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hamelinclara

Le « big data » s'attaque au diagnostic médical, Actualités - 0 views

  •  A titre personnel, ça ne m'emballe pas du tout, estime Francis Lévi, membre de l'Académie des technologies et directeur de l'unité rythmes biologiques et cancers de l'Inserm. D'abord parce que l'idée d'établir des arbres de décision personnalisés aboutit au risque de faire de la médecine sans médecins. Ensuite parce que les données publiées dans la littérature médicale ne reflètent pas forcément la réalité de la médecine, car elles correspondent à des patients correspondant aux critères de l'étude
  •  Il n'y a pas de frein technologique aux outils d'aide au diagnostic, mais il y a deux domaines fondamentaux : la sécurité des données, qui ne doivent être ni communiquées ni modifiées par un tiers. Mais aussi la formation des médecins et des usagers : il faudra expliquer ces nouveaux outils pour que chacun comprenne leurs limites. »
  • « Pour créer de meilleurs outils d'aide au diagnostic, il faudra arriver à trouver une structuration commune à toutes les pratiques médicales, ce qui est loin d'être le cas », estime Pierre-Henri Comble
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  • « L'objectif n'est pas de se substituer au médecin, indique Pascal Sempé, directeur du business development pour IBM Research, mais d'améliorer la façon dont il va prendre une décision. »
  • « Watson s'appuie pour cela sur trois compétences complémentaires qu'il est, à ma connaissance, le seul à réunir, détaille Patrice Poiraud, directeur business analytics et optimisation chez IBM France. D'abord sa capacité à comprendre le langage naturel : il n'a pas besoin que les données soient structurées pour fonctionner. Ensuite la possibilité de formuler des hypothèses en étant capable de les justifier. Enfin la capacité à s'adapter et à apprendre : la qualité des résultats proposés s'améliore au fur et à mesure que le nombre de cas traités augmente. »
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Le scandale Stapel, ou comment un homme seul a dupé le système scientifique |... - 0 views

  • A lui seul, ce chercheur a durablement écorné l'image de toute une discipline, la psychologie sociale, et mis en lumière quelques failles du système scientifique.
  • d'août 2011, à l'université de Tilburg, où Diederik Stapel enseignait : trois jeunes chercheurs ont alors fait état de leur suspicion pour les données de ses expériences, tant celles qui figuraient dans les études qu'ils publiait que celles qu'il fournissait à ses étudiants.
  • Pour être juste, le rapport précise tout de même que quelques personnes s'étaient posé des questions. Non sans prendre des risques pour leur carrière, trois jeunes chercheurs avaient évoqué, auprès de l'université de Tilburg, des irrégularités dans les jeux de données fournis par Diederik Stapel. De même, deux enseignants s'étaient étonnés de ses chiffres trop bons pour être honnêtes. Mais, comme c'est souvent le cas avec les lanceurs d'alerte et comme on l'a aussi constaté dans la récente affaire Annie Dookhan qui a secoué la police scientifique américaine, personne n'a tenu compte de ces mises en garde précoces...
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Docteur Jacques Lucas : "Quelle stratégie pour l'e-santé en France ?" | esant... - 0 views

  • Le déploiement de l’e-santé doit bien évidemment impliquer,au premier chef, les médecins et les autres professionnels de santé, puisque ce sont les principaux acteurs de la prise en charge des personnes en demande de soins.   Pour qu’ils s’impliquent,les technologies de l’information et de la communication en santé doivent répondre à leurs besoins professionnels concrets, dans toutes leurs dimensions humaines, médicales et médicosociales.   Le développement de l’esanté doit respecter lesimpératifs déontologiques : information du patient, consentement de celui-ci sur le partage de ses données personnelles, respect de la confidentialité.   L’e-santé doit faciliter l’accès aux soins. Pour illustration,les maisons ou pôles de santé, qu’ils soient réels ou virtuels, nécessitent des équipements numériques,notamment télémédicaux. Il faut donc, en parallèle, une stratégie nationale qui permette de booster le déploiement du très haut débit sur tout le territoire national, afin de juguler la fracture numérique.
  • Le déploiement stratégique de l’e-santé devrait s’attacher à répondre aux besoins médicaux,sociaux et économiques les plus importants, en tenant compte de la réalité : les parcours de soins des patients, au quotidien, associent les professionnels d’exercice libéral et les professions de santé dans les établissements, comme dans le secteur médicosocial. Il ne doit pas exister de rupture dans la transmission des informations pertinentes et nécessaires à la continuité des prises en charge.   Il n’y aura pas de développement médicoéconomique vertueux si les TIC sont utilisées « en silo ». Les TIC en santé ne doivent pas édifier un « mur informatique » entre les secteurs hospitalier et libéral. La prise en charge de patients, à domicile ou en établissements, impose de dépasser des modèles archaïques,tout en garantissant la protection des informations à caractère secret.   Le financement de l’e-santé, y compris dans son volet de développement industriel de l’informatique et des dispositifs médicaux,doit être performant, et sa pérennité doit être assurée.   La pratique de la médecine avec l’usage des TIC engage la responsabilité de tous les acteurs : les pouvoirs publics dans l’organisation territoriale des soins, les établissements de santé publics et privés, les professionnels de santé libéraux, les fournisseurs d’accès, les tiers technologiques, l’UNCAM et les assureurs en santé…
hamelinclara

Le regard d'Accenture Management Consulting : La mutation de l'industrie pharmaceutique... - 0 views

  • Une rupture scientifique : le séquençage du génome, entre autres avancées, ouvre de nouvelles voies quand la recherche traditionnelle s'épuise.Une rupture économique : la démographie, le souhait des individus de vieillir en bonne santé et les coûts unitaires des thérapies ciblées mettent les systèmes de financement sous pression.Une rupture sociétale : les payeurs mondiaux sont de plus en plus actifs, analysant les données ou "coachant" des patients. Le système de soins ménage une place accrue aux pharmaciens et aux infirmières, à la télémédecine et aux réseaux de soins. Les réseaux sociaux de patients (PatientLikeMe, Orphanet) ou de médecins (Sermo) redistribuent l'information. La place du médecin comme décideur unique est questionnée.
  • Synergies scientifiques : une activité de génériques est alimentée par les expirations de brevets ; une activité vétérinaire bénéficie des retombées de la recherche humaine.Synergies de compétences : Sanofi identifie la connaissance de l'écosystème comme une compétence clé lui permettant d'articuler produits et services de santé.Synergies thérapeutiques : certains acteurs servent une pathologie "de bout en bout", par exemple en intégrant glucomètres, insuline, analyse des données ou formation des patients, comme Novo Nordisk, Sanofi ou Bayer (qui a même lancé un jeu pédagogique avec Nintendo) sur le diabète.Synergies produits : les applications esthétiques du Botox, utilisé au départ en chirurgie urinaire, ont fourni à Allergan un très important relais de croissance.Synergies financières : à l'instar des acteurs du BTP (faibles marges, mais fortes liquidités) se lançant dans les concessions, ou des acteurs du matériel informatique se diversifiant dans les logiciels et les services, les laboratoires analysent les complémentarités financières. Quels investissements, quels risques, quelle rentabilité ? Quelle pérennité des flux de revenus, notamment face aux cycles et aux réformes publiques ?Quelles valorisations ?
  • Valeur : les laboratoires "valeur" (tels BMS, AstraZeneca ou Amgen) adressent, par une recherche innovante, des besoins noncouverts. Ce modèle présente des risques plus élevés (même si les alliances permettent de le répartir) pour des rendements plus élevés (même si l'incertitude pèse sur le financement collectif). La R&D doit s'accompagner d'innovation sur offres, de rémunération au résultat et veiller au suivi de l'efficacité du produit
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  • Portefeuille : les acteurs "portefeuille" (tels GSK, Sanofi, J&J, Novartis ou Roche) assemblent diverses activités (vaccins, optique, appareils médicaux, nutrition, services, électronique grand public...) autour d'un noyau pharmaceutique. Ils peuvent intégrer les modèles "volume" et "valeur", et calibrent leur profil d'investissement et de risque. Trois questions sont centrales. Dans quelles activités non dilutives investir ? Quelles synergies justifient la diversification, au-delà de la recherche de croissance ? Comment maîtriser les nouveaux modèles (par exemple, comment protéger de la concurrence des services non brevetables, contrairement aux médicaments) ?
  • Volume : les acteurs "volume" (tels Teva ou Ranbaxy) se concentrent sur les produits familiaux, génériques ou matures, proches de la grande consommation. Ce modèle suppose moins d'investissements et de risques, pour un rendement plus prévisible ; il repose sur un marketing "de masse", sur un approvisionnement économique et sur la pénétration rapide des marchés émergents.
hamelinclara

Le magazine américain "Forbes" désigne l'année 2013 comme l'année de la e-san... - 0 views

  • Ces avancées technologiques pour le grand public suffiraient à elles seules à susciter un engouement de la part des investisseurs. Le marché des applications « bien-être » ou d’information sur la santé en ligne est d’ores et déjà colossal et se développe à une allure vertigineuse. Mais la réelle nouveauté réside pour le magazine dans le fait que l’enjeu de développement économique se double d’une nécessaire maîtrise des coûts de santé, voulue par les Etats et plébiscitée par l’opinion publique. La mise en œuvre aux Etats-Unis de la couverture santé universelle (ou Patient Protection and Affordable Care Act, dénommée « Obamacare ») cristallise le débat politique et pour cause : dans un contexte de crise économique doublée d’une augmentation des coûts des soins se pose le dilemme d’une santé accessible à chacun mais supportable par tous. La e-santé est vue par les Etats comme le moyen d’améliorer l’efficience des soins tout en responsabilisant les citoyens sur leur santé et éviter ainsi les gaspillages, ce qui les conduit à investir pour développer le secteur. Par ailleurs, l’arrivée des technologies numériques est perçue comme une évolution naturelle de la médecine dont le progrès est une obligation morale afin de faire bénéficier les pays en développement de ces progrès. Ainsi, à l’image du « Tricorder X-Prize » lancé en janvier 2012, plusieurs fondations philanthropiques outre-Atlantique lèvent des fonds pour accélérer le développement de la e-santé et faire progresser la médecine pour une meilleure qualité des soins ayant pour conséquence une meilleure qualité de vie et des traitements vitaux pour tous. Cette valeur-là, elle, est inestimable.
  • Plusieurs des arguments avancés concernent les récents bonds en avant des technologies numériques et leur impact dans la société. Après avoir transformé des secteurs comme l’administration ou le commerce, le numérique atteint désormais un niveau de sécurité et d’acceptabilité par le grand public qui lui permet de s’attaquer à la santé. En très peu de temps, l’informatique s’est démocratisée. A la faveur notamment du développement fulgurant des smartphones, réseaux internet mobiles et autres tablettes tactiles, le numérique est sorti des chambres d’adolescents geeks pour s’installer durablement dans toutes les poches. Ces terminaux sont désormais la porte d’entrée vers notre identité numérique, interconnectée, et ayant son existence propre dans le cyberespace. Les conditions techniques sont réunies pour permettre aujourd’hui l’éclosion du patient 2.0, informé sur son état de santé, connecté aux soignants qui le suivent, pouvant accéder à ses données médicales en ligne et participant lui-même au soin en temps réel grâce à des outils de mesure intégrés (l’essor du quantified-self). Le magazine souligne également les espoirs nouveaux que suscitent ces flux de données dans les domaines de la recherche et de l’épidémiologie, avec notamment le fleurissement du "big data" et des dossiers patients informatisés.
  • Habitué des classements en tous genres, le célèbre magazine économique américain Forbes identifie dans un billet daté du 1er février, les 10 raisons pour lesquelles la e-santé sera un secteur majeur de développement en 2013 aux Etats-Unis. Les raisons d’un tel engouement ? Une « convergence de chiffres, de faits et de nouveaux besoins » pour 2013. Selon le webzine, innovation technologique, revendications sociétales et nécessité économique convergent pour que cette année soit celle de la e-santé.  L’explosion des nouvelles technologies et des réseaux
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  • Un enjeu économique à deux niveaux
hamelinclara

D.Views: le blog business de Deloitte France - 0 views

  • La nécessité de s’adapter à la nouvelle temporalité Le numérique est donc à la fois un déclencheur et un facilitateur de la puissante vague qui va conduire les entreprises du médicament à redéfinir leurs missions et leurs interactions avec les autres parties prenantes : patients, professionnels de santé, payeurs, régulateurs ou partenaires. Mais le principal enjeu vient peut-être du fait que l’irruption des technologies et solutions numériques dans l’écosystème de santé en modifie radicalement la temporalité de référence. Les laboratoires pharmaceutiques vont par exemple devoir apprendre très vite à gérer les cycles de vie courts de solutions thérapeutiques incorporant du numérique. Ils devront également mettre en place des processus de décision et de communication permettant de réagir presqu’instantanément à des informations mettant en cause leur réputation, diffusées ou amplifiées via les réseaux sociaux. Comme l’a souligné récemment le dirigeant d’un grand groupe pharmaceutique, les entreprises du secteur qui sauront comprendre rapidement ce changement de paradigme, et modifier à temps leur ADN, auront certainement de meilleures chances de survivre et de prospérer.
  • Une transformation profonde et inévitable du business model Les apports potentiels du numérique vont bien au-delà de la conception de solutions thérapeutiques intégrées. Ils concernent l’ensemble de sa chaîne de valeur. L’enjeu pour les laboratoires pharmaceutiques est non seulement de comprendre les changements que le déferlement des innovations numériques va inévitablement induire dans leur business model, mais également de piloter et d’accompagner ce processus de transformation. Même lorsque ces mutations résultent de décisions internes à l’entreprise, les défis à relever sont importants car elles conduisent à répondre à de multiples questions auxquelles les laboratoires n’avaient jusqu’à présent pas été confrontés : quels sont les déterminants de la valeur d’une solution thérapeutique ? Comment évaluer et partager les risques émergents avec les partenaires ? Comment gérer le cycle de vie d’une solution multi-composants ? Comment collecter et interpréter les données en « vie réelle » ? L’effort d’adaptation est encore plus considérable quand l’innovation est promue ou
  • imposée par des forces exogènes. Seules quatre entreprises pharmaceutiques sur dix ont commencé à tirer parti des réseaux sociaux pour collecter de l’information, communiquer, ou encore collaborer avec des professionnels de santé. Une proportion équivalente n’envisage toujours pas d’utiliser ces médias et beaucoup d’entreprises pharmaceutiques se sentent démunies face à la prolifération des informations diffusées chaque jour sur le web. Il est vrai qu’en offrant la possibilité à n’importe quel patient de partager publiquement son avis sur des médicaments ou des dispositifs à prescription obligatoire, le numérique introduit une forme de désintermédiation qui bouleverse radicalement les règles établies. Les laboratoires se retrouvent ainsi dans une situation paradoxale où ils sont tenus de respecter des obligations strictes en matière d’information médicale, tout en étant de plus en plus soumis à des exigences fortes en termes de transparence et de réactivité en cas de survenance d’effets indésirables.
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  • L’innovation numérique au cœur des solutions thérapeutiques Pour les laboratoires pharmaceutiques, l’enjeu en termes d’innovation est non seulement de développer de nouvelles molécules plus efficaces et plus ciblées, mais aussi de proposer des solutions thérapeutiques complètes, en particulier pour les affections de longue durée telles que le diabète, les cancers ou les maladies cardio-vasculaires. En facilitant la vie des patients, les solutions thérapeutiques qui intègrent des technologies numériques contribuent à améliorer le niveau d’observance des traitements, et par conséquent leur efficacité. Prenons des exemples. Un lecteur de glycémie connectable à un iPhone permet aujourd’hui aux patients diabétiques de mesurer facilement et précisément leur taux de glucose sanguin. Une application spécifique leur offre également de multiples fonctionnalités pour gérer au mieux leur diabète : carnet de suivi glycémique et transmission des résultats au médecin. Autre exemple : les « smart pills », gélules contenant un capteur miniaturisé inséré et émettant un signal transmis à un récepteur externe lorsqu’il est activé par les sucs gastriques, sont en train de se développer. L’intérêt de ce type de dispositif est de permettre un suivi et un contrôle en temps réel de la prise de médicaments. Et comme l’a souligné un industriel, la valeur de ces « smart pills » tiendra peut-être plus des données qu’elles génèrent que du médicament lui-même.
hamelinclara

De la médecine aux industries hi-tech, les Google Glasses ne sont pas un gadg... - 0 views

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    "Atlantico : Des chirurgiens, américain et espagnol, ont testé pour la première fois la retransmission d'actes chirurgicaux filmés par les lunettes connectées de Google. Les Google Glass sont-elles vouées à devenir un véritable auxiliaire au service de la médecine ? Est-ce une hypothèse crédible ou bien resteront-elles seulement utilisées de façon marginale dans le domaine médical ?  Jérôme Colombain : C'est typiquement le genre d'applications auxquelles on n'avait pas pensé au départ mais qui pourraient voir le jour avec des lunettes connectées. Dans l'expérience que vous évoquez, les chirurgiens ont utilisé la capacité de captation vidéo pour filmer des opérations et diffuser les images en direct sur Internet à des fins pédagogiques. En fait, c'est juste comme s'ils avaient une petite caméra fixée sur le front. C'est l'une des applications possibles mais ce n'est pas la seule. En effet, n'oublions pas que les Google Glass ont une autre fonction, encore plus novatrice, qui est l'affichage d'informations devant le regard de la personne qui les porte à l'aide d'un minuscule écran intégré. On pourrait donc très bien imaginer que des chirurgiens utilisent cette fonctionnalité, par exemple, pour surveiller en temps réel l'électrocardiogramme d'un patient ou toutes autres données en cours d'intervention sans avoir à lever les yeux pour regarder des écrans de contrôle comme ils le font aujourd'hui. Cela dit, pour les avoir essayées, je peux vous dire que les Google Glass sont un peu déroutantes au début car il faut sans cesse accommoder sa vue entre la vision normale vers l'extérieur et la vision de près sur l'écran vidéo mais c'est néanmoins très prometteur. "
hamelinclara

Produits pharmaceutiques - 0 views

  • Produits pharmaceutiques L'UE s'est donné pour objectif de garantir un niveau de santé publique aussi élevé que possible sur l'ensemble de son territoire. Pour y parvenir, et pour que les citoyens européens aient accès aux produits pharmaceutiques dont ils ont besoin, la vente de médicaments sur le marché européen obéit à des règles strictes. Ainsi, tous les médicaments doivent recevoir une autorisation de mise sur le marché au niveau national ou européen avant de pouvoir être commercialisés. C'est la Commission qui délivre les autorisations au niveau de l'UE, en s'appuyant sur les évaluations scientifiques réalisées par l'Agence européenne des médicaments.
hamelinclara

Les perspectives de la télémédecine en France : Eurostaf étude de marché - 0 views

  • 1 - Contexte réglementaire Situation internationale Pourquoi la télémédecine ? Un nouveau champ des possibles ouvert par la naissance des TIC Des freins et des leviers identifiables au niveau international Situation en France La télémédecine, préexistant à la loi HPST Le Plan Cancer 2003, un accélérateur du déploiement de la télémédecine en France Les cinq types d'actes de télémédecine, tels que définis par la loi HPST Le débat autour de la téléconsultation Une accélération des créations de sociétés de téléconseil Un cadre réglementé par les instances gouvernementales Des modalités d'élaboration des contrats en régions, fixées par la DGOS
  • 2 - Structure du marché en France Organisation des projets Un déploiement régional, à vocation nationale 256 projets recensés par la DGOS en avril 2012 Des priorités fixées par la DGOS Focus sur la prise en charge des AVC Focus sur la permanence des soins en imagerie Focus sur la santé des personnes détenues D'autres sphères thérapeutiques qui mobilisent également Des efforts en vue de décloisonner le lien ville-hôpital Composition du marché : les acteurs clés du secteur Un marché émergeant, sans cesse en mouvement Les opérateurs institutionnels Les éditeurs de logiciels Les SSII Les fabricants de matériel informatique Les fabricants de dispositifs médicaux Les cabinets de conseil Les fournisseurs de services à la personne Les assureurs et assisteurs Les fournisseurs de services de télémédecine Les laboratoires pharmaceutiques Les opérateurs de télécommunications Les hébergeurs de données de santé
  • 3 - Modalités de financement De gros investissements, majoritairement institutionnels L'intervention de fonds européens, nationaux et interrégionaux Les retombées du Grand Emprunt : E-santé n°1 Les retombées du Grand Emprunt : E-santé n°2 Le Centre National de Référence Santé à domicile et Autonomie Le 15ème Appel à Projet du Fonds Unique Interministériel Le Fonds d'Intervention Régional Les 20 types d'actions pouvant être financées par le FIR Des projets d'envergure, dont la mise en œuvre a d'ores et déjà débuté Des « business angels » qui capitalisent sur l'innovation Une question de plus en plus préoccupante : la pérennité des financements Des coûts de fonctionnement qui ne sont pas couverts, à ce jour Des sources d'inspiration dans d'autres pays De nouvelles bases de calcul de rémunération à envisager Entre CPAM et professionnels de santé : une situation qui semble bloquée
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  • 4 - Leviers et perspectives du secteur Des résistances au changement qui freinent le développement de la télémédecine Des résistances assez perceptibles chez les professionnels de santé Des projets qui ont souffert d'un manque d'anticipation organisationnelle Une frilosité quant au choix du modèle économique à adopter Des projets trop hospitalo-centrés Les perspectives d'une approche organisationnelle et transversale Une conduite du changement organisée La formation des professionnels de santé, à développer La confiance des usagers, un levier déjà opérant L'évaluation médico-économique et sociale des projets, de plus en plus en amont L'approche systémique, une condition sine qua none à la croissance du secteur
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    Les perspectives de la télémédecine en France
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La cartographie du système de santé français en 2012 : Eurostaf étude de marché - 1 views

  • Le paysage de la santé a profondément évolué depuis 2010 Régionalisation de notre système de santé : en avant, toute ! La loi HPST de « modernisation » du système de santé a entre autres donné naissance aux Agences Régionales de Santé (ARS), opérationnelles depuis début 2010. L’objectif affiché est triple : Simplifier le système avec la fusion de sept organismes régionaux ; Etre au plus près des problématiques et des besoins de santé publique grâce à un pilotage en région ; Limiter les dérives budgétaires. Cette nouvelle organisation a pour conséquence de voir apparaître de nouveaux interlocuteurs pour l’ensemble des acteurs du système de santé (industrie pharmaceutique, fabricants de dispositifs médicaux, associations de patients, établissements sanitaires et médico-sociaux, médecins libéraux, pharmaciens d’officine, élus locaux, assurance maladie et complémentaires santé, etc.). L’objectif de cette cartographie est de bien appréhender cet écosystème et ses réseaux d’influence en fournissant notamment le détail des 26 projets régionaux de santé en cours d’adoption. Elle offre un éclairage sur les points clés de la Loi n°2011-2012 du 29 décembre 2011 relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé.
  • Le véritable « qui fait quoi ? » de la santé Connaître les décideurs et les réseaux d’influence Eurostaf et le cabinet ACS dressent une cartographie des institutions opérant dans la santé, ainsi que des non institutionnels (laboratoires pharmaceutiques, groupements pharmaceutiques, mutuelles santé, presse spécialisée, relais et leaders d’opinion, etc.) dont le rôle dans le secteur de la santé est notable. Les décisions prises par ces organes ou les informations qu’ils véhiculent conditionnent les initiatives des acteurs du monde de la santé (recherche de financement, développement de nouvelles activités, création d’établissements sanitaires et médico-sociaux, réponses aux appels à projets des ARS, anticipation et gestion de situation de crise, etc.). Un outil interactif, une navigation aisée Pour trouver rapidement l’information pertinente et s’orienter dans le nouveau système de santé Cette cartographie du système de santé a été conçue comme un véritable guide interactif permettant de naviguer aisément au sein du document via notamment des signets et de nombreux liens hypertextes.
  • ACS, Agence Conseil Santé, propose des recommandations stratégiques et opérationnelles en marketing et en communication de la santé. Avec une forte expertise à l’officine et auprès de la médecine de ville, ACS crée des éléments de communication efficaces et originaux pour proposer aux professionnels de santé une meilleure prise en charge du patient. Particulièrement attentif à l’amélioration de la qualité de vie du patient, ACS élabore avec originalité et créativité des programmes de formation, de communication scientifique, de prévention et de dépistage.
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Doliprane, Drill, Efferalgan : médicaments les plus achetés sur Internet | At... - 0 views

  • Le Doliprane, médicament indispensable de notre pharmacie. C'est en tout cas ce qui ressort d'un classement publié par le site 1001Pharmacies.com, portail de vente en ligne de produits de santé, qui s'intéresse aux médicaments les plus recherchés par les Français sur Internet.Indiqué en cas de fièvres et de maux de tête, le Doliprane décroche donc la médaille d'or (19%), devant Drill (antiseptique pour la gorge, 15%), Efferalgan, (5%), Euphytose (traitement phytothérapie pour réduire le stress et l'anxiété, 5%) et Daflon (veinotonique et protecteur vasculaire, 4%)."Parmi les médicaments plébiscités par les internautes français, les antalgiques prennent une place dominante dans le classement avec presque 30% des recherches globales", souligne Cédric O’Neill, pharmacien et cofondateur du site. A l’inverse, parmi les médicaments qui intéressent le moins les Français, Nicotinell Fruit et Nicotinell Patch, deux produits d’accompagnement au sevrage tabagique.Ce classement a été établi en croisant la liste des 50 médicaments les plus achetés en pharmacie et les données des requêtes effectuées sur les moteurs de recherche.
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Le marché de la santé mobile augmente autant que ses acteurs se diversifient ... - 0 views

  • L'écosystème de la m-santé inclut les opérateurs mobiles qui se sont mis à tirer des revenus de la consommation accrue de ce type de données. Toutefois, les développeurs de logiciels et d’applications vont acquérir des flux de revenus croissants grâce à la création de solutions de santé, notamment subventionnées par les compagnies d'assurance santé. Les instances gouvernementales et les compagnies pharmaceutiques vont, quant-à-elles, également accroître l'épargne et les revenus de m-santé. Deux canaux existent pour distribuer ce type de produits aux consommateurs : de manière indirecte, via les professionnels ou directement délivré aux utilisateurs par le biais d'applications, comme c'est le cas de nombreuses entreprises, comme Voxiva et « text4baby ». Ces fournisseurs de m-santé sont d’avis que les plus grands services de santé mobiles seront de plus en plus axés sur les consommateurs directement.
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