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"CredoFunding est la plateforme de finance participative ou «crowdfunding » qui a pour objectif de soutenir financièrement les projets de la communauté chrétienne compatibles avec la foi et la morale chrétienne. CredoFunding intervient pour des campagnes de collecte de dons mais également de prêts sans intérêts ou de prêts avec intérêts. CredoFunding offre une notoriété médiatique, une structure de collecte d'argent et un relais sur les réseaux sociaux pour mener à bien les campagnes de financement et atteindre une communauté de 40 millions de chrétiens."

"Une dizaine de diocèses ont bénéficié de leur banque d'un prêt garanti par l'État (PGE) pour faire face à la baisse de revenus liée au confinement."

"Mgr Pascal Wintzer commence à solder les comptes de son prédécesseur Mgr Albert Rouet. Depuis deux ans, l'archidiocèse de Poitiers affiche un déficit de près d'un million d'euros. Tout en sachant que la banque a accordé un prêt du même montant, à rembourser d'ici fin 2014… Les journalistes à la petite semaine qui répètent sans cesse que l'Eglise croule sous l'or feraient bien d'aller y voir de plus près."

"Léguer ou donner à l'Eglise, un engagement au nom de notre foi L'église doit transmettre les trésors de la foi chrétienne aux nouvelles générations. Comment cela se fera-t-il ? Nul ne le sait et ne peut le dire aujourd'hui. Mais ce que nous savons parce que nous le voyons, c'est que des hommes et des femmes sont prêts à rentrer dans cette mission. Cela suppose des moyens de formation et des moyens d'action. Les prêtres et les diacres comme les laïcs associés dans la mission, doivent pouvoir compter sur le soutien de leur Eglise pour leur assurer une vie décente et leur fournir les moyens nécessaires. Le denier de l'Eglise et les quêtes pourvoient pour une part à ces charges fnancières, mais pour une part seulement. Le reste nous vient soit par des legs, soit par des dons. Les dons, même minimes, peuvent être faits par chacun d'entre nous, à tout moment, et selon nos possibilités actuelles. Les legs, quant à eux, permettent, en agissant aujourd'hui, sans se créer de contraintes, de faire une bonne action pour plus tard. + Guy Thomazeau Administrateur apostolique du diocèse de Nice"

"Ven. 7 nov. 2014, Chatillon en Vendelais, cinéma « Le Vendelais », 20h. Organisée par le cinéma « Le Vendelais » et l'équipe CCFD-Terre Solidaire de Vitré. La finance solidaire : quèsaco ? Kesaco ? Qu'es aco ? « La finance solidaire est un sport collectif. Comme en équipe, on se partage les rôles : certains accompagnent et conseillent des projets innovants, d'autres entrent au capital, d'autres encore font des prêts ou des garanties. Mais tous collaborent pour soutenir des projets sociaux et/ou environnementaux …. » Vous souhaitez en savoir plus, cette soirée-débat est réalisée pour vous :"

"La fête de printemps, initialement prévue les 15, 16 et 17 mai ne pourra pas se faire pour les raisons sanitaires que vous connaissez. Nous espérons pouvoir réaliser la fête d'automne en octobre sur 3 jours. Le bénéfice de la fête de printemps dépasse habituellement 6000 €. Depuis plusieurs semaines et encore sans doute pour plusieurs autres, il n'y a plus de rentrée de quêtes, de prêt de salle et  presque plus de casuel (obsèques, mariages, baptêmes). Les charges paroissiales restent les mêmes à peu de choses près."

"Confrontés à une baisse du nombre des donateurs, les 105 diocèses débutent ce mardi une campagne visant à relancer les collectes, vitales pour leur avenir. Tout en se disant prêts à réduire leur train de vie."

"Les prêtres qui sont aujourd'hui âgés ont aussi été jeunes. Par leur ministère, ils ont nourri la vie des chrétiens, des communautés, des paroisses… Nous avons tous le souvenir de tel ou tel prêtre qui nous a marqué à un moment de notre vie. Nous pouvons leur en être reconnaissant. Même s'ils sont maintenant moins actifs, ces prêtres sont encore aujourd'hui bien présents à la vie de notre Église, toujours prêts à rendre service dans la mesure de leurs possibilités. Je peux en témoigner. Célébrations, rencontres… sont leur quotidien. Ils sont aussi une présence priante précieuse au cœur de notre diocèse. Donnons-leur donc les moyens de vivre sereinement cette nouvelle étape de leur vie. La commission « Vie des prêtres » est là pour les y aider. L'objectif de cette collecte est de donner des moyens pour cela. D'avance, je vous remercie."

6 Français sur 10 accordent de l'importance aux impacts environnementaux et sociaux dans les décisions de placements. Cette tendance de finance responsable va en s'amplifiant, puisqu'en 2013, cette part était alors tout juste majoritaire (50%). Avant même d'avoir été confrontés à la notion d'Investissement Socialement Responsable dans le cadre de cette enquête, 37% de la population déclarent avoir en effet déjà entendu parler de l'ISR, soit une légère progression depuis 2018 (+4 points). Alors même que l'expérience d'un investissement dans un fonds ISR demeure très à la marge (5%), notons que 37% des personnes interrogées se montrent disposés à se renseigner sur la finance responsable auprès de leur conseiller. Par ailleurs, 32% des Français se déclarent prêts à investir dans un produit financier dédié à la biodiversité, une proportion qui frôle même la majorité des personnes connaisseuses de l'ISR (47%).

"Eglises fermées, cérémonies annulées… Il manque 800 000 euros de recettes cette année à l'Eglise. Le diocèse a même dû souscrire un prêt garanti par l'Etat. Les fidèles sont invités à faire un don avant le 31 décembre." [RDP du 31 décembre 2020]

"Le père Francis Athimon est prêtre à la léproserie d'Adzopé, en Côte d'Ivoire. En visite en France, il recherche des financeurs prêts à investir de l'argent dans son institution." [RDP du 09 septembre 2020]

"La situation sanitaire de notre pays dû au coronavirus a fortement impactée les finances de nos diocèses mais plus largement de toute l'Église de France. Depuis mars 2020, avec les deux confinements, les arrêts des messes, l'absence de quête cela représente prêt de 90 millions d'euros de perte en France. Pour notre diocèse de Saint-Dié la perte de ressources globales dû à la crise sanitaire est de 750 000 euros. Votre générosité aide l'Eglise à rester debout et proclamer l'espérance. Deux moyens pour donner à distance : l'application Lyf Pay - notre solution permanente pour le diocèse ou temporairement le site quete.catholique.fr"

"Le procès du Père Maurice Roger se tiendra aujourd'hui, 21 octobre 2021, devant le Tribunal correctionnel de Vannes. L'instruction du dossier aura ainsi duré près de 5 ans. En décembre 2016, l'évêque de Vannes faisait déposer plainte par l'Association diocésaine à l'encontre de son vicaire général, pour détournement de fonds et abus de confiance. Il lui était reproché d'avoir perçu de façon irrégulière des offrandes de messes et d'avoir obtenu des prêts personnels auprès de prêtres et de congrégations religieuses en usant de son titre officiel de vicaire général."

"En décembre, le diocèse de Séez lance une opération digitale d'appel à dons pour le Denier de l'Église baptisée "La Paix de Noël au cœur du monde": Dans la nuit de Noël, Jésus est venu nous offrir la Paix. Par leurs chants, les anges ont répandu cette Bonne Nouvelle dans le ciel et sur toute la terre : « Paix sur la terre aux hommes qu'Il aime ! » Dans notre société fragilisée par les divisions, comme dans notre Église qui traverse la tempête, ces épreuves nous interrogent profondément : existe-t-il encore des hommes et des femmes prêts à relever le défi de la Paix ? Oui, dans nos villes et nos campagnes, dans nos églises comme dans nos quartiers, ils sont nombreux ces artisans de Paix qui portent au monde un message de justice, d'humanité et d'amour. Plus que jamais, l'Église a besoin d'hommes et de femmes pour être signe de cette Bonne Nouvelle. Elle a donc besoin de moyens matériels pour que ces artisans de Paix puissent agir au quotidien : annoncer la joie de l'Évangile, célébrer les moments importants de notre vie (baptêmes, communion, profession de foi, mariage, funérailles), servir les plus pauvres et les plus fragiles. C'est tout le sens de cette opération de fin d'année d'appel à dons pour le Denier de l'Église."

"Le 15 août 2024, Ambroise Laurent, chargé des questions économiques à la Conférence des évêques de France, est interviewé sur RTL 1. Il proclame : « On prie pour la France le 15 août. Donc, il y a plein de fêtes partout. Les églises sont ouvertes et accueillent beaucoup de monde. Et c'est vrai que les gens sont prêts à donner et à prier ensemble. Les deux vont de pair. » La journaliste fait, avec lui, l'inventaire des recettes : la vente de cierges, mais surtout la quête des « paniers collectés » par lesquels l'Église observe le montant moyen d'un don par carte bancaire, supérieur à celui d'un don en espèces. En ajoutant le casuel, lorsque les catholiques donnent pour la célébration des baptêmes, mariages, funérailles, les offrandes de messe, quand un fidèle paye pour faire dire une messe à une intention particulière, et bien sûr la collecte annuelle du denier de l'Église, on atteint pour l'année 2022 591 millions. Le financier estime ce montant « en augmentation après le gros trou d'air de 2020, année covid, quand les fidèles ne pouvaient pas assister à la messe. Il y a aussi des legs, chaque année, eux, sont classés dans la case ressources exceptionnelles »"

"Les évêques de France doivent décider samedi de l'éventuelle création d'un "fonds spécifique de dotation". Il pourrait se financer par un appel aux dons des catholiques. C'est un "geste financier" qui pourrait être lourd de sens dans la lutte pour la reconnaissance des abus sexuels au sein de l'église. Réunis en assemblée plénière à Lourdes depuis mardi, les évêques de France devront se mettre d'accord, avant samedi, sur les modalités d'une éventuelle "allocation de reconnaissance de la souffrance vécue" par les victimes. Cette "réparation financière" serait valable pour les faits prescrits par la justice, ainsi que pour les cas déjà présentés devant la justice civile. Selon Thierry Magnin, le porte-parole de la Conférence des évêques de France (CEF), ce "geste" pourrait être mis en place courant 2020, et ne serait pas une "indemnité", mais un "forfait, dont le montant fait partie des discussions". "