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Home/ Relations avec l'Islam/ Group items tagged Urbanisme

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Le dhimmi du jour. M. Wals: Je souhaite une évolution de la loi de séparation... - 0 views

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    "N. O. - Comme outil d'égalité, vous proposez un pacte d'intégration… M. Valls. - L'intégration est un terme désuet, broyé par le rouleau compresseur du politiquement correct. Elle répond en fait à une question simple : comment devient-on citoyen ? Dans le cadre d'une population qui compte beaucoup d'immigrés, c'est d'abord en évitant que les communautés s'isolent.Il faut créer de la centralité, fabriquer de la culture commune, développer un sentiment d'appartenance. Les gens sont d'ailleursattachés à leur quartier, qui est souventleur carte d'identité : on est des Tarterêts, d'Evry… Mais il y a aussi le droit à unedouble culture. Le modèle républicainn'a pas réussi à donner une représentativité aux communautés qui font notre diversité. En revanche, il a résisté aux tenants du voile, qui refusaient l'égalité devant la loi et leprincipe de laïcité. Je souhaite une évolution de la loi de séparation de 1905 pour qu'un peu d'argent public aille à la construction de mosquées. Pour un maire, intégrer, c'est être sur tous les terrains : travail avec la police, les magistrats, mais aussi aide aux victimes, création d'une identité commune par un urbanisme, des services publics sociaux et une école de qualité. Il faut développerle vivre ensemble."
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Intervention de Gilles Kepel "L'islam de France : entre la crise des banlieue... - 0 views

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    "L'assemblée planière du CESE recevra Gilles Kepel pour une intervention suivie d'un débat sur " L'Islam de France : entre la crise des banlieues et les conflits du Moyen-Orient". "J'ai toujours essayé de marcher sur mes deux jambes, c'est-à-dire d'observer simultanément ce qui se passait dans l'ensemble du monde arabe et les questions liées à l'immigration musulmane en France. Depuis les révolutions arabes, les deux thèmes n'ont fait que se rapprocher davantage, ce qui se passe en France étant fortement lié à ce qui se passe au sud de la Méditerranée. Un exemple : les bouleversements en Tunisie nous concernent directement puisqu'un huitième de la population tunisienne réside en France. Il était donc temps de marquer les éléments de continuité entre les recherches identitaires qui se déroulent aujourd'hui dans le monde arabe et les événements du même ordre qui se produisent en France - parfois dans la douleur, d'où ce terme à double sens de « passion », qui signifie à la fois l'enthousiasme et, au sens christique, la souffrance." Extrait d'un entretien avec Gilles Kepel, à propos de son ouvrage "Passion française, les voix des cités " Gilles Kepel est professeur des universités et directeur de la chaire Moyen-Orient Méditerranée à l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris. Membre Senior de l'Institut Universitaire de France depuis 2010. Il est diplômé d'arabe et de philosophie, il a deux doctorats en sociologie et en science politique. Il a aussi enseigné à la New York University en 1994, à la Columbia University, également à New York, en 1995 et 1996. Gilles Kepel est également membre du comité éditorial de Maghreb-Machrek et directeur de la collection Proche-Orient aux PUF depuis 2004."
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« En France, les jeunes issus de l'immigration musulmane ne partagent pas un ... - 0 views

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    "La publication par le président du CNRS d'un recensement de travaux qui vont de la ségrégation spatiale à la recherche linguistique, intitulé «  Recherches sur les radicalisations  », m'a surpris. Si la nécessité d'éclairer le monde politique sur les auteurs des violences terroristes ne fait pas de doute, la capacité des sciences sociales de le faire aujourd'hui est modeste. Considérée comme illégitime en France, une sociographie des acteurs/auteurs de violences qui puisse prétendre à une représentativité fait défaut."
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    "La publication par le président du CNRS d'un recensement de travaux qui vont de la ségrégation spatiale à la recherche linguistique, intitulé «  Recherches sur les radicalisations  », m'a surpris. Si la nécessité d'éclairer le monde politique sur les auteurs des violences terroristes ne fait pas de doute, la capacité des sciences sociales de le faire aujourd'hui est modeste. Considérée comme illégitime en France, une sociographie des acteurs/auteurs de violences qui puisse prétendre à une représentativité fait défaut."
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Le Point - « C'est très narcissique de croire que le djihadisme en France est... - 0 views

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    "Hugo Micheron, chercheur à l'ENS et spécialiste du djihadisme, met en garde contre les analyses trop dogmatiques de la radicalisation."
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