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Aurialie Jublin

Privacy expert Ann Cavoukian resigns as adviser to Sidewalk Labs - The Logic - 0 views

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    Ann Cavoukian, a world-leading privacy expert, has resigned as an adviser to Sidewalk Labs on its proposed Toronto smart city development. Cavoukian sent a letter advising the company of her resignation Friday. In the letter, she expressed concerns regarding Sidewalk Labs recent digital governance proposals, specifically, the possibility that not all personal data would be de-identified at the source-a concern she said she raised with Sidewalk Labs early last month. Sidewalk Labs told The Logic it is committed to de-identifying data, but that it can't control what third-parties do.
Aurialie Jublin

Projet GEnIAl en collaboration avec le CERN - ckatalyzen - 0 views

  • GEnIAL​ participe à la création du socle sur lequel doit se construire la nouvelle économie numérique, celle de l’amélioration de la qualité de vie grâce à la donnée. A chaque fois que les utilisateurs interagissent avec GEnIAL, le machine learning permet de mieux comprendre les besoins et les usages et d’améliorer constamment l’aide apportée aux citoyens.Le projet étant non-profit et d’utilité publique, cette intelligence et ce savoir-faire acquis par ​GEnIAL​ resteront la propriété des citoyens, contrairement aux services d’assistants proposées par les géants d’internet. Les données collectées ne seront pas commercialisées et la vie privée restera préservée.
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    "Une nouvelle solution d'assistance pour mieux vivre dans sa ville Une plateforme qui utilise les interfaces conversationnelles et l'intelligence artificielle afin de permettre à la population du territoire de Genève de mieux vivre dans sa ville à l'ère de la Smart City, en offrant des moyens simples pour accéder aux services des administrations et des autres acteurs de la région."
Aurialie Jublin

A Toronto, le projet de « Google City » sort du bois - 0 views

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    Sidewalk Labs, filiale d'Alphabet, a dévoilé mi-août les premières images de la ville futuriste qu'elle entend développer dans la métropole canadienne.
Aurialie Jublin

Paris se dote d'une « stratégie de résilience » - 0 views

  • Pour définir ce plan, la ville s’est notamment appuyée sur le réseau « 100 Résilient Cities », une initiative de la Fondation Rockefeller pour accompagner les villes confrontées à une multiplication des menaces, tout en favorisant le partage d’expériences, les bonnes pratiques et solutions.
  • Cette stratégie de résilience, à laquelle Paris s’engage à dédier 10 % de ses investissements, se décline en 35 actions qui viennent renforcer différentes politiques déjà initiées pour adapter la ville aux évolutions du climat, améliorer sa qualité environnementale ou encore favoriser des modes de production et de consommation responsables.
  • « L’idée est de remettre de l’humain dans les grandes politiques, que tout un chacun, à son échelle, participe, se mobilise et se responsabilise par rapport aux enjeux », explique Célia Blauel, adjointe à la Maire de Paris en charge de l’environnement. La Ville va ainsi créer un « réseau de citoyens solidaires et volontaires », qui pourront renforcer les moyens d’interventions des autorités en cas de crise majeure, comme au quotidien.
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  • « Indépendamment des crises, il s’agit aussi de remettre du lien entre les gens, de renforcer la cohésion sociale. Une ville soudée et solidaire est une ville plus résiliente. Les réseaux qui se créent au quotidien sont des réseaux qui fonctionnent d’emblée le jour où l’on connaît une crise », insiste Célia Blauel
  • Plus solidaire au quotidien, Paris souhaite aussi adapter ses infrastructures. La ville veut s’inspirer de l’expérience de Rotterdam qui, face au risque d’inondation, a créé des bassins de rétention d’eau qui sont devenus de véritables espaces publics intégrés au quartier. Paris entend ainsi développer un « référentiel de voie résiliente » (matériaux adaptés aux différents risques, typologies de surfaces, mobiliers polyvalents…) avant d’aménager une ou plusieurs rues.
  • À travers sa stratégie de résilience, Paris affiche aujourd’hui sa volonté de recoudre le lien avec les territoires qui l’entourent, proches comme ruraux. Car la ville sait qu’elle ne peut pas répondre seule aux défis qui se posent à elle, qu’ils s’agissent des transports, des risques liés à la Seine, à l’alimentation, à l’énergie…
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    "La capitale veut renforcer sa capacité à faire face aux chocs prévisibles comme imprévisibles. Une stratégie qui la conduit à développer une gouvernance participative et à coopérer avec les territoires qui l'entourent."
Aurialie Jublin

Jean Haëntjens : comment les géants du numérique veulent gouverner nos villes... - 0 views

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    "La ville est le lieu où l'on vit, où l'on travaille et où l'on se déplace, où l'on se socialise et parfois même où l'on fonde une famille. Questionner son futur est une tâche immense. En France, un tiers du PIB est dédié à la construction et à la maintenance de nos villes sous tous leurs aspects : immeubles, maisons, réseaux de transports individuels et collectifs, etc. En 2050, trois milliards d'êtres humains vivront dans des villes qui seront des territoires de plus en plus complexes qu'habiteront une multitude d'acteurs aux intérêts parfois convergents, parfois non. Cet entremêlement de contextes renouvelle la question de la bonne administration des villes, qui de plus, se confronte à l'entrée des technologies numériques dans la vie publique. Selon l'urbaniste et économiste Jean Haëntjens, l'avenir des villes pourrait schématiquement suivre deux voies : la première serait celle de la cité politique, une agora humaniste au service du bien commun. La seconde serait la « smart-city » : une ville régie et optimisée par les algorithmes, dans ses qualités comme dans ses défauts. Dans son ouvrage Comment les géants du numérique veulent gouverner nos villes. La cité face aux algorithmes (Editions Rue de l'Echiquier, 2018), l'auteur nous explique ce qui différencie ces deux modèles, leurs forces et faiblesses respectives, au-delà des discours illuminés et sans entretenir une quelconque « nostalgie du village »."
Aurialie Jublin

Mouchards et drones à Saint-Etienne : le maire veut étouffer le débat - La Qu... - 0 views

  • Ces documents mettent en lumière les similitudes que nous commençons à percevoir entre ces différents projets : surveillance accrue et déshumanisation de l’espace public, transformation de la ville en un terrain d’expérimentation pour des sociétés privées (ici Verney-Carron, une société spécialisée dans l’armement), subventionnement public de ces nouvelles technologies sécuritaires (ici par l’intermédiaire surprenant de l’ANRU – « Agence nationale pour la rénovation urbaine »), caractère secret et volontairement opaque de leur mise en place…
  • Elle consisterait en la pose de « capteurs sonores » (le terme de micro est soigneusement évité tout au long des documents) dont l’ « intelligence » permettra de générer une alerte dès lors qu’ils détecteront certains types d’ « anormalités sonores » (la liste est impressionnante : coups de feu, cris, perceuse, meuleuse, klaxons, coups de sifflet, bombes aérosols, crépitements… – au point où on se demande quels bruits ne déclencheront pas d’événement). L’alerte sera remontée jusqu’à une plateforme centralisée à la disposition de la police qui pourra utiliser le système de vidéosurveillance et vérifier, par exemple, si le déplacement d’une patrouille est nécessaire ou non.
  • Les données collectées serviraient par ailleurs à alimenter la plateforme déjà mise en œuvre par Suez dans le cadre du projet « Digital Saint-Étienne » ; cela afin « d’expérimenter les conditions d’enregistrement et de mise en forme des évènements collectés en vue de la visualisation sur carte de ceux-ci pour constituer un outil d’aide à la décision concernant la tranquillité urbaine ».
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  • La création d’une application de dénonciation citoyenne type « Reporty » permettant aux habitants la « signalisation de problème » avait également été envisagée. Ces deux dernières idées, drones et application, ont néanmoins finies par être abandonnées (pour l’instant ?) au vu des nombreuses contraintes techniques et juridiques qui se posaient (les documents parlent d’une législation trop stricte avec nécessité d’un certificat de pilote, d’autorisation de la Préfecture et d’aléas météorologiques…)
  • « Si les freins techniques doivent justement être résolus par l’innovation, il nous revient à nous, élus, de faire lever les freins administratifs et juridiques ». Un projet qui semble être soutenu par de nombreuses villes qui, s’appuyant notamment sur les propositions d’un rapport parlementaire, exigent des dérogations de survol au Ministère de l’Intérieur et réfléchissent, à l’image du maire de Saint-Étienne, à « la création d’un interlocuteur unique de lobbying sur cette question, de format associatif, [qui] pourrait représenter un levier intéressant s’agissait des échanges avec le gouvernement ». Une nouvelle association des maires de Safe Cities ?
  • Raison pour laquelle on assiste, au long des réunions, à la recherche d’un nom de projet rassembleur et tranquillisant : on ne parle pas de sécurité mais de « tranquillité urbaine », on ne parle pas de micros et de drones mais de « S.O.F.T. : Saint-Etienne Observatoire des Fréquences du Territoire ». Raison pour laquelle il est aussi explicitement déclaré que « il n’y aura pas de communication avec le grand public. Globalement, dans un premier temps l’objectif est l’expérimentation, puis dans un second temps, une communication adaptée sera mise en place ». Raison pour laquelle le premier communiqué de presse en novembre 2018 reste très flou, mentionnant une « expérimentation visant à tester des solutions numériques pour améliorer la qualité de vie des citoyens ». Il a d’ailleurs pour sous-titre « Vers un territoire bienveillant ». La novlangue n’a plus de limite.
  • Le sujet est évoqué rapidement tout au long du projet, plus comme un de ces « freins administratifs et juridiques » que pour tenter d’évaluer lucidement la légalité du projet. Après quelques notes et demandes faites à la CNIL, il est décidé de ne pas enregistrer les bruits captés et de se limiter à « la détection d’évènements sonores » : « seules les données d’évènement comprenant le numéro du capteur, la date et l’heure de l’évènement et l’identifiant de l’évènement seront transmises ». Ce qui justifierait que CNIL ait ensuite été écartée du projet.
  • C’est là qu’est tout le problème : une fois ces micros installés, par une société privée d’armement, qui contrôlera l’usage qui en sera fait ? Qui préviendra les habitants si l’on passe en « Phase 2 » et qu’on met un route un système d’enregistrement des conversations dans la ville ? Ou qu’on ne les utilisera pas un jour pour détecter des cibles par leur signature vocale ? Ce ne serait pas la première fois que ce type d’outils de détection sonore connaîtrait des dérives liberticides.
  • Pour résumer : – On assiste à l’alliance entre élus locaux et industriels de la sécurité et de l’armement qui dépense l’argent public en s’abritant de tout débat public ; – Pour mettre nos villes et nos vies sous surveillance — vieux fantasme du contrôle social par la technologie ; – L’innovation et l’ « attractivité urbaine » servent à masquer la sur-policiarisation et la discrimination, avec le concourt de l’Agence de la rénovation urbaine ; – Tandis que des autorités, comme la CNIL, laissent faire.
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    "La Quadrature du Net publie et analyse les documents obtenus auprès de la mairie de Saint-Etienne sur son projet de « Safe City ». Micros couplés à la vidéosurveillance, drones automatisés, application de dénonciation citoyenne… Ils révèlent la ville sous-surveillance telle que fantasmée par son maire, Gaël Perdriau."
Aurialie Jublin

Chine : une faille de sécurité donne un aperçu d'un système de surveillance d... - 0 views

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    "Reconnaissance faciale, classification ethnique, identification de personnes fichées… La réalité effrayante de la ville intelligente à la sauce chinoise transparaît dans des données en ligne que quelqu'un a oublié de protéger."
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