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Ministère des solidarités - Résumé des 21 mesures - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Document de référence - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Annexes - Stratégie nationale de prévention et de... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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France Stratégie - Evaluation de la stratégie nationale de prévention et de l... - 0 views

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    "Le comité d'évaluation de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, présidé par Louis Schweitzer, publie son premier rapport annuel. Il s'agit d'une note d'étape qui présente les grands axes de la démarche d'évaluation, les méthodes envisagées et le calendrier des travaux. Deux démarches participatives ont été engagées pour enrichir les travaux du comité : d'une part, la consultation du collège des personnes en situation de pauvreté du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, d'autre part, la réunion d'un panel de trente citoyens représentatifs de la population française. Le comité a décidé que l'évaluation aurait une double dimension stratégique et analytique. Elle sera réalisée à deux niveaux : Une évaluation portant sur trente-cinq mesures et leurs effets Les trente-cinq mesures de la stratégie nationale regroupées autour de cinq thèmes : petite enfance et éducation ; santé ; accompagnement, formation et emploi ; logement et droits sociaux feront l'objet d'un suivi et leurs effets seront évalués au moyen d'indicateurs choisis en fonction des résultats attendus. L'appui sur la littérature scientifique permettra d'apporter un éclairage sur les effets attendus pour chacun des cinq grands thèmes. Certaines mesures feront l'objet d'une évaluation scientifique d'impact afin de déterminer leur effet causal. Une évaluation portant sur la stratégie nationale dans son ensemble La Stratégie vise deux grands objectifs : éviter la reproduction sociale de la pauvreté et permettre aux gens de sortir de la pauvreté. Le comité a décidé d'évaluer également au regard d'un troisième objectif : ne laisser personne en situation de grande pauvreté. L'évaluation prendra en considération les politiques qui partagent l'objectif de lutte contre la pauvreté comme celles qui poursuivent d'autres objectif
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Premier ministre - Dossier de presse - De nouvelles mesures pour prévenir et ... - 0 views

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    La crise frappe en premier lieu les personnes les plus précaires : perte de revenus entraînant des difficultés à faire face aux dépenses du quotidien, moindre perspective de retrouver un emploi et une activité pour assumer ces dépenses de tous les jours… Autant de difficultés du quotidien qui risquent d'entraîner ou de maintenir une partie de nos concitoyens dans la spirale de la précarité. Le gouvernement a fourni un effort sans précédent pour maintenir l'activité économique et les emplois qui lui sont liés : plan de relance irriguant l'ensemble de l'économie, activité partielle et divers dispositifs d'aides financières (prêts garantis par l'État, fonds de solidarité…) permettant aux entreprises en difficulté d'éviter de réduire les effectifs, plan Jeunes. Des mesures doivent être prises désormais afin de prévenir et lutter contre cette bascule dans la pauvreté et la grande pauvreté: c'est pourquoi le gouvernement déploie aujourd'hui un nouvel arsenal d'actions autour de trois grandes priorités : - Soutenir le pouvoir d'achat des personnes précaires et modestes et en leur apportant un accompagnement au quotidien. - Favoriser la sortie de la pauvreté en développant les solutions d'insertion et d'activité pour les personnes sans emploi. - Assurer des conditions de logement et d'hébergement adaptées et prévenir les impayés de loyers. Au total, plus de 1,8 Md d'euros seront mobilisés pour financer les nouvelles mesures de lutte contre la pauvreté, qui viennent s'ajouter au budget de la stratégie pauvreté (plus de 8 Mds d'euros), aux mesures de lutte contre la pauvreté prises pendant la crise (plus de 1,5 Md d'euros) et aux mesures de lutte contre la pauvreté du plan de relance (plus de 6 Mds d'euros).
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France Stratégie - Peut-on estimer le rendement de l'investissement social ? - 0 views

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    Apparue à la fin des années 1990, la notion d'investissement social a gagné du terrain au point d'inspirer aujourd'hui les orientations de la Commission européenne en matière de politiques sociales. Elle se veut une réponse aux nouveaux risques sociaux nés des évolutions sociétales - monoparentalité, parcours professionnels heurtés, dépendance, etc. Il s'agit d'intervenir en amont pour armer les individus en les dotant en compétences et en capacités d'agir. Les mesures de compensation font place aux mesures de prévention, avec cette idée centrale que la dépense sociale engagée aujourd'hui rapportera à l'avenir. Pour l'État-providence, c'est une révolution copernicienne : soudain les dépenses sociales ne sont plus des charges mais un investissement, dont on peut même concevoir le rendement. Une telle démarche ne peut conquérir sa crédibilité que si elle parvient à apporter la preuve de ces retours sur investissement. Or une telle démonstration suppose un changement radical d'approche par rapport aux travaux empiriques aujourd'hui disponibles. Dans un premier temps, il faut chercher à mesurer les effets des politiques concernées, en mobilisant les évaluations d'impact des politiques sociales dans tous les domaines. Dans un second temps, les résultats de ces évaluations peuvent alimenter des modèles économiques liant les coûts et la dépense sociale aux bénéfices ainsi identifiés de façon robuste. Pour y parvenir, il faut améliorer les données disponibles sur le coût des investissements sociaux mais aussi trouver la valeur monétaire des effets induits par l'investissement social - la valeur de gains de performances scolaires, par exemple - avec toute la difficulté que cela suppose.
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Collectif Alerte - Propositions - Stratégie de prévention et de lutte contre ... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Intervention de François Soulage - Stratégie de prévention... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Communiqué de presse - Stratégie de prévention et de lutte... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Terra Nova - Lutte contre la précarité énergétique : en finir avec les demi-m... - 0 views

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    La précarité énergétique touche, selon les définitions, jusqu'à un Français sur cinq. Selon l'INSEE, 14,6 % (3,9 millions) des ménages sont ainsi en situation de vulnérabilité énergétique en ce qui concerne le logement, et 10,2% (2,7 millions) pour les déplacements. En outre, ces chiffres déjà élevés ne prennent pas en compte les éventuelles restrictions volontaires de chauffage ou de mobilité que peuvent s'imposer les ménages modestes. Sous l'effet de la volatilité des prix de l'énergie et de la nécessaire augmentation de la fiscalité carbone, et sans mesures appropriées, ce phénomène ne fera que croître dans les années à venir. Les politiques publiques mises en places en France n'ont jusqu'ici pas été à la mesure du problème : l'attention s'est principalement portée sur les politiques curatives, qui ne permettent pas d'apporter une réponse structurelle à la précarité énergétique. Les moyens des politiques préventives ont été dispersés sur plusieurs dispositifs, trop souvent complexes, méconnus et insuffisamment ciblés. Terra Nova formule cinq propositions concernant le logement et la mobilité, notamment pour réorienter la fiscalité et les dispositifs d'aides, mieux utiliser les outils réglementaires et tirer profit de l'innovation. - Proposition 1 : Instaurer pour tous les logements un standard minimum de performance énergétique, dont le non-respect interdirait la location du logement. - Proposition 2 : Changer d'échelle dans le financement de la lutte contre la précarité dans le logement, en créant un compte d'affectation spécial « Précarité énergétique » au sein du budget de l'Etat, qui assurera à la fois le financement des politiques préventives (en particulier le financement de l'Agence nationale de l'habitat), sur lesquelles l'accent devra être mis, et curatives (le financement du chèque énergie). - Proposition 3 : Renforcer et massifier le programme Habiter
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Billets SNCF gratuits pour les migrants : « C'est une mesure exceptionnelle d... - 0 views

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    "D'après un bulletin de la « communication officielle de la direction des train », qui circule sur les réseaux sociaux, la SNCF demande à ses agents de proposer de « réservations à 0€ pour mesures exceptionnelles », pour les migrants."
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DREES - Fin 2015, les départements ont attribué 4.3 millions de prestations d... - 0 views

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    in 2015, 4,3 millions de prestations d'aide sociale aux personnes âgées, aux personnes handicapées, à l'enfance ou au titre de l'insertion ont été attribuées par les départements. Celles-ci ont augmenté de 2 % en un an, en raison, notamment, de l'accroissement du nombre d'aides aux personnes handicapées (+4 % entre 2014 et 2015) et à l'insertion (+3 %). Les aides consacrées aux personnes âgées progressent de 0,5 % par rapport à 2014, soit une croissance plus faible que celle observée en moyenne entre 2010 et 2014. Il en va de même des mesures d'aide sociale à l'enfance (+0,7 % entre 2014 et 2015). Au total, 2 millions de prestations d'aide sociale sont attribuées au titre de l'insertion. Elles couvrent essentiellement la composante socle du revenu de solidarité active (RSA). Les personnes âgées perçoivent 1,4 million de prestations, dont 1,3 million d'allocations personnalisées d'autonomie (APA). Les personnes handicapées reçoivent, elles, 501 000 prestations, dont plus de la moitié correspond à la prestation de compensation du handicap (PCH). Enfin, les 324 000 mesures d'aide sociale à l'enfance (ASE) concernent autant les enfants accueillis au titre de l'ASE que ceux suivis dans le cadre d'actions éducatives à domicile ou en milieu ouvert.
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Fondapol | Les 10 mutations qui ont affecté la pauvreté en France depuis les ... - 0 views

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    "Objet d'une intervention publique toujours plus dense, la lutte contre la pauvreté gagnerait à se doter d'instruments d'action publique plus génériques, agissant sur les déterminants du phénomène : le travail, la famille et l'immigration. Parallèlement, la rationalisation des outils spécifiques alloués à cette fin en améliorera sans aucun doute l'efficacité, à l'heure où l'idée d'un « revenu universel » n'a jamais connu autant d'échos dans le débat public. L'auteur avance des propositions de réformes afin d'améliorer ce système à bout de souffle. Extrait de « Mesures de la pauvreté, mesure contre la pauvreté », de Julien Damon, pour Fondapol ½. Dix observations sur les évolutions de la pauvreté 1. Inscription sur l'agenda politique 2. Une politique publique prioritaire 3. Rajeunissement de la pauvreté 4. Urbanisation de la pauvreté 5. "Monoparentalisation" de la pauvreté 6. Féminisation 7. Problème de budgets contraints 8. Davantage de travailleurs pauvres 9. Dépendance accrue aux prestations 10. Une immigration disputée"
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Bien mesurer la pauvreté pour mieux la combattre, Editos & Analyses - 0 views

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    "Mais comment donc mesurer les progrès de la lutte contre la pauvreté et, plus globalement, des politiques de développement quand les données de base font défaut ? C'est cette excellente question technique et polémique que pose le Overseas Development Institute (ODI), le principal think tank britannique spécialisé dans les questions de développement. "
Sophie Chergui

Logement : vingt mesures pour la mixité sociale - 0 views

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    "Combattre « l'apartheid territorial, social, ethnique » que dénonçait le premier ministre Manuel Valls, lors de ses vœux à la presse, le 20 janvier, quelques jours après les attentats de Paris et Montrouge. C'est l'objectif affiché du plan que la ministre du logement et de l'égalité des territoires, Sylvia Pinel, présente, mercredi 15 avril, en conseil des ministres. Vingt mesures pour améliorer la mixité sociale dans le logement, dont certaines nécessitent un travail législatif qui prendra place dans la loi Egalité des territoires et citoyenneté, déposée au Parlement à l'automne pour être discutée au premier semestre 2016."
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FAO, FIDA, OMS, PAM et Unicef - l'État de la sécurité alimentaire et de la nu... - 0 views

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    820 millions de personnes - soit une personne sur neuf dans le monde - souffrent de la faim aujourd'hui. Cette tendance souligne l'immense défi que pose la réalisation de l'Objectif de la faim zéro des Objectifs de développement durable (ODD) d'ici 2030, estime le rapport sur l'État de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde 2019. Lancé à New York en marge du Forum politique de haut niveau développement durable - la principale plate-forme des Nations Unies qui assure le suivi des mesures prises par les États pour donner suite aux ODD - le rapport ventile les statistiques par région et montre que la faim a augmenté de près de 20% en Afrique, un continent qui connait également la prévalence la plus élevée de sous-alimentation. Bien que la prévalence de la faim en Amérique latine et dans les Caraïbes soit encore inférieure à 7%, elle augmente lentement. Et en Asie, la sous-alimentation touche 11% de la population. Bien que l'Asie du Sud ait enregistré de grands progrès au cours des cinq dernières années, elle demeure la sous-région où la prévalence de la sous-alimentation est la plus élevée. La faim s'aggrave dans de nombreux pays où la croissance économique accuse un retard, en particulier dans les pays à revenu intermédiaire et ceux qui dépendent fortement du commerce international des produits de base. Le rapport annuel des agences onusiennes montre également que les inégalités des revenus augmentent dans de nombreux pays où la faim est en hausse, ce qui rend encore plus difficile pour les pauvres, les personnes vulnérables ou marginalisées de faire face aux ralentissements et aux crises économiques. « Nous devons encourager une transformation structurelle favorable aux pauvres et inclusive, qui soit axée sur les personnes et qui place les communautés au centre des préoccupations, pour réduire les vulnérabilités économiques et être en mesure de poursuivre comme prévu notre objectif : élimi
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Académie nationale de médecine - Communiqué de l'Académie : « Sans-abri, sans... - 0 views

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    "Les personnes sans-abri ou sans papiers sont particulièrement exposées à l'infection à virus Sars-CoV-2 responsable du Covid-19, du fait de la précarité et de la promiscuité de leurs conditions de vie, de l'impossibilité pour elles d'accéder aux mesures de protection : les mesures barrières (lavage des mains, distanciation, désinfection hydro-alcoolique) ou les masques en cas de contamination d'un proche de leur communauté dans les campements ; mais aussi du fait de la fréquence chez ces personnes de pathologies multiples et complexes, qui accentuent leur fragilité et le risque pour elles de développer les formes graves de l'infection"
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BSI Economics - Le réemploi et la réutilisation solidaire - 0 views

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    Utilité de l'article : Dans cet article, nous cherchons à identifier les acteurs du réemploi et de la réutilisation solidaire, leur rôle pour le développement d'une économie circulaire et leur modèle économique. Nous tentons de décrypter les enjeux actuels pour le développement de leur activité : la concurrence avec les marchés de l'occasion, le développement des partenariats avec les acteurs publics et privés, et la nouvelle loi économie circulaire. Résumé Les principaux acteurs du réemploi solidaire identifiés dans cet article sont : Emmaüs, les ressourceries et les recycleries, les diverses structures d'insertion œuvrant pour le réemploi et la réutilisation, et certaines œuvres caritatives comme la Croix Rouge ; Ces acteurs ont des modèles économiques variés, mais tous sont dépendants d'un accès aux gisements de marchandises pour leur projet social et environnemental ; Sur cet accès, les structures de l'Économie Sociale et Solidaire (ESS) peuvent se retrouver en concurrence entre elles, mais surtout avec les marchés de l'occasion, dont les plateformes internet, qui peuvent capter les biens de meilleure qualité ; Néanmoins, les acteurs de l'ESS peuvent bénéficier de partenariats importants : les éco-organismes et les pouvoirs publics, dont les collectivités territoriales ; La nouvelle loi économie circulaire du gouvernement contient des mesures qui pourraient augmenter l'approvisionnement potentiel de ces structures de l'ESS ; via un accès aux déchèteries et en interdisant la destruction des produits neufs. Enfin, une mesure inscrit le réemploi solidaire au cœur de la responsabilité élargie des producteurs, ce qui pourrait conduire à un soutien du réemploi/réutilisation solidaire par des acteurs privés responsables de la gestion de leurs produits en fin de vie.
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Où vivent les pauvres parmi les pauvres ? - Centre d'observation de la société - 0 views

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    "ntre le sans-abri qui vit avec quelques dizaines d'euros par mois et une famille modeste qui dispose d'un logement social, la mesure de la pauvreté regroupe des situations très différentes. En France, le seuil de pauvreté le plus utilisé - fixé à 60 % du niveau de vie médian 1 - vaut 1 000 euros pour une personne seule (données 2014) et 2 500 euros pour une famille avec deux enfants de plus de 14 ans. Les personnes qualifiées de "pauvres" sont toutes celles qui vivent avec moins que cela. Pour une famille, vivre avec 1 250 euros par mois ou 2 500 euros, ce n'est pas la même chose. (...) Mesurer l'intensité de la pauvreté n'a d'intérêt que si on compare un territoire à un autre. Au niveau international, la France est parmi les pays où l'intensité de la pauvreté est la plus réduite."
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France Stratégie - Évaluation de la stratégie nationale de prévention et de l... - 0 views

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    France Stratégie publie une note présentant les premiers enseignements de l'évaluation de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté. L'organisme, en charge du comité d'évaluation présidé par Louis Schweitzer, présente notamment 6 points d'attention et 7 recommandations pour améliorer le déploiement de la stratégie. En France, d'après les chiffres de l'Insee, le taux de pauvreté monétaire est de 14,5 %, soit 9,1 millions de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté. Et les chiffres en 2020 ne sont pas prêts de baisser, en conséquence à la crise sanitaire. La situation est très préoccupante, notamment chez les jeunes de 18 à 24 ans. Pour essayer de remédier à cela, France Stratégie recommande de mettre en place un système d'aide pour les jeunes les plus démunis : "La France est l'un des rares pays européens pour lesquels l'âge requis pour accéder au revenu minimum est plus élevé que l'âge de la majorité." Pour rappel, parmi les mesures de la stratégie de lutte contre la pauvreté : rendre les tarifs de cantine plus accessibles, notamment pour 90 000 jeunes en 2022. Sur l'année scolaire 2019-2020, 153 000 enfants ont bénéficié de ce dispositif (76,5 % des objectifs fixés). Le budget pour rendre possible cette mesure est de 48 millions d'euros, 12 millions d'euros par an entre 2019 et 2022.
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