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"Les évêques de France doivent décider samedi de l'éventuelle création d'un "fonds spécifique de dotation". Il pourrait se financer par un appel aux dons des catholiques. C'est un "geste financier" qui pourrait être lourd de sens dans la lutte pour la reconnaissance des abus sexuels au sein de l'église. Réunis en assemblée plénière à Lourdes depuis mardi, les évêques de France devront se mettre d'accord, avant samedi, sur les modalités d'une éventuelle "allocation de reconnaissance de la souffrance vécue" par les victimes. Cette "réparation financière" serait valable pour les faits prescrits par la justice, ainsi que pour les cas déjà présentés devant la justice civile. Selon Thierry Magnin, le porte-parole de la Conférence des évêques de France (CEF), ce "geste" pourrait être mis en place courant 2020, et ne serait pas une "indemnité", mais un "forfait, dont le montant fait partie des discussions". "

"Les évêques français devraient voter samedi 9 novembre une proposition de mettre en place un « geste financier symbolique » envers les victimes d'abus sexuels agressées par un clerc. Mais le dispositif qu'ils envisagent est déjà contesté par certaines d'entre elles."

"Les évêques de France, réunis en Assemblée plénière du 5 au 10 novembre à Lourdes (Hautes-Pyrénées), ont adopté un dispositif de « reconnaissance des causes » de la souffrance des victimes d'abus sexuels. Mgr Pascal Delannoy, évêque de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) et responsable, pour la Conférence des évêques de France, du groupe de travail [1] en charge d'un geste financier proposé aux victimes, nous en explique le sens."

"Alors que la fin de l'année approche, il est temps de faire un point sur la collecte 2019 du Denier de l'Eglise pour notre diocèse. Les chiffres sont parlants et le diocèse a vraiment besoin de vous !"

6 Français sur 10 accordent de l'importance aux impacts environnementaux et sociaux dans les décisions de placements. Cette tendance de finance responsable va en s'amplifiant, puisqu'en 2013, cette part était alors tout juste majoritaire (50%). Avant même d'avoir été confrontés à la notion d'Investissement Socialement Responsable dans le cadre de cette enquête, 37% de la population déclarent avoir en effet déjà entendu parler de l'ISR, soit une légère progression depuis 2018 (+4 points). Alors même que l'expérience d'un investissement dans un fonds ISR demeure très à la marge (5%), notons que 37% des personnes interrogées se montrent disposés à se renseigner sur la finance responsable auprès de leur conseiller. Par ailleurs, 32% des Français se déclarent prêts à investir dans un produit financier dédié à la biodiversité, une proportion qui frôle même la majorité des personnes connaisseuses de l'ISR (47%).

"Le jury a salué l'audace de notre campagne et le message développé pour la campagne du denier de notre diocèse. Ils ont souligné l'idée du lien entre les valeurs du sport et celles de l'Église et la manifestation de cette campagne avec deux matchs de football organisés."