Rethinking Cities as Sharing Platforms | April Rinne - 0 views
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"Second, figure out what assets the city owns and might be able to share. Few cities have inventories what they own. Imagine if you knew what you owned - and then could share, either to earn revenue or simply for public benefit. Seoul recently made hundreds of public spaces - from conference rooms to galleries - available for residents to use for creative and productive purposes. In less than a year, more than 17,000 groups used these spaces, unlocking tremendous social capital in the process."
La mobilité urbaine de demain se nourrit du développement de nouveaux usages ... - 1 views
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"Dans le modèle traditionnel, les infrastructures sont interconnectées (gares multimodales, connexion des lignes de transport entre elles…), mais l'intermodalité réelle reste faible (ainsi, le billet unique est encore inexistant dans de nombreuses métropoles). La montée en puissance des services autour de la mobilité (services d'information multimodale, d'intermédiation…) va bousculer violemment ce modèle en favorisant la concurrence intermodale. Cela se fera au travers de l'émergence de nouveaux acteurs (autopartage, VTC, utilisateurs C2C) et de l'intégration des nouvelles technologies aux infrastructures existantes (bornes de recharge, aires de covoiturage)."
Influencia - Mutum : et si la consommation collaborative avait sa monnaie ? - 1 views
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" Le principe est simple : l'internaute met en ligne les objets qu'il veut prêter et qui lui rapportent un certain nombre de mutums. Cette monnaie électronique lui permettra d'emprunter des biens mis en ligne par d'autres internautes. En prêtant on gagne des mutums, en empruntant, on en dépense ! « Le fait d'avoir sa propre monnaie nous permet de sortir des sentiers battus. Nous sommes aujourd'hui dans une société ou la possesion est moins présente et cela légitime la création de Mutum. », confirme Frédéric Griffaton, le co-fondateur de Mutum."
Uber, Airbnb : Comment l'économie du partage s'est fourvoyée - 2 views
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"Ce marché parallèle embarrasse les grandes métropoles, où la demande de logement excède l'offre, ce qui maintient les prix à un niveau élevé. La mise sur le marché de solutions d'hébergement hors de tout cadre légal et sans garantie de confort est la porte ouverte à un tourisme immobilier qui gonfle les prix, réduit l'offre de logements dans les circuits « classiques » et laisse les moins aisés sur le bord de la route. L'offre informelle finit par concurrencer l'offre régulée, au prix de distorsions importantes des conditions de marché. Précisément l'inverse du but initial."
Eric Vidalenc » Blog Archive » Et si on tirait à boulets rouges sur l'économi... - 0 views
« Le droit a un train de retard sur l'économie collaborative » - 1 views
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"Peut-on se livrer à un peu de prospective sur l'avenir de la législation de l'économie collaborative ? M. L. : C'est dur pour un secteur si jeune. À mon avis, durant les dix ans à venir, on va continuer à faire du bricolage au cas par cas car il n'y a pas de jurisprudence. À terme cependant, on ne voit pas du tout comment on pourrait, vu la diversité et l'ampleur de l'économie du partage, faire un régime séparé. Tout le monde finira par être au même régime sans qu'il y ait de protection pour les acteurs économiques traditionnels. "
Socialter, le magazine de l'économie nouvelle génération - Sharette : et si v... - 1 views
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"L'application cherche avant tout à simplifier l'utilisation : en quelques clics, on obtient l'itinéraire le plus rapide possible, tenant compte des conducteurs disponibles empruntant votre trajet ainsi que des étapes en transport en commun. Ainsi, un conducteur n'est pas obligé d'effectuer la totalité de votre déplacement, il va simplement vous accompagner sur une partie de celui-ci. Pour chaque conducteur, Sharette a donc prévu 8 points de passage programmés à l'avance. Selon les fondateurs, il est capital d'éviter aux chauffeurs toute contrainte inutile. Ces derniers pourraient en effet se décourager facilement s'ils devaient effectuer des détours afin de chercher un passager."
Jeremy Rifkin : "La nouvelle mondialisation, c'est partager plutôt que posséder" - 0 views
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"La jeune génération est très critique à l'égard de la mondialisation. Elle nous dit que nous avons des centaines d'entreprises qui contrôlent une grande partie de la production économique mondiale, et qui l'automatisent. De nombreuses personnes se retrouvent sans emploi, la croissance du PIB ralentit, et davantage de revenus reviennent au haut de l'échelle, c'est-à-dire aux actionnaires. Ces jeunes gens estiment que le monde est bloqué. Alors, ils se sont mis à créer une économie de partage, basée sur des biens communs collaboratifs. Nous assistons à un évènement historique remarquable, celui de la naissance d'un nouveau modèle économique. Il s'agit du premier système économique à voir le jour depuis le capitalisme et le socialisme, au début du XIXe siècle. "
[Exclusif] Parkadom, une plate-forme de location de places de parking, lève 3... - 1 views
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"Comment rentabiliser une place de parking vacante ponctuellement ? C'est à ce besoin que répond Parkadom, start-up parisienne fondée en 2012 par Alexandre Poisson et Benjamin Pozzi. Elle vient de boucler un tour de table pour un montant de 350 000 euros auprès d'investisseurs privés dont l'identité reste confidentielle. Le concept: une plate-forme de location d'emplacements de parking privés. A l'origine, il s'agissait uniquement de consommation collaborative entre particuliers. Grâce à ce tour de table, Parkadom entend étendre son activité aux locations de places de parking détenues par des entreprises. Le modèle économique est celui généralement observé concernant les places de marchés: une commission de 20% est prélevée sur chaque transaction. Alexandre Poisson précise: « Une dizaine de transactions sont réalisées chaque jour."
Bnbsitter lève 400 000 euros et prépare de nouveaux services - L'Echo Tourist... - 3 views
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"Grâce à cet apport d'argent frais, Bnbsitter annonce avoir pour ambition "de devenir d'ici 2015 la référence dans la gestion des locations courte durée en développant son activité en France et en entamant la duplication de son modèle à l'étranger". L'entreprise prépare également le lancement d'une nouvelle gamme de produits, en particulier pour les locations haut de gamme, avec une "offre clé en mains capable de répondre aux besoins de gestion des propriétaires de biens de luxe et aux exigences de leurs voyageurs"."
La Loire Atlantique encourage les abonnés du transport public à covoiturer - 3 views
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""Le covoiturage n'est pas un concurrent du transport public", affirme Jean-Yves Plotteau, vice-président délégué aux mobilités. "De plus, c'est bon pour l'environnement, le porte-monnaie et pour diminuer les bouchons aux entrées des agglomérations". D'où l'idée d'encourager cette pratique. "Le transport collectif n'arrivera jamais à détrôner la voiture. Nous avons donc besoin du covoiturage car nous n'arriverons jamais à transporter tous les usagers, à moins d'interdire la voiture !", plaisante l'élu. Pour mettre en œuvre cette expérimentation, la collectivité a déboursé quelques milliers d'euros. "La borne est un prototype léger qui fonctionne à l'énergie solaire"."
les AMAP disent NON à la Ruche qui dit oui | Aquitaine décroissance - 2 views
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"Un apiculteur à 90% en vente directe, distribuant dans 10 lieux d'AMAP a dit « NON » aux sollicitations d'une « ruche qui dit oui » (1) près de chez lui ! Pourquoi ? Tout d'abord par tromperie pour le consommateur, qui pense acheter un produit en vente directe, alors qu'il s'agit de manière très subtile d'une vente par 2 intermédiaires : le propriétaire de la ruche qui prend 10% TTC sur le CA réalisé et 10% TTC pour une start-up parisienne qui grossit à vue d'œil (40 salariés, dont les créateurs sont tous diplômés de hautes écoles de commerce). Ensuite par éthique, car rémunérer en dividendes les actionnaires de cette entreprise commerciale de plus de 500 ruches qui sont ni plus ni moins que Xavier Niel (Président de Free), Marc Simoncini (co-fondateur du site de rencontres meetic.fr), Christophe Duhamel (co-fondateur du site marmitton.org). Les grandes enseignes de la distribution l'ont compris avec les « drive » les consommateurs cliquent sur internet pour commander leur alimentation industrielle. Ils répondent à une réelle demande : de plus pousser le caddie, ne plus perdre de temps à faire ses courses."
Consommation collaborative : trois profils de clients se distinguent - 2 views
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"Trois profils de consommateurs collaboratifs se distinguent. Les "contraints" (18%), qui connaissent de fortes contraintes budgétaires et qui "acceptent de rogner sur la qualité (achat d'occasion) ou la quantité de certains produits (ex : viande) afin d'acheter neuf sur d'autres secteurs (ex : habillement)". Les "utilisateurs" (19%), pour lesquels seul l'usage compte, "empruntent, louent et covoiturent"; ils considèrent la consommation comme un plaisir et "la consommation collaborative comme un moyen de l'assouvir économiquement tout en rencontrant des personnes". Une catégorie constituée en grande partie de "jeunes, de femmes et d'urbains, de classes moyennes +, et de hauts diplômés". Ils sont aussi décrits comme "plus engagés dans le tissu associatif". Enfin, les "redistributeurs" (10%) "qui achètent des produits neufs qu'ils revendent ou troquent selon les modes. On y trouve beaucoup d'hommes, de jeunes et de résidents de grandes villes"."
Comment nous avons enquêté avec les données d'Airbnb - 0 views
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"Deux cas très saillants sont ressortis immédiatement dans Excel, que nous n'aurions jamais pu identifier sans ce travail : un certain Dimitri (en fait une société) qui propose une petite vingtaine d'annonces et une charmante Jasmina, notre baronne de Airbnb, qui "gère" pas moins de 38 offres sur le grand Genève et 87 sur toute la Suisse. En utilisant de manière agile la recherche Google ou en croisant nos données avec le registre foncier de la ville de Genève (le cadastre), nous avons pu identifier les propriétaires qui nous intéressaient et nous avons réussi à retrouver le véritable nom de ces deux personnes et leurs coordonnées"
Nord : treize fermes court-circuitent un supermarché en ouvrant leur propre m... - 1 views
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"«Nous faisions tous de la vente directe sur notre propre exploitation. Mais en nous regroupant au même endroit, nous avons permis au client de trouver tous les ingrédients de ses repas », raconte Danielle Grave, exploitante maraichère de Talents de fermes. Pains, boissons, fruits et légumes, viandes, conserves... Depuis le 19 août, cette SARL (Société à responsabilité limitée) installée à Wambrechies permet à vingt quatre producteurs de vendre directement les produits de leurs exploitations aux consommateurs."
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