Skip to main content

Home/ Tic&Travail/ Group items matching ""cloud computing"" in title, tags, annotations or url

Group items matching
in title, tags, annotations or url

Sort By: Relevance | Date Filter: All | Bookmarks | Topics Simple Middle
julien camacho

Spécial Cloud: 1- Quel est l'intérêt des architectures Cloud ouvertes? - 1 views

  •  
    Entre un large accès à des solutions innovantes, une plus large ouverture des données, une accélération de la consommation et une meilleure maîtrise des dépenses IT, le Cloud Computing se fait une place au soleil et, telle une vague de fond, vient modifier la façon de délivrer les services informatiques et leurs contenus. Grâce aux technologies et aux services de Cloud Computing, les entreprises souhaitent gagner en flexibilité et en coûts opérationnels. Quelles soient actrices de ce marché ou consommatrices des services dans le nuage, elles souhaitent établir un rapport plus souple et moins contraignant, dans un environnement ou écosystème moins propriétaire.
Chamila Puylaurent

Le bureau virtuel, espace de travail de demain ? - 0 views

  •  
    "Le cloud computing a redéfini notre façon de travailler. Nous avons maintenant la possibilité de récupérer les données et travaux où que l'on soit, via une tablette, un smartphone… Quel est l'impact du cloud computing et des serveurs virtualisés sur les conditions de travail ? Quels sont les avantages du bureau virtuel ?"
julien camacho

Le cloud, accélérateur de télétravail - Business - Les clés de demain - Le Monde.fr / IBM - 0 views

  •  
    Plusieurs facteurs expliquent le décollage du télétravail. Des spectaculaires, comme la pandémie grippale de 2005, ou la codification du télétravail par la loi Warsmann de 2012 : deux déclencheurs psychologiques pour les entreprises. D'autres sont plus discrets mais très efficaces : le développement et la banalisation des réseaux avec des débits de connexion "corrects" et l'explosion du phénomène du cloud computing.
Thierry Nabeth

What Cloud Computing Means to Your Job -- NYT - 1 views

  •  
    Technology has been accused of making many a job disappear, like the production line or the accounting office. And it is not done yet. A company often resembles its communication and technology system. In the era of cloud computing that the tech industry is moving into, that seems to suggest that companies will have smaller departments, quickly analyzing data and endlessly experimenting.
Aurialie Jublin

Trois questions à Nathanaël Mathieu, co-fondateur de Neo-Nomade et LBMG Worklabs - 1 views

  •  
    Entretien avec le co-fondateur d'une start-up ayant pour objectif de mettre en relation l'offre et la demande de lieux de travail "à distance" de l'entreprise. Il propose un "diagnostic e-travail" à l'image du "bilan carbone" prenant en considération 4 paramètres : - immobilier (taux d'occupation conjugué avec le prix du mètre carré) - technologies (technologies utilisées, politique, outils, cloud computing) - ressources humaines (potentiel de télétravail pour les différents métiers de l'entreprise) - développement durable (accessibilité du siège, impact environnemental de transport de salariés)
Chamila Puylaurent

Les technologies qui vont transformer le travail en 2020 - 1 views

  •  
    "Smartphone, objets connectés, cloud computing... Autant de nouvelles technologies qui modifient le mode de travail et le fonctionnement des entreprises. Une transformation qui devrait s'accentuer d'ici 2020."
Aurialie Jublin

Technology and jobs: Coming to an office near you | The Economist - 0 views

  • Even if new jobs and wonderful products emerge, in the short term income gaps will widen, causing huge social dislocation and perhaps even changing politics. Technology’s impact will feel like a tornado, hitting the rich world first, but eventually sweeping through poorer countries too. No government is prepared for it.
  • Worse, it seems likely that this wave of technological disruption to the job market has only just started. From driverless cars to clever household gadgets (see article), innovations that already exist could destroy swathes of jobs that have hitherto been untouched. The public sector is one obvious target: it has proved singularly resistant to tech-driven reinvention. But the step change in what computers can do will have a powerful effect on middle-class jobs in the private sector too.
  • One recent study by academics at Oxford University suggests that 47% of today’s jobs could be automated in the next two decades.
  • ...3 more annotations...
  • At the same time, the digital revolution is transforming the process of innovation itself, as our special report explains. Thanks to off-the-shelf code from the internet and platforms that host services (such as Amazon’s cloud computing), provide distribution (Apple’s app store) and offer marketing (Facebook), the number of digital startups has exploded. J
  • f this analysis is halfway correct, the social effects will be huge. Many of the jobs most at risk are lower down the ladder (logistics, haulage), whereas the skills that are least vulnerable to automation (creativity, managerial expertise) tend to be higher up, so median wages are likely to remain stagnant for some time and income gaps are likely to widen.
  • The main way in which governments can help their people through this dislocation is through education systems. One of the reasons for the improvement in workers’ fortunes in the latter part of the Industrial Revolution was because schools were built to educate them—a dramatic change at the time. Now those schools themselves need to be changed, to foster the creativity that humans will need to set them apart from computers. There should be less rote-learning and more critical thinking. Technology itself will help, whether through MOOCs (massive open online courses) or even video games that simulate the skills needed for work.
  •  
    "INNOVATION, the elixir of progress, has always cost people their jobs. In the Industrial Revolution artisan weavers were swept aside by the mechanical loom. Over the past 30 years the digital revolution has displaced many of the mid-skill jobs that underpinned 20th-century middle-class life. Typists, ticket agents, bank tellers and many production-line jobs have been dispensed with, just as the weavers were."
Aurialie Jublin

Anticipe ou crève ? Ces métiers de demain auxquels on ne peut pas se préparer - 1 views

  • dans le top 10 des profils professionnels qui s’arrachaient en 2010, aucun n’existait en 2004 ! Expert du développement durable, développeur d’applications mobiles, technicien dans le cloud computing, data miner ou community manager : tous ces emplois, dont l’apparition se fait d’ailleurs plus rapidement que leur traduction en français, n’existaient pas en 2010.
  • parmi les métiers en émergence révélés par l’Association pour l’emploi des cadres (l’Apec), on pouvait relever trois figures de proue du travail de demain : les profils de protecteur (gestion du risque), d’optimisateur (gestion de la performance) et de story-teller (gestion du sens). L’exercice est sérieux : il sert l’anticipation des besoins en compétences des entreprises, pour une meilleure adéquation avec les profils sur le marché du travail, et en amont avec les offres de formation.
  • le futur est dans les soft skills, ces “compétences douces” – pensée critique, résolution de problèmes, créativité, savoir-être, etc. – qui assurent l’adaptation de l’individu à des postes potentiellement très différents, et sont donc les moteurs de l’employabilité.
  •  
    Deux tiers des écoliers de maternelle occuperont des emplois qui n'existent pas encore aujourd'hui. S'orienter vers la bonne formation et savoir quel métier on va exercer : pari impossible ? L'économie se transforme si vite que les exercices d'anticipation s'apparentent souvent à de la divination, comment se préparer au travail de demain ? Infographie
Aurialie Jublin

L'Ifop publie Media@work, sa première étude sur l'€™usage des médias et des nouvelles technologies sur le lieu de travail - 0 views

  •  
    Lien de l'étude : http://www.ifop.com/media/pressdocument/492-1-document_file.pdf Conclusions : 1/ Les « medi@ctifs » (Actif connecté à internet sur son lieu de travail au cours des 3 derniers mois) sont de plus en plus nombreux à utiliser indifféremment leurs devices personnels sur leur lieu de travail, et vice versa : 64% à 71% des équipés d'un device personnel l'utilisent aussi à titre professionnel, et que 84% à 92% des équipés à titre professionnel l'utilisent également à titre personnel. 2/ 48% des medi@ctifs consultent les réseaux sociaux sur leur lieu de travail, 3/ 54% des medi@ctifs déclarent que "consulter des media sur le lieu de travail leur apporte une bouffée d'oxygène au cours de la journée", et 45% considèrent également que "les media sont une source d'inspiration pour eux", 4/ 54% des medi@ctifs ont déjà entendu parler du "Cloud computing".
1 - 9 of 9
Showing 20 items per page