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"Mais à quel prix ? Plusieurs diocèses ont déjà licencié des salariés, ou n'ont pas renouvelé des contrats arrivés à échéance. D'autres opèrent des coupes budgétaires, ou envisagent de revendre une partie de leur patrimoine immobilier. Le diocèse de Perpignan estime à 600 000 € les pertes sur un chiffre annuel de quatre millions d'euros. Le diocèse de Troyes pense vendre une partie, ou la totalité, de sa maison diocésaine de 4 900 m2. Le diocèse a déjà connu 500 000 € de déficit en 2019. Idem dans le diocèse de Créteil. Le diocèse de Poitiers envisage d'arrêter de faire appel à des agences de communication pour ses campagnes d'appel aux dons. Le diocèse de Quimper et Léon a stoppé ses travaux."

" Une nouvelle fait jaser dans le landerneau breton : la mise sous tutelle du diocèse de Quimper-Léon, pris dans une tourmente financière et dans d'importantes tensions internes. C'est l'archevêché de Rennes qui se charge désormais de ses actes économiques et officiels. Le diocèse de Quimper est le premier diocèse de Bretagne à être dans cette situation. Mais en France, de nombreux autres diocèses sont dans le rouge, et certains d'entre eux sont sous tutelle, une dizaine environ, selon des estimations divergentes. Où en est la grande misère des diocèses de France, pourquoi et quelles sont les perspectives ?"

"L'Econome du diocèse de Quimper et Léon dément la mise sous tutelle 1 mai 2014 / 2 commentaires / 634 vues Share on facebookShare on twitterShare on emailShare on pinterest_shareMore Sharing Services1 Rémi Perrin, Econome du diocèse de Quimper et Léon, nous écrit : « Vous publiez ce jour un article intitulé « mise sous tutelle du diocèse de Quimper« , dans lequel vous affirmez que ce diocèse serait dans la tourmente financière et aurait été mis sous tutelle de l'archevêché de Rennes. Cette information est totalement mensongère. Le diocèse de Quimper est bénéficiaire depuis plusieurs années, il l'a été une fois de plus en 2013. »"

"Pour quoi donner au denier ? Chaque jour, de nombreuses personnes sont au service du diocèse de Cambrai. Les prêtres, les laïcs salariés et les bénévoles (dont les diacres) permettent aux paroisses et aux mouvements d'Église d'annoncer la Bonne Nouvelle, de célébrer les sacrements et de servir les plus pauvres. Par votre participation généreuse au Denier de l'Église, vous manifestez votre soutien et votre désir concret de permettre à tous ces acteurs de l'Église catholique d'exercer dignement leur mission dans des communautés vivantes et aimantes. Concrètement, le Denier de l'Église permet au diocèse de : verser un traitement aux prêtres en activité ; participer à la prise en charge des prêtres aînés ; rémunérer des laïcs salariés au service du diocèse et des paroisses ; prendre en charge les frais des séminaristes. Comme tous les diocèses en France, le diocèse de Cambrai ne reçoit aucune subvention, ni de l'État ni du Vatican."

"Le Diocèse de Strasbourg compte 767 paroisses servies par 400 prêtres actifs ou étudiants, 260 agents pastoraux rémunérés par l'Etat, une centaine d'agents salariés par l'archevêché et ses annexes et des bénévoles. Le service des affaires temporelles de l'archevêché est une équipe pluridisciplinaire qui ne gère directement qu'une partie des ressources humaines et financières du diocèse en raison des particularités du régime concordataire d'Alsace-Moselle. Pour gérer les affaires du diocèse et conduire les projets nécessaires pour préparer l'avenir, le Diocèse cherche son délégué épiscopal aux affaires temporelles, économe diocésain et directeur des ressources humaines."

"Aujourd'hui, nous vous présentons Bénigne Vinot, salariée du diocèse et directrice du centre spirituel diocésain à Nancy. Pourquoi ? Parce que Bénigne, comme les 41 autres laïcs salariés en CDI du diocèse est rémunérée grâce à vos dons, grâce au Denier de l'Église. À travers cette vidéo, nous vous emmenons suivre Bénigne pendant 24h pour découvrir une journée type dans sa mission et ainsi, son rôle au service du diocèse. Chaque jour, elle travaille à garantir un accueil de qualité à ceux et celles qui viennent se ressourcer au sein du centre spirituel de notre diocèse. Ce lieu, unique en France, accueille chaque jour des retraites individuelles et en groupe."

"Devant les défis de l'Evangélisation et confronté à des besoins croissants de ressources, notre diocèse a fait un choix moderne concernant la prospection de nouveaux donateurs. Il a souhaité collaborer avec une société spécialisée dans les problématiques du denier de l'Eglise. Dénommée Exode 3, cette société basée à Laval (53) obtient de bons résultats auprès de la vingtaine de diocèses avec laquelle elle travaille. Son activité principale consiste à contacter par téléphone des personnes susceptibles de devenir des donateurs au denier. Elle appelle au nom du diocèse, échange avec les personnes, et - si les conditions sont réunies - les invite à faire une promesse de don. Un courrier postal est ensuite envoyé aux personnes intéressées. Aucun don ne se fait par téléphone. En aucun cas cette société ne contacte les donateurs fidèles. Il s'agit d'une opération test déployée sur l'ensemble du diocèse. Elle se poursuivra durant plusieurs mois"

"Pierre-Emmanuel Fort est commissaire aux comptes de l'Association diocésaine de Gap et d'Embrun. Il l'est aussi pour le diocèse de Nice. Ci-dessous l'interview qu'il a accordée à l'origine à Azur Information, le journal du diocèse de Nice, et qu'il a bien voulu revoir pour le diocèse de Gap et d'Embrun à la suite de l'Assemblée générale à Gap de l'Association diocésaine le 24 juin dernier."

"Le crowfunding est une façon originale pour l'Église de diversifier les méthodes de collecte de fonds, même si le volume financier est aujourd'hui une goutte d'eau face aux besoins d'un diocèse (le budget moyen d'un diocèse rural est de 8 millions lorsque celui d'un gros diocèse urbain peut être de plus de 15 millions d'euros). Néanmoins la présentation des premiers résultats d'un des sites les plus populaires, Credo Funding, laisse entrevoir le potentiel d'une recherche de donateurs autour d'un projet fédérateur et plus simplement d'un contenant. L'enjeu est absolument essentiel : l'évolution de l'Eglise de France ne va pas d'abord se faire sur des enjeux doctrinaux, des positions éthiques ou morales, qui clivent temporairement mais ne modifient pas en profondeur les engagements des catholiques. Alors que de nombreux diocèses connaissent d'importantes difficultés financières, l'enjeu est de pouvoir aujourd'hui garantir le financement des ambitions ecclésiales. Les idées et la bonne volonté ne manquent pas, mais il faut renouveler les ressources."

"Le week-end des 7 et 8 mars 2020, les paroisses du diocèse de Nancy et de Toul ont lancé la campagne 2020 du Denier de l'Église catholique. Alors que la barque de l'Église est secouée, le diocèse garde le cap de l'espérance. Sa campagne 2020 du Denier valorise ainsi une Église à la fois unie et diverse, une Église dans laquelle chacun peut se reconnaître, et une Église joyeuse et accueillante. En 2019, les dons au Denier en Meurthe-et-Moselle ont augmenté de 0,8% par rapport à 2018. Le diocèse tient à remercier tous les donateurs pour leur fidélité. La collecte du Denier constitue la principale ressource financière du diocèse, qui ne reçoit aucune subvention de la part du Vatican. Elle permet de faire face aux frais liés à la rémunération des 150 prêtres et 43 laïcs salariés, et à la formation des 4 séminaristes qui se préparent à devenir prêtres."

"lus de messes depuis le 15 mars, et donc plus de quêtes dans nos paroisses. Est-ce important ? Voici quelques éléments … d'enquête. Nous avons le sentiment de donner une offrande modeste à la quête : disons 2 € ! Chaque dimanche, une paroisse moyenne de 300 paroissiens va collecter : 600 €. Pour les 76 paroisses du diocèse cela fait en moyenne chaque dimanche : 45 600 €. Chaque mois, cela représente 182 400 €. Pour une année complète, en comptant 11 mois pour tenir compte des périodes des congés, cela fait environ 2 millions € (chiffres 2019 pour tout le diocèse). Un joli total à la sortie, qui est loin d'être négligeable pour l'équilibre financier de nos paroisses et du diocèse. Nous risquons de perdre environ 550 000 € au total du diocèse."

"C'est un rendez-vous crucial pour les finances du diocèse de Strasbourg ! Les recettes de la grande quête sont indispensables pour le fonctionnement de l'église d'Alsace. Pour faire vivre les mouvements et les services, pour soutenir les personnes blessées par la vie, pour la formation des prêtres et des laïcs, pour gérer le patrimoine immobilier, et bien sûr pour la vie sacramentelle, le diocèse fait appel à votre générosité. En cette année si particulière qui a vu les recettes des paroisses et des sanctuaires chuter avec l'interdiction des messes en public ou l'annulation des pèlerinages, nous avons, plus que jamais, besoin de vous !   Nouveauté 2021 : La quête numérique Cette année, le diocèse innove dans certaines paroisses ou sanctuaires en lançant la quête numérique qui a déjà fait ses preuves dans de nombreux diocèses en France. Vous pourrez payer votre offrande avec une carte bleue et sans contact. Un panier de quête électronique ou une borne numérique située à l'entrée de l'église vous permettront d'accomplir ce geste d'offrande."

"Comme les saints, nous sommes nous-aussi appelés à faire grandir l'Église, par notre propre sainteté, dans notre société telle qu'elle est, avec les talents qui sont les nôtres. Grandir en sainteté, c'est l'appel que nous partageons tous, chacun de nous qui avons été baptisé(e)s. Faire grandir l'Église en sainteté, c'est aussi lui donner les moyens humains et matériels pour déployer sa mission. Donner au Denier, c'est assurer à nos pasteurs, aux prêtres mais également aux laïcs engagés dans une mission au service du diocèse ou de notre paroisse un traitement décent. C'est participer à la formation de nos actuels séminaristes ou encore prendre soin de nos prêtres aînés. C'est soutenir et s'associer aux projets et aux élans de notre Eglise ! Des perspectives, notre diocèse n'en manque pas à l'aube du Jubilé de ses 50 ans. Alors comme saint François, comme sainte Thérèse, comme tous les saints patrons de notre diocèse, nous aussi faisons grandir l'Église ! Et par avance, un grand merci à chacun pour sa participation. Je donne en ligne via la plateforme sécurisée de don du diocèse"

"C'est le devoir de l'évêque de rétribuer et loger convenablement chaque prêtre de son diocèse. Le Denier de l'Église et le casuel (offrandes faites à l'occasion des baptêmes, mariages et sépultures) sont les principales ressources dont le diocèse dispose pour rémunérer les allocations des prêtres. En effet, on ne parle pas de "salaire" pour qualifier le revenu d'un prêtre, mais plutôt d'indemnités, car il n'a pas de contrat de travail. Dans notre diocèse d'Avignon, la rémunération des prêtres est actuellement de 639,19€ nets. En intégrant les honoraires de messes (18€ x 26 messes = 468€) et les frais de déplacements (variables) on avoisine un revenu de 1200€, soit un peu moins du SMIC. Heureusement, les prêtres n'ont généralement pas de loyer à payer ; le diocèse se charge de leur fournir une habitation décente."

"L'épidémie de Covid-19 a fortement aggravé la baisse des ressources de l'Église catholique. Durant les trois mois de fermeture des églises, seules quelques quêtes en ligne ont pu être perçues, aucun casuel. Les ressources du diocèse de Toulouse ont perdu près de 800 000 €, soit une perte de 12%. Les lieux ayant été moins utilisés, les charges ont connu une légère baisse, de l'ordre de 300 000 €. Le manque à gagner pour le diocèse de Toulouse est donc de 500 000 € au total. Le budget de fonctionnement du diocèse de Toulouse - environ 11 millions d'euros -, déjà tendu, se trouve donc amputé d'une partie non négligeable de ses revenus. En raison de ce manque à gagner, le diocèse va sans doute devoir retarder des projets d'investissement, des travaux de remise en état : rénovations de salles paroissiales, logements de prêtres... Ils devront sans doute être retardés d'une ou deux années. Il est essentiel de maintenir la vie pastorale et les emplois qui y contribuent. Vos dons permettent à l'Église d'annoncer la Bonne Nouvelle de Jésus dans un monde en quête de sens et en perte de repères. Il est toujours temps de donner au denier jusqu'au 31 décembre (permettant ainsi une déduction fiscale de 66 % du montant du don, dans la limite de 20% du revenu imposable)."

"Durant la période de confinement entre le 16 mars et le 11 mai 2020, l'Eglise a connu une forte baisse de ses ressources, principalement de celles issues de la générosité de proximité (paroissiale) : quête, offrandes de messes, casuels. Pour réduire l'impact financier sur les finances de l'Eglise, les évêques de France lancent une campagne nationale d'appel au don du 13 au 28 juin 2020. Dans le cadre de cette campagne qui a débuté le 13 juin dernier, Mgr François Kalist, Archevêque du Diocèse de Clermont, Mgr Laurent Percerou, Evêque du Diocèse de Moulins, Mgr Luc Crépy, Evêque du Diocèse du Puy-en-Velay, et Mgr Bruno Grua, Evêque du Diocèse de Saint-Flour, seront réunis pour relayer conjointement cet appel lors d'une émission spéciale en direct sur les ondes de RCF 63, vendredi 19 juin, entre 12h et 12h30."

"Le denier est la principale ressource financière de l'Eglise catholique. C'est un don volontaire fait par les catholiques à leur diocèse, à l'image des premières communautés chrétiennes qui mettaient leurs biens en commun. Votre don permet au diocèse du Mans de verser un traitement aux prêtres et religieux présents dans votre paroisse et dans le diocèse. Il permet aussi de recruter les laïcs salariés qui sont au service de la pastorale et du fonctionnement du diocèse. Avec vous, et grâce à votre don, nous pouvons vivre les missions de l'Eglise : célébrer, enseigner, pratiquer la charité"

"Depuis sa création en 1926, l'Œuvre du Blé Eucharistique récolte la farine ou l'argent nécessaire pour la fabrication des hosties destinées aux diocèses de Rouen et du Havre. L'excédent financier est affecté à la formation des séminaristes et au soutien des prêtres aînés des deux diocèses. La fête du Blé Eucharistique a lieu chaque année dans la cathédrale Notre-Dame de Rouen. Elle réunit l'ensemble des donateurs, des correspondants et des collecteurs paroissiaux des diocèses de Rouen et du Havre. C'est l'occasion d'une rencontre fraternelle entre les Eglises de Rouen, du Havre et le monde rural. Cette année la messe sera célébrée par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen et Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre, et de nombreux prêtres des deux diocèses. Au cours de cette célébration, 4 000 pains seront bénis et remis aux donateurs de l'Œuvre."

"Notre diocèse de Lille est riche de nombreuses et belles églises. Témoins de notre histoire, elles sont aussi des lieux de foi, de vie, d'accueil. Si les communes sont propriétaires de la majorité des églises paroissiales, le diocèse a à sa charge les lieux de culte construits après 1905, comme la cathédrale et 56 églises. Certaines charges liées aux églises communales incombent tout de même au diocèse de Lille, comme le mobilier liturgique, la sonorisation et parfois la remise en peinture et l'éclairage. La commission diocésaine d'art sacré est par ailleurs conseillère dans la mise en œuvre de ces travaux, en collaboration avec les collectivités. Entretenir ces locaux et leur donner toute leur dimension pastorale est une priorité pour notre diocèse. Pour une Eglise accueillante et vivante, il est nécessaire de proposer des lieux de prière et de recueillement en bon état, en termes de sécurité, d'écologie thermique et d'esthétique."

"Le Diocèse de Valence prévoit d'envoyer plus de 300 jeunes à la rencontre du Pape et des Portugais lors des prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse qui se dérouleront à Lisbonne en août 2023! Ces journées sont un formidable moment d'échange et de partage pour tous les jeunes de notre diocèse. C'est aussi un grand moment pour tout le diocèse qui bénéficiera de leur prière et de leur élan missionnaire à leur retour. Monseigneur Pierre-Yves Michel, administrateur diocésain, lance un appel au don pour faire baisser le cout de la participation aux JMJ pour l'ensemble du diocèse et pour les jeunes. L'éloignement géographique de ces journées implique un coût non négligeable qui peut être difficile à porter pour les étudiant et jeunes professionnels qui souhaitent partir. Vous pourrez leur confier vos intentions de prière, ils les porteront pendant les JMJ !"