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hamelinclara

Le magazine américain "Forbes" désigne l'année 2013 comme l'année de la e-san... - 0 views

  • Ces avancées technologiques pour le grand public suffiraient à elles seules à susciter un engouement de la part des investisseurs. Le marché des applications « bien-être » ou d’information sur la santé en ligne est d’ores et déjà colossal et se développe à une allure vertigineuse. Mais la réelle nouveauté réside pour le magazine dans le fait que l’enjeu de développement économique se double d’une nécessaire maîtrise des coûts de santé, voulue par les Etats et plébiscitée par l’opinion publique. La mise en œuvre aux Etats-Unis de la couverture santé universelle (ou Patient Protection and Affordable Care Act, dénommée « Obamacare ») cristallise le débat politique et pour cause : dans un contexte de crise économique doublée d’une augmentation des coûts des soins se pose le dilemme d’une santé accessible à chacun mais supportable par tous. La e-santé est vue par les Etats comme le moyen d’améliorer l’efficience des soins tout en responsabilisant les citoyens sur leur santé et éviter ainsi les gaspillages, ce qui les conduit à investir pour développer le secteur. Par ailleurs, l’arrivée des technologies numériques est perçue comme une évolution naturelle de la médecine dont le progrès est une obligation morale afin de faire bénéficier les pays en développement de ces progrès. Ainsi, à l’image du « Tricorder X-Prize » lancé en janvier 2012, plusieurs fondations philanthropiques outre-Atlantique lèvent des fonds pour accélérer le développement de la e-santé et faire progresser la médecine pour une meilleure qualité des soins ayant pour conséquence une meilleure qualité de vie et des traitements vitaux pour tous. Cette valeur-là, elle, est inestimable.
  • Plusieurs des arguments avancés concernent les récents bonds en avant des technologies numériques et leur impact dans la société. Après avoir transformé des secteurs comme l’administration ou le commerce, le numérique atteint désormais un niveau de sécurité et d’acceptabilité par le grand public qui lui permet de s’attaquer à la santé. En très peu de temps, l’informatique s’est démocratisée. A la faveur notamment du développement fulgurant des smartphones, réseaux internet mobiles et autres tablettes tactiles, le numérique est sorti des chambres d’adolescents geeks pour s’installer durablement dans toutes les poches. Ces terminaux sont désormais la porte d’entrée vers notre identité numérique, interconnectée, et ayant son existence propre dans le cyberespace. Les conditions techniques sont réunies pour permettre aujourd’hui l’éclosion du patient 2.0, informé sur son état de santé, connecté aux soignants qui le suivent, pouvant accéder à ses données médicales en ligne et participant lui-même au soin en temps réel grâce à des outils de mesure intégrés (l’essor du quantified-self). Le magazine souligne également les espoirs nouveaux que suscitent ces flux de données dans les domaines de la recherche et de l’épidémiologie, avec notamment le fleurissement du "big data" et des dossiers patients informatisés.
  • Habitué des classements en tous genres, le célèbre magazine économique américain Forbes identifie dans un billet daté du 1er février, les 10 raisons pour lesquelles la e-santé sera un secteur majeur de développement en 2013 aux Etats-Unis. Les raisons d’un tel engouement ? Une « convergence de chiffres, de faits et de nouveaux besoins » pour 2013. Selon le webzine, innovation technologique, revendications sociétales et nécessité économique convergent pour que cette année soit celle de la e-santé.  L’explosion des nouvelles technologies et des réseaux
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  • Un enjeu économique à deux niveaux
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Le digital, nouvel allié du « Wait marketing » en salle d'attente | Le monde ... - 0 views

  • our en savoir plus : 1- Source : Observatoire métiers des entreprises libérales 2-Thèse de B LEROY – mars 2012 : « Comparaison de l’efficacité de deux vecteurs d’information en salle d’attente, en direction d’une population d’adultes, prise en charge en médecine générale, au sein de deux maisons de santé pluridisciplinaires » – Faculté de médecine de NANCY 3- Thèse de A-C DUPUIS / H MOUTERDE-LEFEBVRE – 2010 : « Création et évaluation d’une nouvelle modalité éducative en soins primaires : la campagne éducative monothématique multivectorielle en salle d’attente » – Faculté de médecine de ROUEN 4 – Utilisation de la technologie NFC pour un projet de e-santé dans les métiers du Maintien à Domicile -INSIDE Article issu de mon blog : L’essor des smartphones et applis santé
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Docteur Jacques Lucas : "Quelle stratégie pour l'e-santé en France ?" | esant... - 0 views

  • Le déploiement de l’e-santé doit bien évidemment impliquer,au premier chef, les médecins et les autres professionnels de santé, puisque ce sont les principaux acteurs de la prise en charge des personnes en demande de soins.   Pour qu’ils s’impliquent,les technologies de l’information et de la communication en santé doivent répondre à leurs besoins professionnels concrets, dans toutes leurs dimensions humaines, médicales et médicosociales.   Le développement de l’esanté doit respecter lesimpératifs déontologiques : information du patient, consentement de celui-ci sur le partage de ses données personnelles, respect de la confidentialité.   L’e-santé doit faciliter l’accès aux soins. Pour illustration,les maisons ou pôles de santé, qu’ils soient réels ou virtuels, nécessitent des équipements numériques,notamment télémédicaux. Il faut donc, en parallèle, une stratégie nationale qui permette de booster le déploiement du très haut débit sur tout le territoire national, afin de juguler la fracture numérique.
  • Le déploiement stratégique de l’e-santé devrait s’attacher à répondre aux besoins médicaux,sociaux et économiques les plus importants, en tenant compte de la réalité : les parcours de soins des patients, au quotidien, associent les professionnels d’exercice libéral et les professions de santé dans les établissements, comme dans le secteur médicosocial. Il ne doit pas exister de rupture dans la transmission des informations pertinentes et nécessaires à la continuité des prises en charge.   Il n’y aura pas de développement médicoéconomique vertueux si les TIC sont utilisées « en silo ». Les TIC en santé ne doivent pas édifier un « mur informatique » entre les secteurs hospitalier et libéral. La prise en charge de patients, à domicile ou en établissements, impose de dépasser des modèles archaïques,tout en garantissant la protection des informations à caractère secret.   Le financement de l’e-santé, y compris dans son volet de développement industriel de l’informatique et des dispositifs médicaux,doit être performant, et sa pérennité doit être assurée.   La pratique de la médecine avec l’usage des TIC engage la responsabilité de tous les acteurs : les pouvoirs publics dans l’organisation territoriale des soins, les établissements de santé publics et privés, les professionnels de santé libéraux, les fournisseurs d’accès, les tiers technologiques, l’UNCAM et les assureurs en santé…
hamelinclara

iPAD ADV | Health 2.0 | Santé 2.0 | Web 2.0 | social media pharma |e-detailin... - 0 views

  • 1 - Le digital, nouveau paradigme de la communication et de l’information auprès des professionnels de santé et des patients De nouveaux média portés par l’explosion des TIC De nombreuses solutions et applications possibles pour le secteur pharmaceutique Les patients et les professionnels de santé : de nouveaux comportements et de nouvelles pratiques en faveur du digital Santé mobile Web 2.0 2 - L’industrie pharmaceutique peine en France à définir des stratégies digitales ambitieuses et efficaces Une politique nationale en faveur de la e-santé tardive par rapport à d’autres pays Le secteur pharmaceutique n’a pas encore fait en France sa « révolution digitale » Quelles perspectives, au-delà d’un site corporate et d’une e-ADV ? Des freins culturels, même du côté de l’OTC Un fonctionnement encore largement en BtoB, des stratégies marketing qui peinent à se renouveler et à intégrer une dimension véritablement cross-canal
  • Des déclinaisons de stratégies globales pas toujours adaptées à l’environnement hexagonal Des initiatives souvent court-termistes liées aux cycles projets Une difficulté à mesurer un ROI et à établir des facteurs clés de succès pertinents Des organisations internes favorisant peu la diffusion d’une culture digitale auprès des départements marketing et des directions générales Des budgets insuffisamment dédiés aux organisations et aux projets digitaux Les perspectives d’évolution des budgets digitaux d’ici 2015 Peu de budgets dédiés à l’e-réputation Un environnement réglementaire défavorable conduisant à une grande frilosité de la part des marketeurs en France Des restrictions concernant la communication autour des produits L’obligation d’assurer une pharmacovigilance Une crise médiatique sans précédent qui n’incite pas en France à la « transparence digitale »
  • 3 - Les leviers et les perspectives des innovations digitales dans le secteur pharmaceutique Un contexte général pourtant très favorable à la diffusion du marketing digital Des professionnels de santé connectés et exprimant des attentes concrètes à l’égard des solutions digitales Des patients acquis au marketing digital, et de plus en plus mobilisés sur leur santé Le soutien de la télésanté par les pouvoirs publics et les sociétés savantes Des attentes fortes en matière de suivi coût-efficacité des maladies chroniques L’émergence des communautés de patients Les innovations digitales portées par les laboratoires pharmaceutiques Auprès des professionnels de santé Les applications mobiles dédiées aux professionnels de santé Les serious games au service de leur formation Les plates-formes d’e-learning, les e-conférences et le webcasting Les plates-formes collaboratives et les communautés de professionnels de santé Auprès des patients Les dispositifs mobiles de suivi et de partage d’informations entre patients et médecins Les applications mobiles de suivi et/ou d’information pour les patients atteints de pathologies graves, invalidantes et/ou chroniques La montée en puissance des outils digitaux d’éducation Les facteurs clés de succès d’une stratégie digitale efficace Prendre conscience de l’enjeu stratégique majeur du digital Acquérir une culture digitale approfondie face aux contraintes réglementaires Mettre en place une organisation digitale totalement intégrée au marketing, fonctionner en mode projet Combiner les différentes approches digitales pour générer des synergies positives Jouer la carte du « brand content », faire du digital un « need to have » Proposer des innovations digitales en cohérence avec les parcours de soins des patients Proposer des solutions qui contribuent à décloisonner la ville et l’hôpital, et à fédérer les professionnels de santé entre eu
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La pharma mise sur le e-marketing - 0 views

  • Le marketing via les canaux digitaux a augmenté de 65% aux États-Unis l'an dernier et de 40% dans les grands pays d'Europe, constate une étude de Cegedim Strategic Data (CSD) sur l'investissement promotionnel des laboratoires pharmaceutiques en 2012. Aux États-Unis, les laboratoires investissent près d'un milliard de dollars dans ces nouveaux outils. Les Européens en sont très loin, avec 90 millions de dollars seulement dépensés en e-marketing en Allemagne, Grande-Bretagne, France, Espagne et Italie. Un retard dû, dans l'Hexagone notamment, aux réticences des médecins face à l'ordinateur, observe Christopher Wooden, vice-président chez CSD.
  • La visite médicale n'est pas, pour autant, condamnée. Elle a diminué de plus de 10% en Europe et aux États-Unis en 2012, mais elle a augmenté de 20% en Chine et 7% au Brésil. Les dépenses mondiales de promotion se sont d'ailleurs stabilisées en 2012 à 90 milliards de dollars, dont la moitié aux États-Unis et en Europe.
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