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"Pour la 5ème année consécutive l'Agence Limite s'est associée à l'Ifop pour réaliser le 5ème Baromètre « e-donateurs » LIMITE - Ifop, en partenariat avec Faircom. Parmi les grands enseignements de cette nouvelle édition, on retiendra qu'aujourd'hui, 1 Français sur 4 déclare faire des dons par Internet (24%). En 2015, se dessinent deux grandes tendances de fond : le don par Internet se banalise et le fossé entre les seniors et les jeunes donateurs, en matière de pratiques de e-don, se creuse. Si elles veulent constituer des réserves suffisantes de sympathisants et de futurs donateurs, les associations et fondations doivent poursuivre leur conquête du web «classique» et investir les nouveaux outils et modes d'engagement en ligne. L'analyse digitale des principales associations nous montre qu'elles vont dans ce sens en investissant massivement l'ensemble des réseaux sociaux. "

"A l'occasion de la Saint-Cécile, patronne des musiciens, Auxi 150 et la Mutuelle Saint-Christophe ont souhaité poursuivre l'exploration de la scène artistique chrétienne en interrogeant les artistes qui la composent, à la suite de l'étude menée auprès des catholiques pratiquants en juin dernier. Les musiciens interrogés se révèlent être des artistes prolifiques. Près de trois artistes chrétiens sur quatre expriment leur volonté de participer à un nouveau projet d'album ou de spectacle, mais citent majoritairement le manque de financements comme une des difficultés rencontrées, les comédiens y ajoutant les difficultés liées à la disponibilité de salles où se produire. " Résultat et annexe en téléchargement sur la page

Moins d'un quart des Français a déjà effectué une donation du vivant (24%). Les seniors CSP + semblent avoir mieux saisi les nombreux atouts de ce type d'opération. Une opération le plus souvent réalisée devant notaire et conçue pour renforcer la solidarité intergénérationnelle et le soutien aux œuvres caritatives. Parmi les 76 % des Français n'ayant pas réalisé de donation, 47% considèrent ne pas avoir de bien à donner et 23% estiment que la répartition de leur patrimoine sera réglée au moment de leur succession.

De nombreuses manifestations de solidarité envers le personnel médical ont pu être observées mais cette épidémie a également parfois généré des réflexes de repli sur soi et des comportements individualistes ou égoïstes comme on l'a vu. Pour tenter d'objectiver les réactions suscitées et mesurer si l'altruisme a été « dopé » par cette crise sanitaire majeure, l'observation des pratiques de dons constitue selon nous un bon indice. De nombreuses associations ou organisations faisant appel à la générosité du public, comme la Croix Rouge, l'Institut Pasteur ou bien encore la Fondation pour La Recherche Médicale ont lancé des appels des dons durant cette période

"De nombreuses manifestations de solidarité envers le personnel médical ont pu être observées mais cette épidémie a également parfois généré des réflexes de repli sur soi et des comportements individualistes ou égoïstes comme on l'a vu. Pour tenter d'objectiver les réactions suscitées et mesurer si l'altruisme a été « dopé » par cette crise sanitaire majeure, l'observation des pratiques de dons constitue selon nous un bon indice. De nombreuses associations ou organisations faisant appel à la générosité du public, comme la Croix Rouge, l'Institut Pasteur ou bien encore la Fondation pour La Recherche Médicale ont lancé des appels des dons durant cette période"

6 Français sur 10 accordent de l'importance aux impacts environnementaux et sociaux dans les décisions de placements. Cette tendance de finance responsable va en s'amplifiant, puisqu'en 2013, cette part était alors tout juste majoritaire (50%). Avant même d'avoir été confrontés à la notion d'Investissement Socialement Responsable dans le cadre de cette enquête, 37% de la population déclarent avoir en effet déjà entendu parler de l'ISR, soit une légère progression depuis 2018 (+4 points). Alors même que l'expérience d'un investissement dans un fonds ISR demeure très à la marge (5%), notons que 37% des personnes interrogées se montrent disposés à se renseigner sur la finance responsable auprès de leur conseiller. Par ailleurs, 32% des Français se déclarent prêts à investir dans un produit financier dédié à la biodiversité, une proportion qui frôle même la majorité des personnes connaisseuses de l'ISR (47%).

A la veille de la Semaine de la Finance Responsable, l'Ifop a réalisé pour le FIR et Vigeo Eiris un sondage auprès de l'ensemble des Français, destiné à faire le point sur la notoriété et les pratiques en la matière. Alors que la connaissance de l'ISR (Investissement Socialement Responsable) demeure à la fois stable et très minoritaire (9% des épargnants), de même que l'investissement dans des produits d'ISR, l'intérêt pour ce type de placement financier semble, quant à lui, largement supérieur : 62% accordent de l'importance aux impacts environnementaux et sociaux dans leurs décisions de placements. Or, 5% seulement des épargnants se sont vu proposer de l'ISR par leur conseiller bancaire alors que celui-ci est perçu comme le plus à même d'informer sur le sujet (64%), loin devant tout autre acteur et davantage que l'an passé (+9 points).