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marinealbarede

LeMonde - Près d'un Français sur deux adepte de la consommation "collaborative" - 2 views

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    "Près de la moitié des Français (48 %) pratiquent désormais la revente d'objets, le covoiturage, le troc ou encore la colocation, et à 63 % pour une raison d'économie financière, selon un sondage TNS Sofres pour le groupe La Poste."
marinealbarede

Consoglobe - Les 4 types de consommateurs collaboratifs - 3 views

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    "La consommation collaborative gagne régulièrement du terrain et commence à sérieusement intéresser les cabinets d'études et les hommes de marketing. Un de ces cabinet a examiné nos comportements et en a déduit qu'il existe 4 types de personnes qui pratiquent la consommation collaborative."
pierremallet

La Loire Atlantique encourage les abonnés du transport public à covoiturer - 3 views

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    ""Le covoiturage n'est pas un concurrent du transport public", affirme Jean-Yves Plotteau, vice-président délégué aux mobilités. "De plus, c'est bon pour l'environnement, le porte-monnaie et pour diminuer les bouchons aux entrées des agglomérations". D'où l'idée d'encourager cette pratique. "Le transport collectif n'arrivera jamais à détrôner la voiture. Nous avons donc besoin du covoiturage car nous n'arriverons jamais à transporter tous les usagers, à moins d'interdire la voiture !", plaisante l'élu. Pour mettre en œuvre cette expérimentation, la collectivité a déboursé quelques milliers d'euros. "La borne est un prototype léger qui fonctionne à l'énergie solaire"."
marinealbarede

[Infographie] Le covoiturage à travers le monde - Mobilite-durable.org - 4 views

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    "Les enquêtes d'Ipsos (parue le 15 janvier 2014) et Cetelem sur la pratique du covoiturage dans le monde en 2013 montrent des résultats encourageants. Une petite infogaphie avec quelques chiffres.
marinealbarede

Revues.org - La consommation collaborative, le versant encore équivoque de l'... - 4 views

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    La consommation collaborative a le vent en poupe ; elle peut être définie comme le versant "consommatoire" de l'économie de la fonctionnalité, son extension naturelle dans le domaine tu BtoC ou du C2C. Mais quelles sont leurs interrelations ? Comment la consommation collaborative peut-elle contribuer à l'économie de fonctionnalité (et d'ailleurs, le peut-elle?) dans une logique de durabilité ? Cet article de recherche souligne aussi la dualité du consommateur, qui s'engage dans de nouvelles pratiques "hors système" tout en restant dans le système marchand. Sans doute, la consommation collaborative doit-elle interroger plus qu'elle ne le fait aujourd'hui la dimension politique de la consommation, tout en s'articulant mieux avec l'économie de fonctionnalité, pour être véritablement soutenable.
julien camacho

Le supermarché collaboratif débarque à Paris - 2 views

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    L'expérience des magasins coopératifs new-yorkais et londoniens pourrait servir de modèle à la création prochaine d'une succursale associative francilienne. S'ils sont connus une recrudescence d'adhésions depuis les prémisses de la crise de 2008, ces initiatives existent depuis les années 70 sous leur forme actuelle, mais leur origine remonte à l'Angleterre du XIXème siècle, et aux conséquences de la paupérisation massive de la population dans l'industrie naissante (Robert Owen). En France aussi les premières associations ouvrières sont des associations de consommation...
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    ..La perspective de s'alimenter à moindre coût représente un élément de motivation fort dans la structuration de ces initiatives. Mais comme toute entreprise collective qui fonctionne sur le principe de libre adhésion (au sens coopératif d'adhésion motivée, voire passionnée), elles sont également portées et traversées par des représentations et des valeurs communes qui donnent un sens à l'action collective. On peut citer le réseau coopératif BIOCOOP comme exemple français éprouvé. Il est né à la sortie des années 70 de mouvements émergents de la société civile, porté par les premiers militant écologistes, et s'est déployé en une trentaine d'années sur l'échelle nationale. Aujourd'hui, nombreux sont les acteurs du monde militant agricole qui critiquent l'isomorphisme entre le réseau et les pratiques de la grande distribution. On peut émettre l'hypothèse que c'est en trouvant un modèle économique évacuant le bénévolat que BIOCOOP s'est progressivement éloignée de sa posture politique d'origine. Cela souligne aussi le flou juridique qui entoure les modèles d'entreprises coopératives qui fonctionnent sur les principes associatifs, ou inversement. Dans leur rapport au marché libre et concurrentiel, le législateur a échoué à proposer un statut clair dont les initiatives populaires puissent se saisir, en témoigne l'aménagement du statut coopératif le plus récent, la Société Coopérative d'Intérêt Collectif.
pierremallet

Quelles stratégies de développement pour l'économie circulaire ? - - L'Hubser... - 0 views

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    "Hub : Pourquoi cette approche masquée ?   FJSA : Parce que quand on parlait d'économie circulaire et que l'on essayait tout de suite de partager le concept avec notre interlocuteur, il y avait beaucoup d'incompréhensions et cela nous empêchait soit de travailler, soit nous ne pouvions garantir un retour rapide sur investissement. Dans les deux cas, notre démarche était déceptive. Comme pour le covoiturage, il y a un effet seuil pour qu'un tel système fonctionne. Si l'on est dix sur la plateforme, il ne se passe pas grand-chose. Dans les premiers temps on demandait beaucoup de temps à l'entreprise pour discuter avec elle, observer ses flux, faire une comptabilité de ses coûts produits, nous abordions plein de sujets, sans l'assurance d'une réponse à court terme.  "
  • ...2 more comments...
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    "Hub : Une démarche comme la vôtre serait-elle automatisable et partageable entre d'autres acteurs ? FJSA : Oui nous avons développé un logiciel à ces fins et plus particulièrement pour capitaliser la donnée, la géolocaliser et la rendre « parlante ». Cet outil, est une application de gestion des flux, permettant l'échange et la mutualisation de matière, d'énergie, d'eau et de services entre entreprises d'un territoire dans une perspective d'économie circulaire. Conçu pour potentialiser l'action d'un conseiller de terrain, il lui fournit les moyens de construire au fur et à mesure de son travail une cartographie du métabolisme de son territoire d'action. Cette cartographie fait ainsi apparaître les liens pouvant être tissés entre les acteurs économiques existants et les chaînons manquants dans les chaînes de valeurs du territoire."
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    "Nous avons mis l'outil de production d'échange en second niveau de nos relations mais cette démarche est maintenant ventilée dans la mission de tous les collaborateurs de la CCI. Ce temps de collecte d'information est partagé et génère des pratiques plus mutualisées entre les collaborateurs. Plus que de viser un résultat court terme, nous construisons maintenant, avec cet outil, une solution d'intelligence partagée."
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    "Ce produit nous a appris la transversalité et nous en mesurons l'intérêt. La multiplication des regards sur nos actions nous permet, sur le terrain, d'être beaucoup plus performants. Personnellement, je m'autorise aujourd'hui à travailler sur des questions de co-investissement, de partage de salariés, sujets bien loin de ma spécialité, mais jugée essentielle auprès des entrepreneurs. Les premiers à avoir créer de la synergie, c'est nous même."
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    "Retenir les données donne un certain pouvoir à court terme mais à moyen / long terme cela va à l'encontre de l'effort de la dynamique de transversalité et d'échange que nous visons. Notre légitimité c'est notre capacité à analyser les données, à les partager, à animer ce réseau d'acteurs qui participe à l'alimentation de l'outil. Cette approche de médiation territoriale est dans le sens de l'histoire."
Aurialie Jublin

Infographie : la consommation collaborative n'est plus marginale | Le blog de... - 3 views

  • Au-delà, si la confiance dans l’avenir reste à un niveau très faible, il est notable que les Français qui pratiquent la consommation collaborative se montrent plus confiants et optimistes : confiance dans l’avenir +8 points, à 46% confiance dans l’avenir des générations futures +8, à 36% confiance dans la capacité des Français à être solidaires entre eux +17, à 37% confiance dans la reprise économique +11 points, à 37%
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    "Retour sur une infographie, réalisée par Ask Media pour l'édition papier de La Tribune, sur le développement de la consommation collaborative, selon une étude réalisée par TNS-Sofres en novembre 2013."
hubert guillaud

Arrêtons avec l'«économie du partage» | Slate.fr - 4 views

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    Bien que j'aime beaucoup des entreprises qui tombent sous cette appellation, je suis de plus en plus agacé par le terme d' «économie du partage» [«sharing economy» ], qui est utilisé comme raccourci pour catégoriser un éventail assez divers d'entreprises, dont pratiquement aucune n'implique sérieusement le partage. Dans ces circonstances, j'ai été heureux de voir la présentation de Rachel Botsman sur le fait que l'économie du partage manque d'une définition partagée , dans laquelle elle tente de sauver le concept en adoptant une typologie plus fine.
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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