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tangi bertin bertin

«L'homo interneticus» restera-t-il «l'homo sapiens» ? - 9 views

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    super intéressant. J'ai lu un livre de Jack Goody : la raison graphique qui m'a servi pour cette fiche de lecture : http://www.calameo.com/read/000303169844880b38775. Une idée intéressante est que grâce à l'écriture l'humain se trouvant libéré du problème de mémorisation a vu accroitre son champs d'activité critique et à évolué lentement vers la rationalité, l'attitude sceptique vers : la pensée logique... Aujourd'hui je pense que le web2.0 nous libère notamment de contraintes organisationnelles et temporelles pour accroitre nos compétences collaboratives...
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    Mais j'ai l'impression que ça mène à quelques problèmes de mémoire ... et d'approfondissement :)
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    Oui, c'est d'ailleurs ce qui inquiète Nicolas Carr dans son ouvrage. On délègue la mémoire à nos machines. On délègue même nos capacités d'orientation (gps...). J'ai l'impression qu'aujourd'hui l'enjeu est plus de savoir ou trouver l'info qd on en a besoin plutôt que de la stocker dans nos petites têtes, on travail à flux tendu. A l'extrême ca peut être dangereux, mais finalement il nous faut qd même de la mémoire ne serait ce que pour savoir ou chercher l'info, mais cette mémoire ne concerne plus la donnée elle-même, elle concerne le support de stockage...a méditer...
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    Je me demande si cela à long terme ne va pas changer notre structuration du cerveau au niveau des terminaisons et des neurones...à méditer...
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    Justement c'est ce dont parle Nicolas Carr ;), le livre est en anglais mais l'auteur du blog fait un bon résumer ;).
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    En effet notre petit cerveau semble un autre article sur le sujet : http://www.mikiane.com/node/2010/06/19/comment-le-web-a-chang-mon-cerveau
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    Merci Tangi, c'est vraiment un sujet passionnant cette histoire de cerveau en évolution...j'adore ;)
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    Moi j'ai peur un peu... :-)
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    le multitasking rendrait idiot : ...http://www.slate.fr/lien/26085/multitasking-rend-idiot.
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    je comprend mieux le comportement des filles :) [troll off]
Emilie Bouvrand

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! - 0 views

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    Un site d'information et d'explications sur notre cerveau. Niveau d'explication débutant, intermédiaire et avancé. Excellente ressource sur les mystères de notre cerveau.
Emilie Bouvrand

Cultures, Savoirs & Réflexions: Comment notre cerveau apprend-il ? (dossier) - 1 views

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    Le genre de dossier qui est passionnant. Se plonger dans les recoins inconnus de notre cerveau et se ses mécanismes lors de l'apprentissage, rien de mieux !
Julien Morice

Pour la Science - Actualité - Fille-garçon : un cerveau différent - 0 views

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    Différence entre le cerveau féminin et masculin. L'éducation et la culture ne ferait pas tout....
tangi bertin bertin

Comment le Web a changé mon cerveau ! - 0 views

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    internet rend il bête ?
tangi bertin bertin

Entre réel et virtuel, les limites de la vie… à l'école » Article » OWNI, Dig... - 0 views

  • Le développement actuel des univers virtuels interactifs est le prolongement de travaux de recherche menés dès l’apparition de l’ordinateur autour d’un mythe célèbre : « l’ordinateur c’est l’homme ». Ce mythe apparu aussi bien avec Türing qu’avec la cybernétique ou encore les théories de l’apprentissage de Skinner (enseignement programmé). C’est donc dire qu’il est ancré dans l’esprit humain à l’égal des grands mythes qui traversent l’humanité et déclinés de manière proche au travers des cultures
  • Si l’ordinateur c’est l’homme, alors l’homme est-il une machine ?
  • En d’autres termes, en libérant le cerveau des tâches répétitives ou consommatrices d’énergie mentale, il suppose qu’il est alors possible de développer les capacités du cerveau qui vont vers le « plus de complexité »
  • ...11 more annotations...
  • Le cerveau humain, complexe en lui même aurait commencé à projeter cette complexité dans les techniques (et pas seulement les machines) qu’il développ
  • Regardons des usagers en activité au long d’une journée, d’une semaine voire davantage et nous pouvons nous apercevoir que l’objet lui même s’est installé dans le prolongement direct de l’activité mentale, qu’elle soit sociale, professionnelle ou affective…
  • L’homme en externalisant certaines de ses fonctions humaines serait obligé de se « machiniser », en d’autres termes d’utiliser de plus en plus de prothèses pour faire face à la complexité.
  • En développant les univers virtuels et en les fusionnant de plus en plus avec le réel (de la simulation à la réalité augmentée), nous allons nous retrouver avec un problème éducatif nouveau : situer la part de l’humain dans notre environnement !
  • L’espace classe est en train lentement d’éclater comme espace-temps d’apprentissage.
  • Certes le TBI (tableau blanc interactif, ndlr) donne encore du fil à retordre car il est bien centralisateur (de par sa forme même : un écran pour plusieurs). Mais le portable (ordinateur ou smartphone) dans la classe relié au reste du monde va inévitablement questionner la forme scolaire.
  • Comme de plus ces techniques permettent de plus en plus le lien individuel « homme machine » elles posent aussi au système scolaire la question de sa forme collective.
  • L’élève est-il une machine ? Va-t-il le devenir dans nos classes ? L’expérience des Landes (rappelons nous l’enquête de l’an passé après huit années de pratique) nous montre que les choses vont lentement, que la technicisation de l’enseignement est un phénomène lent.
  • Le système scolaire est fortement confronté à la demande de la société au service de laquelle il a été créé
  • Le pessimiste pourra opter pour la première hypothèse et tenter de freiner, l’optimiste pourra opter pour la deuxième en pensant qu’il peut créer du sens
  • Or mettre en route ce rôle de questionneur c’est inviter chacun à se mettre en réflexion sur ces évolutions, à accepter la confrontation, la discussion, la co-construction.
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    l'"homme" devient il un "homme machine" ? Laine, Breton,asimov et deusX inside
Julien Morice

Place de la toile (23/07/2010) - 0 views

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    un épisode de place de la toile qui peut intéresser notre petite "communauté" puisqu'il est question du livre de Nicolas Carr sur l'évolution du cerveau (c'est vrai que ca laisse songeur en particulier sur la question de notre boulimie d'information et notre capacité réelle de rétention et d'appropriation). Ensuite une interview de Hugues Aubin à me pas manquer sur l'exception Francaise de Rennes en matière de numérique. On vit quand même dans un bon terreau ;). Désolé d'avance pour le nombre de Tag :).
Pierre AVRIL

Nos décisions en questions « InternetActu.net - 0 views

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    Comment prenons-nous des décisions morales ou éthiques ? Dans l'idéal, nous devrions les prendre uniquement sur les faits… Nous en sommes loin, rappelle Jonah Lehrer dans Wired, l'auteur de Faire le bon choix : comment notre cerveau prend des décisions.
tangi bertin bertin

Embrasser la complexité « InternetActu.net - 1 views

  • Sous cette bannière se regroupe l’ensemble des phénomènes capables de s’organiser spontanément de manière très élaborée, sans intervention d’une intelligence extérieure.
  • Les 17e, 18e et 19e siècles, époque du triomphe de la mécanique newtonienne furent essentiellement consacrés à l’analyse de la simplicité. Les sciences et les mathématiques de l’époque se chargeaient de comprendre les choses prévisibles, constantes, comme les mouvements des objets sous l’influence des forces physiques.
  • Le 20e siècle s’est intéressé à la complexité désorganisée : le hasard, les statistiques…
  • ...18 more annotations...
  • Le 21e siècle, lui, se heurte à la complexité organisée. Celle justement qui se caractérise par la constitution des réseaux.
  • la théorie des réseaux, notamment l’idée des “petits mondes” qui montre comment un certain type de connectivité peut très facilement permettre une mise en relation globale de tous ces éléments (la fameuse notion des “six degrés de séparation”)
  • “Le cerveau est un réseau constitué de neurones reliés par des axones ; la cellule est un réseau de molécules reliées par des produits chimiques ; les sociétés humaines sont constituées d’individus reliés par des relations amicales, familiales, professionnelles ; les écosystèmes entiers sont des réseaux d’espèces connectées par diverses interactions comme la chaine alimentaire
  • la conviction qu’il existe un “Monde des Idées” donnant forme à l’ensemble des phénomènes
  • Cette croyance selon laquelle la productivité et l’isolement sont importants dans le travail ne remonte pourtant qu’à la révolution industrielle avec l’invention des lieux de production spécialisée, “quand nous sommes passés du moment où les gens étaient payés pour le produit qu’il fabriquait au temps passé à le fabriquer”. “Cette transformation a introduit le problème de l’attention au travail”, explique Stefana Broadbent. “C’est à partir de là qu’on a inventé des systèmes de contrôle de l’attention des gens, en transformant les environnements de travail, en introduisant des superviseurs, des agents de maîtrise chargés de contrôler le travail des autres.”
  • On a la même chose dans le système éducatif : on apprend aux enfants à se concentrer , ce sur quoi se concentrer, ce qui vaut la peine de se concentrer. Il y a beaucoup de discussions et de confusions sur la question de l’attention, estime la chercheuse. “La façon de gérer la complexité et l’attention s’appuie sur l’idée que les gens peuvent la gérer de façon individuelle, que c’est un processus individuel qui s’appuie sur la volonté de chacun. Or, j’aimerais vous montrer que l’attention est un processus social plus qu’individuel.”
  • A l’opposé, l’encyclopédie Wikipédia, ou encore le Couchsurfing (ce site par lequel des gens prêtent leurs canapés à des voyageurs du monde entier), montre à quel point les gens ont envie de partager, et besoin de s’entraider.
  • on ne surveille pas comment ils gèrent leur temps. Il y a une rupture sociale considérable dans la gestion de l’attention, liée à la confiance.
  • Le contrôle de l’attention des gens est pourtant voué à l’échec, même si beaucoup d’entreprises continuent à le faire
  • L’environnement de travail réduit le niveau d’implication des gens. L’automatisation implique des travaux de plus en plus dénués de sens avec des fonctions limitées. On demande à bien des employés de concentrer leur attention sur des tâches sans sens et répétitives et on sait qu’on a du mal à concentrer son attention quand on s’ennuie…
  • “on peut se demander si la division arbitraire entre le monde privé et professionnel est une si bonne chose. Chacun sait qu’il est important d’avoir des moments de contacts avec les siens dans la journée. Ce n’est pas un choix indivuel, mais bien souvent un choix social imposé par nos représentations
  • “La multiplication des caméras de surveillance et des politiques de surveillance augmente plutôt qu’elle ne diminue le problème. Or, les gens trouveront toujours une colonne pour se cacher et faire ce qui est interdit. Le problème n’est pas tant d’utiliser un dispositif électronique pour se distraire, mais de concevoir des environnements qui évitent un ennui massif et qui limitent les distractions. Les mobiles, comme l’internet, ou la nicotine peuvent être un bouc-émissaire facile. mais au final, le véritable défi est de savoir comment concevoir des environnements de travail plus chargé de sens
  • “la collaboration de masse va bouleverser l’organisation des gouvernements”. Aujourd’hui, il continue à tracer cette voie mêlant entraide mutuelle, socialisation et participation à la vie de la communauté.
  • Les supermarchés ne sont pas aussi sociaux que les marchés, et les écrans de télévision, les lotissements, les immeubles, ont souvent tendance à isoler les gens, à les anonymiser, à casser les mécanismes d’entraide, d’apprentissage et d’échanges d’antan.
  • Ceux qui ont un statut plus élevé s’attendent à recevoir l’attention des autres et ceux qui ont un statut plus bas doivent porter de l’attention. Mon expérience d’observation des gens sur leurs lieux de travail montre qu’on contrôle la gestion de l’attention des employés de bas niveau, alors qu’on fait confiance aux cadres et dirigeant
  • L’internet est un formidable vecteur de socialisation, estime Ivo Gormley, pour qui “nous avons besoin de nouveaux formats d’entraide mutuelle, et de faire revivre les anciens, nous devons remettre ça dans le courant mainstream” :
  • Lorsqu’un système donne aux gens la possibilité d’agir de manière positive, ils le font avec plaisir, s’y connectent sur la base de similitudes importantes, pas seulement pour faire le bien, mais aussi de manière très individualiste, parce qu’ils ont besoin d’aide, de trouver des gens dans la même situation.
  • Pour Ivo Gormley, si le 20e siècle semble avoir donné raison à Thomas Hobbes, les nouvelles formes de sociabilité et d’entraide mutuelle que l’on voit poindre, notamment via le Net, nous renvoient plutôt à Kropotkine. Et nous aurions probablement beaucoup à gagner à tenter de reconcevoir nos relations, et nos actions, afin de remettre l’entraide mutuelle au coeur des processus.
tangi bertin bertin

les tic dans la vie Blogue du RECIT - Article complet: Documentaire sur les TIC - 0 views

  • technologies et de leurs effets dans notre société
  • Les TIC peuvent distraire de la tâche.
  • Le cerveau travaille plus fort lors d'une recherche sur le Web que lors de la lecture d'un livre.
  • ...10 more annotations...
  • Donc, comme les autres dépendances potentielles, l'école doit agir pour tenter de les prévenir.
  • Communiquer avec ses proches
  • Les TIC ne sont pas LA seule source au problème.
  • «Netiquette» Comme pour toutes les technologies, l'utilisation responsable des TIC doit être une autre cible. Mais ça ne tombera pas du ciel, ça doit être appris, expliqué, régulé, alouette...
  • TIC = oxygène pour les jeunes
  • Selon moi, dépasser les limites pour éduquer aux limites est une mauvaise stratégie
  • Le jeu augmente l'engagement des élèves dans la tâche.
  • Les TIC (la technologie) ne sont pas bonnes ou mauvaises. Elles sont puissantes.
  • Et comme pour tout outil puissant, ça prend des humains préparés/formés pour les utiliser adéquatement. L'école doit absolument prendre sa place dans cette formation, car sinon ce sont des ti-zamis qui s'en occuperont.
  • Une des bonnes fonctions des TIC est de pouvoir les éteindre.
Julien Morice

Petite Poucette, la génération mutante - Libération - 0 views

  • lors du passage de l’oral à l’écrit s’est inventée la pédagogie, par exemple
  • En 1900, 70% de la population française travaillait la terre, ils ne sont plus que 1% aujourd’hu
  • C’est la grande question, pour les parents et les enseignants : que transmettre entre générations ?
  • ...4 more annotations...
  • Aujourd’hui, 80% de ce qu’a appris ce professeur est obsolète. Et même pour les 20% qui restent, le professeur n’est plus indispensable, car on peut tout savoir sans sortir de chez soi
  • L’université vit une crise terrible, car le savoir, accessible partout et immédiatement
  • j’ai compris avec le temps, en quarante ans d’enseignement, qu’on ne transmet pas quelque chose, mais soi
  • Ce que l’on sait avec certitude, c’est que les nouvelles technologies n’activent pas les mêmes régions du cerveau que les livres. Il évolue, de la même façon qu’il avait révélé des capacités nouvelles lorsqu’on est passé de l’oral à l’écrit. Que foutaient nos neurones avant l’invention de l’écriture ? Les facultés cognitives et imaginatives ne sont pas stables chez l’homme, et c’est très intéressan
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    entretien avec Michel Serre sur la nouvelle génération "la petite poucette".
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