériques de base) mais aussi l'accès aux services numériques du quotidien ou l'accompagnement des enfants et des jeunes dans l'utilisation du web et des réseaux sociaux. Dans ce contexte, laplacenumerique.fr propose un service régional d'un nouveau type, associant différents services de formation, de veille et de coproduction de ressources pédagogiques qui ont été présentés lors de l'atelier 1 du séminaire du 8 juin 2015."

"Lors de son 81e congrès annuel, organisé du 15 au 21 août en Afrique du Sud dans la ville de Cape Town, l'IFLA a adopté une Déclaration sur la vie privée dans le monde des bibliothèques. Les risques relatifs à la vie privée des utilisateurs peuvent survenir lors de recherches Internet, de l'utilisation des réseaux sociaux ou de l'usage « des plateformes et des contenus mis à leur disposition par les bibliothèques ». Ce texte a donc notamment pour objectif de « donner des conseils aux bibliothèques (…) dans un environnement qui comporte une surveillance de masse de la part des gouvernements et un usage routinier des données collectées par des intervenants commerciaux (…). Rappelant les positions de l'IFLA en matière de droit à la protection de la vie privée, cette déclaration décrit également « les limites que rencontre la protection de la vie privée dans le cadre des bibliothèques et des services d'information ». Enfin, la Déclaration propose des recommandations destinées aux bibliothèques et aux services d'information, notamment sous forme de « mesures pratiques destinées à protéger les données dans les bibliothèques »."

Une ressource qui a l'air très intéressante, à diffuser largement.

(Lu dans la lettre Complément d'objet n°267) Le fossé numérique en France, rapport du Centre d'analyse stratégique, avril 2011. Constatant que l'usage et l'accès aux réseaux et aux technologies numériques est devenu l'une des conditions d'intégration dans notre société, cet état des lieux met en évidence l'existence de trois fossés numériques, générationnel, social et culturel. En France, 18 % des plus de 65 ans utilisent Internet contre 65 % au Danemark et 68 % en Finlande ; 34 % des personnes aux plus faibles revenus ont un ordinateur à domicile et 28,2 % une connexion à Internet contre respectivement 91 % et 87,1 % pour les revenus les plus élevés ; les personnes les moins diplômées utilisent peu l'outil informatique. Ce rapport établit un lien entre moindre réussite scolaire et absence d'un ordinateur et d'Internet à domicile. Il constate que les inégalités se creusent dans la population la plus jeune et alerte sur le risque que « ces fossés sociaux et culturels risquent de perdurer tout au long de leur vie et les placerait un peu plus à l'écart de la société ». Il relève de "nouveaux clivages avec l'Internet mobile" et atténue l'idée d'une fracture géographique très importante entre les zones urbaines et rurales. Des propositions pour rééquilibrer ces écarts sont avancées, par exemple : dans le cadre du plan de développement des nouvelles technologies à l'école, favoriser l'utilisation des Technologies de l'Information et de la Communication (TIC) pour une meilleure prise en compte de l'hétérogénéité et accorder une place particulière aux 15-24 ans qui n'ont pas accès à la Toile à leur domicile ; instaurer un tarif social de l'Internet ; déployer des espaces numériques publics avec un accès gratuit au Réseau et des formations pour les ménages aux plus faibles revenus ; familiariser les personnes âgées à l'informatique et mettre en place des espaces numériques dans les maisons de retraite

"La Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BDIC) lance aujourd'hui une nouvelle bibliothèque numérique. Baptisée l'Argonnaute, elle fait référence à un journal des tranchées édité par les soldats du 25e régiment d'infanterie lors de la Grande Guerre. Plus de 130 000 documents sont désormais accessibles grâce à ce nouveau portail numérique : imprimés, affiches, dessins, photographies, peintures et objets permettent ainsi d'accéder librement au patrimoine documentaire du XXe siècle. Misant sur l'indexation collective pour améliorer la description de ses fonds, l'Argonnaute permet également aux utilisateurs d'indexer directement certaines des collections numérisées et ainsi d'apporter des précisions ne figurant pas sur les notices. Enfin, chaque document peut également être partagé sur les réseaux sociaux et facilement exporté vers tout autre site web."

"Des moteurs de recherche aux réseaux sociaux, le Web est devenu un lieu privilégié pour la recherche d'information. Pour continuer à remplir pleinement leur mission, les bibliothèques doivent désormais s'inscrire dans cet environnement, aller à la rencontre des usagers sur le Web et rendre les données de leurs catalogues visibles et exploitables par des applications diverses. Ce nouvel environnement est une opportunité pour les bibliothèques en leur permettant à la fois de jouer un rôle nouveau dans la société de l'information et d'enrichir leurs missions traditionnelles au service de leur public et de leur territoire. Cette journée s'attachera à présenter le contexte théorique et technique qui permet cette évolution majeure des catalogues de bibliothèques, en l'illustrant par quelques expérimentations pionnières. Les conséquences sur la création et la diffusion de l'information bibliographique et les évolutions des métiers seront également abordées. L'objectif de cette journée est d'informer sur les changements à venir, de faire prendre conscience des enjeux de politique publique pour les bibliothèques territoriales et de fournir des pistes d'action pour engager cette évolution."