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Contents contributed and discussions participated by gaviolig

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L'open-data : entre illusion démocratique et réalité territoriale. | Institut... - 0 views

  • Vers une plus grande transparence des politiques publiques ? L’ouverture des données publiques est souvent présentée par les élus et les administrations comme un vecteur d’une plus grande transparence de leurs actions et de leurs décisions. Cela pourrait constituer une réalité si l’ensemble des données produites par les collectivités et les administrations étaient mises à la disposition des citoyens.
  • L’ouverture des données publiques et la création de plateforme d’Open-Data résultent nécessairement d’une décision politique. La nature des données mises à la disposition des citoyens, tout comme la qualité des données partagées ne sont ainsi pas des choix anodins pour les collectivités territoriales et les territoires.
  • Un rapide regard porté sur les jeux de données ouverts sur la plateforme d’Open Data permet par exemple de constater que l’essentiel d’entre eux sont d’ordre statistique ou géographique. Il est ainsi relativement rare d’y retrouver des rapports d’étude ou des données sensibles sur nos territoires. L’exercice de démocratie numérique offerte par l’Open Data s’avère par conséquent relativement limité.
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  • En effet, qui est capable actuellement de comprendre un fichier Excel comportant plusieurs milliers de ligne, par exemple ? Qui est en mesure de porter un regard sur les données disponibles ?
  • L’utilisation de l’open-data à des fins citoyennes nécessite de former les habitants au traitement des données brutes, à l’analyse des données. A défaut, les collectivités pourraient organiser des ateliers open data au cours desquels les habitants pourraient analyser de manière collective des données publiques.
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"Crowdfunding" : de nouvelles opportunités pour les collectivités territorial... - 1 views

  • Le financement participatif, également connu sous le nom de « crowdfunding », est une technique de financement originale consistant à mettre en relation directe, via une plate-forme internet dédiée, des porteurs de projets en recherche de financement avec des personnes souhaitant y investir.
  • Les personnes publiques commencent également timidement à s’intéresser à cette technique innovante. Malgré les limitations induites par les règles impératives de  la comptabilité publique, le financement participatif offre, en effet, à ces dernières de véritables opportunités pour obtenir, sans avoir recours à un établissement bancaire, les fonds nécessaires au développement de projets. Via l’utilisation des plates-formes existantes ou la création de leur propre dispositif, des collectivités ont ainsi pu mobiliser leurs habitants pour participer au financement d’initiatives locales, voire de leurs propres projets dans le domaine du patrimoine.
  • Un nouveau cadre légal
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Le futur du travail : 5 tendances à (re)surveiller | Le Club des Elus Numériques - 1 views

  • les cinq tendances qui dessinent le monde du travail de demain.
  • En d’autres mots, les organisations doivent passer d’un environnement dans lequel les gens ont besoin de travailler à celui dans lequel ils ont envie de travailler. Cela change tout !
  • Les employés reprennent la main et induisent les décisions et les conversations sur ce qui doit être fait, comment, avec quelle technologie… Les prochaines années vont apporter un changement profond. Pourquoi maintenant ? Quelles sont les cinq tendances clefs qui vont construire ce futur ?
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  • Dans le travail, votre localisation importe désormais beaucoup moins que vos compétences : à partir du moment où vous pouvez vous connecter à internet, vous pouvez avoir accès aux mêmes personnes et informations que l’employé dans son bureau.
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Le CNNum et l'école: "L'école numérique n'est pas l'école des tablettes" - L'... - 0 views

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    "Le Conseil national du numérique a voté ce vendredi son rapport sur l'école numérique - baptisé Jules Ferry 3.0. Entretien avec Sophie Pène et Ludovic Blecher, deux des membres du groupe de travail qui a planché pendant près d'un an sur le sujet. "
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Acteurs publics - 0 views

  • D’importants choix sociétaux devront être faits dans les années à venir. Pour aborder ce mouvement avec cohérence et de façon démocratique, nos dirigeants ne pourront plus appréhender le numérique par “silos”, sans se concerter avec les parties prenantes du secteur.
  • Cette concertation est justement un outil pour raccrocher les wagons, intégrer la nouvelle donne numérique dans nos législations et construire avec le plus de parties prenantes possibles des recommandations d’actions que le gouvernement pourra mobiliser à plusieurs niveaux.
  • L’utilisation des données devient un élément incontournable des stratégies des entreprises et de l’action publique. Une nouvelle culture se dessine et elle ne doit laisser personne à la marge.
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  • La démarche de coconstruction se matérialisera par des ateliers contributifs, comme nous en avons désormais l’habitude, et la plate-forme en ligne permettra d’assurer une synthèse multipartite : parlementaires, organisations professionnelles, syndicats, fédérations, start-up, entreprises, etc.
  • Mais les écosystèmes traditionnellement identifiés ne doivent pas être les seuls contributeurs, nous voulons éviter l’entre-soi. L’affaire Snowden a confirmé que le numérique est d’abord un enjeu citoyen. La plate-forme est justement là pour ouvrir le débat au grand public
  • Le Conseil a déjà impliqué plusieurs de leurs administrations, notamment la direction générale des entreprises (DGE, ex-DGCIS), la mission Etalab, en charge de l’ouverture des données publiques, la mission French Tech, ou encore la Cnil.
  • Sur la plate-forme que nous mettons en place et qui ouvrira le 4 octobre, les administrations pourront contribuer directement – en leur nom –, ce qui sera une première dans leurs pratiques et leur relation avec les citoyens.
  • Sur les sujets plus sociétaux, nous sommes en contact avec les ministères de l’Éducation nationale et de la Santé, ainsi qu’avec le ministère du Travail. Le ministère de la Justice sera mobilisé pour les volets “droits” et “libertés fondamentales” de la concertation
  • Les administrations doivent bénéficier de plus de flexibilité pour travailler avec des entreprises innovantes. Etalab pourra notamment consulter sur le projet de plan d’action français dans le cadre de l’Open Government Partnership et la transposition de la directive PSI [directive européenne du 26 juin 2013 sur la réutilisation des informations du secteur public, ndlr].
  • Le Conseil national du numérique espère que le futur projet de loi définira une neutralité du Net simple et effective. Elle est essentielle pour l’exercice de la liberté d’expression, l’accès à l’information et la liberté d’entreprendre. À l’ère des plates-formes, de nouveaux équilibres sont nécessaires entre les acteurs de la chaîne de valeur et envers les citoyens et leurs partenaires commerciaux.
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L'Etat entrepreneur ouvert, nouvel avatar du numérique au service de la moder... - 0 views

  • Récemment, le secrétaire d’Etat en charge de la Modernisation de l’Etat et de la Simplification a présenté une communication synthétisant sa stratégie en terme de numérique. Elle s’inspire du monde de l’entreprise et la donnée y joue un rôle pivot.
  • L’Etat se veut “plateforme”, c’est-à-dire que la logique ascendante fermée cède le pas à une logique horizontale ouverte : “Nous fournirons dans les semaines à venir un socle agnostique destiné à accueillir des APIsécurisées de différentes natures (principalement fournies par les administrations) qui elles-mêmes serviront à bâtir des applications multicanales à destination des usagers.”
  • Autre projet important, “France Connect”, autrement dit un système d’authentification unique, une sorte de Graal qui devrait donner du fil à retordre.
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  • Toute la seconde partie met en avant la politique en matière de data, open ou pas. L’esprit d’ouverture s’est aussi traduit par l’adhésion à l’Open Gov Partnership (OGP), un réseau de pays engagés dans l’open gov, dont on ne sait pas encore pour le moment dans quelle mesure il ne s’agit que d’un alibi. Quoi qu’il en soit, le sujet intéressé Thierry Mandon au point qu’il se rendra à New York le 24 septembre pour officialiser l’entrée de la France dans son comité directeur pour deux ans. Il entend y promouvoir “une vision française et une voix francophone”.
  • associant par exemple OpenStreetMap, la base de données géographiques ouverte, de façon officielle, à Etalab, pour y développer le projet BANO (base nationale d’adresses ouvertes), qui a droit à deux pages pleines sur les 17 du dossier de presse.
  • OpenStreetMap dans la cour officielle -
  • La dématérialisation va poursuivre son chemin avec cette promesse que “100% des démarches concernant l’État qui ne requièrent pas de présence au guichet seront réalisables en ligne”.
  • fonction d’ « Administrateur Général des Données » (AGD).
  • Une structure d’accueil pour des équipes en mode « agile » (l’agilité est un mode de management, ndlr) : prévue pour fin 2014, cette structure permettra d’accompagner des équipes de développement agile pour qu’ils imaginent, expérimentent et déploient, en cas de succès, de nouveaux services publics numériques.”
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Comment le big data transforme le monde ? | Webmarketing & co'm - 0 views

  • Pour y faire face de nouveaux profils comme « data scientists » ont vu le jour. En effet, l’explosion des données requiert de savoir comment organiser, stocker, récupérer et manipuler ses données pour en obtenir des informations utiles pour l’entreprise.
  • Pour y faire face de nouveaux profils comme « data scientists » ont vu le jour. En effet, l’explosion des données requiert de savoir comment organiser, stocker, récupérer et manipuler ses données pour en obtenir des informations utiles pour l’entreprise
  • Pour y faire face de nouveaux profils comme « data scientists » ont vu le jour. En effet, l’explosion des données requiert de savoir comment organiser, stocker, récupérer et manipuler ses données pour en obtenir des informations utiles pour l’entreprise
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  • Pour y faire face de nouveaux profils comme « data scientists » ont vu le jour. En effet, l’explosion des données requiert de savoir comment organiser, stocker, récupérer et manipuler ses données pour en obtenir des informations utiles pour l’entreprise
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« Les jeunes lisent toujours, mais pas des livres » - 0 views

  • Le numérique aussi a changé notre façon de lire : les séquences de lecture des jeunes sont plus courtes, souvent liées à leurs échanges écrits sur Internet, et donc sont très liées à la sociabilité. Les choix de lecture se font en interaction avec les autres, de plus en plus par des recommandations des pairs. Or lire un livre est, par nature, une activité plutôt longue et solitaire. A l'ère du numérique, la façon dont les jeunes construisent leur approche culturelle ne va pas naturellement vers la lecture. Pourtant, certains jeunes, statistiquement plutôt les filles, se tournent de nouveau vers la lecture comme activité à contretemps et déconnectée, comme pour stopper le flux d'informations continu qui leur parvient.
  • Les 15-29 ans lisent des textos, Wikipédia, des blogs… Il y a bien des façons de lire. En réalité, on n'a jamais tant lu : des textes, des publicités, des articles, etc. Mais le goût pour la lecture de littérature baisse. Ces deux types de lectures sont différents. La lecture HTML est « additive », les liens et les articles se superposent les uns aux autres. Pour ne pas se perdre dans le flot d'informations, il faut construire une séquence de lecture. Il faut faire le tri, ne pas se perdre pour éviter la saturation informationnelle, le moment où l'on ne comprend plus rien à ce qu'on lit et où l'on tourne en rond. Ce sont des compétences très difficiles à acquérir.
  • Le smartphone est devenu le premier terminal culturel des adolescents et jeunes adultes. Les jeunes regardent toujours la télévision, mais sur leur ordinateur ou leur téléphone. Les blogs, forums et chaînes musicales remplacent les radios, qui s'écoutent en podcast. La presse également est consommée essentiellement sur Internet. Seuls les magazines spécialisés ou thématiques résistent à cette tendance, comme ceux consacrés au sport ou à un chanteur. Aujourd'hui, les premiers pourvoyeurs d'info sont les réseaux sociaux. Un adolescent que j'ai rencontré lors d'une enquête m'a dit, très justement : « S'il y avait la guerre, je l'apprendrais sur Facebook. »
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  • Comment réduire la fracture numérique d'un côté et la fracture générationnelle de l'autre ? Mettre dans les mains des plus jeunes les textes anciens qui transitent à travers les générations, mais aussi, dans l'autre sens, former les personnes âgées aux nouvelles technologies, cela permet de créer du commun, de créer du lien intergénérationnel. C'est là tout l'enjeu des nouvelles politiques culturelles.
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Les collectivités investissent le financement participatif | Cap'Com - 0 views

  • Le financement participatif est un moyen de mobilisation locale mais aussi une source de financements complémentaires. Certaines collectivités créent leur propre dispositif pour contribuer à des projets locaux, d’autres utilisent des plateformes existantes pour financer leurs projets. Découvrons le crowdfunding dont la réussite dépend de la communication qui l’accompagne.
  • Le financement participatif commence à intéresser les collectivités locales. Ce mode de financement, connu aussi sous le terme anglo-saxon de crowdfunding, permettrait de soutenir, toutes initiatives confondues, plus de 60 000 projets et de récolter près de 150 millions d’euros par an.
  • En juin dernier, l’Autorité des marchés financiers et l’Autorité de contrôle prudentiel ont édité un guide du financement participatif en France. L’ordonnance 2014-559 publiée au Journal Officiel du 31 mai 2014 est venue conforter ce nouveau mode de financement en protégeant les épargnants.
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  • Mécanisme de financement innovant, il permet de récolter des fonds auprès d’un large public en vue de financer un projet via Internet. Il existe trois grandes catégories de plateformes de financement selon que celles-ci sont basées sur des dons, des prêts ou des investissements en fonds propres.
  • Un moyen de soutenir les porteurs de projets, d’animer le territoire et de renvoyer une image valorisante de la collectivité. Dès lors, la communication de la collectivité doit assurer la promotion du dispositif, faire connaître les projets et valoriser les résultats dus à l’investissement des habitants.
  • Le financement participatif se propage aussi dans le domaine de l’aménagement urbain. De nombreuses initiatives originales ont vu le jour à travers le monde. Le phénomène s’est développé en lien avec la crise économique, apparaissant comme un moyen de pallier le manque de financements publics.
  • Aider au financement d’initiatives locales en mobilisant les habitants
  • Le crowdfunding ouvre en effet des perspectives intéressantes même si les collectivités ne peuvent pas directement en profiter du fait des règles de la comptabilité publique.
  • Le financement participatif est possible dans le domaine du patrimoine où il s’apparente à une nouvelle forme de mécénat. Si les montants collectés restent modestes avec moins de 100 euros par don et environ 1 500 euros par projet en moyenne selon l’étude de Clic France, ce système permet de démocratiser le mécénat à un spectre beaucoup plus large de biens culturels
  • Faire financer les projets de la collectivité par les habitants
  • Les collectivités peuvent s’appuyer sur les plates-formes dédiées aux projets urbains qui existent dans leur pays, à l’image d’Urbankit au Chili ou de Spacehive au Royaume-Uni. Mais c’est souvent sur les plates- formes traditionnelles que se retrouvent les projets urbains.
  • Bien évidemment, l’implication des citoyens dans le financement d’un projet ne fonctionne que si la collectivité sait mobiliser sa communication. D’autant plus que la finalité de l’appel à la foule n’est pas seulement de trouver des financements complémentaires, mais c’est aussi de valoriser le dynamisme du territoire.
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J. Marzin, DSI de l'Etat : « pour économiser, un SI unifié » - 0 views

  • e directeur de la Disic (Direction interministérielle des systèmes d’information et de communication) revient sur un décret publié au cœur de l’été visant à unifier la stratégie sur le système d’information de l’Etat. Le système et non plus les systèmes : le symbole de la volonté de rompre avec une ère où toutes les dépenses informatiques de l’Etat sont décidées ministère par ministère, sans cohérence d’ensemble
  • Pour ce faire, une vision d’ensemble DU système d’information de l’Etat s’impose.
  • précédent décret régissant les systèmes d’information datait de 30 ans
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  • Les simples règles d’interopérabilité ne suffisent pas à créer une homogénéité. Surtout dans un système où quasiment aucune administration, hormis l’administration fiscale, ne peut se prévaloir de délivrer de bout en bout un service.
  • Cette stratégie est fondée sur la collaboration de trois types d’acteurs : les détenteurs de l’information au sein de l’Etat offrant des services de base, des producteurs de services à destination des citoyens et, entre les deux, toute une industrie de gestionnaires d’API protégeant les producteurs de données d’une explosion de la demande d’interfaces.
  • système d’information global, que nous devons penser global pour agir local, rend l’optimisation possible
  • les ministères lancent leurs projets sur la base de critères les plus homogènes possibles, critères que nous appliquons nous-mêmes quand nous examinons les projets qui nous sont soumis afin de les sécuriser.
  • Au préalable, nous devrons réaliser la forge, où toutes ces API seront déposées et documentées, ainsi que la place de marché technique, permettant de retrouver rapidement les composants utiles
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Le label French Tech espère fédérer les écosystèmes numériques - Lagazette.fr - 0 views

  • “c’est un prétexte pour rassembler l’écosystème”
  • “tous unis pour nos start-ups”. “On pourrait perdre plus à ne pas candidater, indique Norbert Friant, ‎responsable du service aménagement et usages du numérique à Rennes Métropole, qui qualifie Rennes de “belle endormie”, jamais vraiment remise du Minitel. C’est une opportunité pour dépoussiérer l’écosystème et prendre le virage des usages. Il faut remettre une gouvernance locale, mettre de la confiance entre les acteurs.”
  • Le cahier des charges invite en effet de façon très détaillée à faire la tournée des popottes numériques pour convaincre du potentiel de la chaine des acteurs impliqués, du privé au public : PME, TPE, parrains-marraines, stratégie à 10 ans, “gouvernance explicite”, “équipe dédiée, implantée à terme dans le bâtiment-totem”, etc. Ce bâtiment totem doit servir, comme son nom le suggère, de “noeud principal du réseau régional”, avec une visibilité “nationale et internationale” et doit “être a minima au stade de projet voté par les collectivités territoriales concernées”.
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  • Les métropoles retenues mettront ensuite en place plusieurs programmes où “la mobilisation des collectivités locales est indispensable.” Les régions devront également être associées, au nom de leur compétence économique qui devrait encore se renforcer avec l’acte III de la réforme territoriale.
  • A Rennes, le dossier est porté par la Cantine numérique, un espace de co-working et incubateur de start-up qui avait déjà ce rôle de rassembleur depuis 2010, et qui compte la métropole au sein de son conseil d’administration. Brest métropole océane pilote le dossier de sa voisine bretonne. En Lorraine, les quatre communes du pôle métropolitain du Sillon lorrain ont candidaté ensemble, escomptant ainsi pallier leur faiblesse initiale individuelle. La masse critique accumulée fera peut-être leur force : « la prise de conscience est faite. Les agglomérations travaillent sans divergence de point de vue »
  • ous avons des sujets privilégiés : les usages, le collaboratif, le logiciel libre, la santé, les objets connectés, l’appropriation sociale…
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