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Le Figaro - Sociétés : Les laboratoires freinent l'arrivée des génériques - 0 views

  • En 2012, les laboratoires pharmaceutiques ont signé 40 accords avec les génériqueurs pour reporter l'arrivée de ces copies légales et moins chères sur le marché américain, rapportent Les Échos. Le phénomène empire puisque ces ententes, qui permettent aux fabricants de médicaments de marque de décaler de 17 mois en moyenne la commercialisation des génériques, sont en hausse de 43% par rapport à 2011. Ces accords entraînent une hausse de 3,5 milliards de dollars par an de la facture de médicaments des familles américaines et ils coûtent 5 milliards de dollars sur dix ans à l'État, estime le Congrès.
  • Bruxelles hausse le ton Les laboratoires pharmaceutiques, qui perdent 30 à 90% de leur chiffre d'affaires lors de l'extinction des brevets qui protègent les médicaments de marque contre les génériques, sont parfois prêts à payer cher pour prolonger leur durée de vie. Bayer aurait ainsi déboursé 398 millions de dollars pour contrer les génériques de son antibiotique Cipro, qui lui rapporte 1 milliard de dollars par an. En Europe, plusieurs laboratoires sont également accusés d'ententes pour retarder les ventes de génériques. En juillet dernier, Bruxelles a haussé le ton contre le laboratoire Servier et plusieurs fabricants de génériques, soupçonnés de retarder l'entrée sur le marché du générique du Périndopril, un médicament cardiovasculaire.
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Le marché des marques de distributeurs en pharmacie : Eurostaf étude de marché - 1 views

  • Les MDD, plus que jamais au cœur des stratégies du circuit officinal Les distributeurs passent à l’offensive A l’officine, le développement de marques propres s’opère au travers des grossistes-répartiteurs (Marque Verte de la coopérative Welcoop, labels de génériques Evolutiv lancés par l’OCP et Almus par Alliance Healthcare, etc.) et des groupements/enseignes de pharmaciens (Népenthès, Évolupharm, Plus Pharmacie, Giphar, PHR, Univers Pharmacie, etc.). La mise sur le marché de ces produits permet d’assurer aux officinaux une marge commerciale plus importante que celle dégagée avec les marques nationales dans un contexte de dégradation de l’économie de l’officine. Ce différentiel de marge contribue aussi à attirer et fidéliser les pharmaciens à leur groupement/enseigne dans la logique actuelle de course à la taille des réseaux. Pour les groupements et enseignes, il ne s’agit pas seulement de défendre les positions de l’officine sur le marché de la parapharmacie, mais d’anticiper une éventuelle levée du monopole officinal sur les produits d’automédication.
  • Les MDD, vecteurs de valorisation et de différenciation des enseignes de pharmacies La communication est le nerf de la guerre Le succès des gammes MDD est conditionné à l’évolution de la taille des réseaux les référençant et à leur visibilité pour le consommateur. La mutation en cours du circuit officinal (création de nouveaux concepts d’enseigne et extension des réseaux à marche forcée) est propice à la croissance de ce marché. Les distributeurs ont mis en place de véritables stratégies de marque empruntant les codes marketing utilisés par les marques nationales. Les actions de communication s’intensifient en 2012 avec, grande nouveauté, des actions spécifiquement dédiées aux marques propres (Evolupharm et Plus Pharmacie à la télévision, Giphar et Népenthès via l’e-learning, sites Internet dédiés pour Direct Labo et Giphar, animation du point de vente pour Pharmodel, etc.). Ces actions suffiront-elles à installer durablement ces marques dans le paysage officinal ?
  • Si les MDD basiques représentent l’essentiel de l’offre, les MDD premium sont en plein boom D’une stratégie « me too » à un véritable statut de marque avec la pénétration massive du marché du médicament Les produits basiques représentent 66 % des ventes de MDD en 2011. Ces produits premiers prix (bandages, préservatifs et produits absorbants), grand public et peu différenciés, nécessitent de gros volumes de vente et une forte rotation des stocks. Les gammes de produits à plus forte valeur ajoutée se développent depuis plusieurs années reposant sur une offre différenciée mais positionnée à un prix inférieur aux marques nationales (compléments alimentaires, tests d’auto-mesures, matériel de maintien à domicile, etc.). La montée en gamme se poursuit en 2012 avec la pénétration croissante du marché des génériques et de l’automédication. Si les grossistes-répartiteurs sont présents depuis plusieurs années sur le marché du médicament, l’offre des enseignes de pharmacies est en cours de structuration. Plus Pharmacie fait figure de pionnier. Son offre de génériques couvre déjà 55 % du Répertoire en valeur en 2012 avec pour objectif d’en couvrir l’intégralité à court terme. Il est suivi de près par PHR, Evolupharm et Népenthès qui renforcent leurs positions sur ce marché prometteur.
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« Les Infiltrés » : les bidouilles des labos pour caser leurs génériques | Rue89 - 0 views

  • Philippe Gaertner, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF), n’a jamais entendu parler du système des boîtes gratuites et est « très étonné » par ce qu’il a vu dans le film. Il reconnaît que les remises vont au-delà de 17% « par le biais de contrats de coopération, des études par exemple, mais tout ce qui se fait avec les labos figure dans la comptabilité des entreprises ».
  • « Sans cet argent reversé par les labos, le marché du générique n’existerait pas, car les marges sont trop faibles. La Cnam est au courant mais laisse faire. Il ne faudrait surtout pas jeter l’opprobre sur les génériques, et sur les pharmaciens dont les volumes et les marges ne cessent de baisser. »
  • Philippe Gaertner précise qu’« une officine met la clé sous la porte tous les deux jours en France ».
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Industrie pharmaceutique : les nouvelles stratégies de services autour du méd... - 1 views

  • 1 - La remise en question des fondamentaux du secteur Le déclin du modèle des blockbusters L'essor de la menace générique Le durcissement des conditions d'accès et de maintien sur le marché Un nouveau modèle axé sur les produits de spécialité 2 - L’impact de ces nouvelles configurations sur l’offre des laboratoires La diversification des portefeuilles d'activité Vers une médecine personnalisée ? Les enjeux de l'amélioration de l'observance L'émergence de solutions de « gestion de la santé du patient » 3 - Le patient au cœur de la stratégie de services de l’industrie pharmaceutique Une démarche centrée sur le patient et non plus seulement sur le produit et la technologie L'implication croissante des patients dans la prise en charge de leur santé Les services proposés aux professionnels de santé : formation et information, aides autour de la chaîne de distribution L'éclosion de la gestion de la relation patient (GRP) en France GRP et disease management 4 - Le développement des programmes d’accompagnement patient Les étapes clés en France L'encadrement des relations patients et industrie pharmaceutique La loi HPST donne un cadre limité d'intervention aux laboratoires Les programmes d'apprentissage, d'aide à l'observance et d'ETP Focus : Betaplus de Bayer Healthcare, Eli Lilly, CoaguCheck Link de Roche Diagnostics 5 - Les partenaires stratégiques des laboratoires dans l’accompagnement des patients Disease managers et opérateurs de programmes patient Associations de patients et sociétés savantes Les sociétés de TIC 6 - Les perspectives de ces nouvelles offres Leviers et freins au développement de ces offres de services Place des services dans les procédures d'AMM et de P&R Quel impact sur l'organisation des laboratoires ? Les nouveaux services à horizon 2020
  • L’adaptation des modèles commerciaux et marketing d’une industrie tenaillée entre générification et durcissement des conditions de market access Le passage du produit au service ? Les laboratoires font aujourd’hui face à la concurrence de plus en plus précoce des génériques une fois leurs produits tombés dans le domaine public et au durcissement de leur environnement réglementaire et politique. L’industrie pharmaceutique fait ainsi évoluer ses stratégies commerciales et marketing en associant au médicament des services visant à satisfaire à la fois les autorités de santé, les payeurs, les professionnels de santé et in fine les patients. L’amélioration de l’efficacité des traitements, un enjeu économique pour l’industrie pharmaceutique et de santé publique pour les autorités de santé Comment optimiser l’efficacité et l’efficience des traitements ? Les programmes d’accompagnement patient s’intègrent dans cette stratégie, bien qu’en France, le contexte réglementaire reste encore flou : si la loi HPST a inscrit l’éducation thérapeutique dans le parcours de soins, les décrets d’application concernant l’intervention de l’industrie pharmaceutique n’ont toujours pas été votés. Eli Lilly dans l’ostéoporose ou Roche Diagnostics pour un anticoagulant cherchent à développer l’autonomie des patients dans la prise en charge de leur(s) traitement(s), à s’adapter au plus près de leurs besoins réels et à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.).
  • Des partenariats stratégiques multipliés avec des acteurs spécialisés ou non dans la santé… … pour des services qui vont devenir des éléments indispensables d’accès et de maintien sur le marché pour les médicaments, ainsi que des procédures de prix et remboursement L’industrie pharmaceutique est amenée à travailler à la fois avec les autorités de santé nationales et régionales, les associations de patients, mais surtout les sociétés spécialisées et les call-centers (Vivactis Mail Call, Direct Medica, etc.), ainsi que les spécialistes des TIC ou encore les sociétés d’assistance. Les nouvelles technologies de transmission de l’information leur permettent notamment de se positionner en « entreprise de santé » capable de répondre à l’ensemble des étapes depuis la conception et la commercialisation du médicament jusqu’à sa distribution et son administration par le patient, notamment dans le cadre des maladies chroniques et des pathologies lourdes.
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Le marché du façonnage pharmaceutique en France : Eurostaf étude de marché - 0 views

  • Le façonnage pharmaceutique : un modèle porté par les laboratoires génériqueurs Un marché issu de la fin d’un modèle, celui des blockbusters Le déclin des blockbusters a permis le développement d’un marché à part entière : le façonnage pharmaceutique. Des PME dynamiques ont repris les usines en surcapacité de laboratoires Big Phrama pour les convertir en unités de production multi-produits et multi-clients, accroissant la rentabilité des sites. Ces façonniers se positionnent sur des produits matures dont le modèle économique est basé sur les volumes, entrainant des gains de productivité. Les façonniers sont devenus en une décennie des partenaires privilégiés des laboratoires génériqueurs ayant des problématiques identiques.
  • Concurrence exacerbée, marges limitées : l’environnement économique du façonnage est à un tournant Entre politique industrielle volontariste et limitation des dépenses de santé, certains acteurs montrent des signes de faiblesse Bien que le gouvernement souhaite favoriser ce tissu industriel à forte valeur ajoutée, la situation économique de la France le contraint à limiter ses dépenses de santé publique via une série de mesures pour 2012 : augmentation du nombre de déremboursement de médicaments, baisse des prix des génériques principalement et augmentation du taux de TVA. Le façonnage pharmaceutique a souffert en 2009 du fait d’un déstockage massif des officines en réponse à la crise économique. Le marché du façonnage pharmaceutique est certes toujours en croissance, mais les difficultés conjoncturelles fragilisent les acteurs les plus petits. Ces nouvelles évolutions réglementaires viennent jouer sur les marges des façonniers déjà sous pression. Depuis 2009, trois façonniers ont été contraints de cesser leur activité.
  • Innovation, conquête de nouveaux marchés, consolidation, le façonnage dispose encore de relais de croissance importants Le façonnage pharmaceutique entre dans une ère de consolidation d’actifs productifs et de développement Après une vague de croissance basée dans un premier temps sur le rachat de sites, le marché entre dans une phase de consolidation. Les opportunités de croissance demeurent solides. L’outil productif a bénéficié d’investissements importants afin de permettre au façonnage français de relever de nouveaux challenges comme les biotechnologies qui demeurent encore sous-exploitées, des exportations peu ou pas développées, ou encore se doter de normes internationales de fabrication (ISO13485, ISO9001, cGMP). L’enjeu du secteur est de se positionner sur des segments de marché à forte valeur ajoutée. Quelles sont les perspectives du marché à horizon 2015 ? Comment les industriels se préparent-ils à relever ces défis ?
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Antibiotiques : l'efficacité des génériques confortée, Actualités - 1 views

  • Depuis quarante ans, c'est l'animal de référence pour tester l'efficacité des antibiotiques »,
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Le regard d'Accenture Management Consulting : La mutation de l'industrie pharmaceutique... - 0 views

  • Une rupture scientifique : le séquençage du génome, entre autres avancées, ouvre de nouvelles voies quand la recherche traditionnelle s'épuise.Une rupture économique : la démographie, le souhait des individus de vieillir en bonne santé et les coûts unitaires des thérapies ciblées mettent les systèmes de financement sous pression.Une rupture sociétale : les payeurs mondiaux sont de plus en plus actifs, analysant les données ou "coachant" des patients. Le système de soins ménage une place accrue aux pharmaciens et aux infirmières, à la télémédecine et aux réseaux de soins. Les réseaux sociaux de patients (PatientLikeMe, Orphanet) ou de médecins (Sermo) redistribuent l'information. La place du médecin comme décideur unique est questionnée.
  • Synergies scientifiques : une activité de génériques est alimentée par les expirations de brevets ; une activité vétérinaire bénéficie des retombées de la recherche humaine.Synergies de compétences : Sanofi identifie la connaissance de l'écosystème comme une compétence clé lui permettant d'articuler produits et services de santé.Synergies thérapeutiques : certains acteurs servent une pathologie "de bout en bout", par exemple en intégrant glucomètres, insuline, analyse des données ou formation des patients, comme Novo Nordisk, Sanofi ou Bayer (qui a même lancé un jeu pédagogique avec Nintendo) sur le diabète.Synergies produits : les applications esthétiques du Botox, utilisé au départ en chirurgie urinaire, ont fourni à Allergan un très important relais de croissance.Synergies financières : à l'instar des acteurs du BTP (faibles marges, mais fortes liquidités) se lançant dans les concessions, ou des acteurs du matériel informatique se diversifiant dans les logiciels et les services, les laboratoires analysent les complémentarités financières. Quels investissements, quels risques, quelle rentabilité ? Quelle pérennité des flux de revenus, notamment face aux cycles et aux réformes publiques ?Quelles valorisations ?
  • Valeur : les laboratoires "valeur" (tels BMS, AstraZeneca ou Amgen) adressent, par une recherche innovante, des besoins noncouverts. Ce modèle présente des risques plus élevés (même si les alliances permettent de le répartir) pour des rendements plus élevés (même si l'incertitude pèse sur le financement collectif). La R&D doit s'accompagner d'innovation sur offres, de rémunération au résultat et veiller au suivi de l'efficacité du produit
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  • Portefeuille : les acteurs "portefeuille" (tels GSK, Sanofi, J&J, Novartis ou Roche) assemblent diverses activités (vaccins, optique, appareils médicaux, nutrition, services, électronique grand public...) autour d'un noyau pharmaceutique. Ils peuvent intégrer les modèles "volume" et "valeur", et calibrent leur profil d'investissement et de risque. Trois questions sont centrales. Dans quelles activités non dilutives investir ? Quelles synergies justifient la diversification, au-delà de la recherche de croissance ? Comment maîtriser les nouveaux modèles (par exemple, comment protéger de la concurrence des services non brevetables, contrairement aux médicaments) ?
  • Volume : les acteurs "volume" (tels Teva ou Ranbaxy) se concentrent sur les produits familiaux, génériques ou matures, proches de la grande consommation. Ce modèle suppose moins d'investissements et de risques, pour un rendement plus prévisible ; il repose sur un marketing "de masse", sur un approvisionnement économique et sur la pénétration rapide des marchés émergents.
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Industrie pharmaceutique : les nouvelles stratégies de services autour du méd... - 0 views

  • Le passage du produit au service ? Les laboratoires font aujourd’hui face à la concurrence de plus en plus précoce des génériques une fois leurs produits tombés dans le domaine public et au durcissement de leur environnement réglementaire et politique. L’industrie pharmaceutique fait ainsi évoluer ses stratégies commerciales et marketing en associant au médicament des services visant à satisfaire à la fois les autorités de santé, les payeurs, les professionnels de santé et in fine les patients.
  • Comment optimiser l’efficacité et l’efficience des traitements ? Les programmes d’accompagnement patient s’intègrent dans cette stratégie, bien qu’en France, le contexte réglementaire reste encore flou : si la loi HPST a inscrit l’éducation thérapeutique dans le parcours de soins, les décrets d’application concernant l’intervention de l’industrie pharmaceutique n’ont toujours pas été votés. Eli Lilly dans l’ostéoporose ou Roche Diagnostics pour un anticoagulant cherchent à développer l’autonomie des patients dans la prise en charge de leur(s) traitement(s), à s’adapter au plus près de leurs besoins réels et à favoriser la communication avec les professionnels de santé (intervention d’infirmières, portail de communication entre médecins, établissements de soins et patients, etc.).
  • Des partenariats stratégiques multipliés avec des acteurs spécialisés ou non dans la santé… … pour des services qui vont devenir des éléments indispensables d’accès et de maintien sur le marché pour les médicaments, ainsi que des procédures de prix et remboursement L’industrie pharmaceutique est amenée à travailler à la fois avec les autorités de santé nationales et régionales, les associations de patients, mais surtout les sociétés spécialisées et les call-centers (Vivactis Mail Call, Direct Medica, etc.), ainsi que les spécialistes des TIC ou encore les sociétés d’assistance. Les nouvelles technologies de transmission de l’information leur permettent notamment de se positionner en « entreprise de santé » capable de répondre à l’ensemble des étapes depuis la conception et la commercialisation du médicament jusqu’à sa distribution et son administration par le patient, notamment dans le cadre des maladies chroniques et des pathologies lourdes.
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  • Stéphanie Lavielle, titulaire d'une maîtrise des Sciences de Gestion de Paris IX Dauphine et d'un DESS de Marketing Pharmaceutique, a travaillé pendant plus de 10 ans dans l'industrie pharmaceutique (Roche-Nicholas, Novartis Santé Familiale, Ménarini), où elle a occupé des postes de chef de gamme. Elle bénéficie d’une expertise en marketing pharmaceutique et d'une connaissance approfondie du système de santé français.
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MARCHÉ PHARMA: Vers une offre de service autour du médicament - IMS Health | ... - 0 views

  • MARCHÉ PHARMA: Vers une offre de service autour du médicament – IMS Health Publié le 17/06/2011 Sélectionner une langue​▼ Nouveaux marché émergents et stabilité en Europe, nouveaux segments de produits et surtout nouvelles exigences de l'ensemble des acteurs du système de santé, des Autorités sanitaires au patients en incluant aujourd'hui l'ensemble des professionnels de santé, le tout dans un contexte économique tendu, ce rapport d'IMS Health souligne, à destination des laboratoires pharmaceutiques, la nécessité d'adapter, en permanence, leurs stratégies marketing. On retiendra en particulier la notion de progrès médical dans l'innovation et de service autour du médicament qui doit désormais être intégrée dans l'offre pharmaceutique.
  • Des marchés émergents: Avec le tassement des marchés matures, les Etats‐Unis notamment devraient être remplacés par la Chine, prochain principal contributeur à la croissance mondiale avec le Brésil, la Russie, l'Inde, l'Asie du Sud‐Est et l'Amérique Latine.
  • Des pathologies émergentes: Cette étude publiée par IMS Health souligne, pour l'Europe, l'augmentation du segment des médicaments de spécialistes au dépens du segment des médicaments de généralistes.  Alzheimer, épilepsie,  Parkinson,  sclérose en plaques, ces grandes pathologies en neurologie devraient faire l'essentiel de la croissance du marché (7 % pour les « spécialistes », contre 5 % pour les « généralistes).
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  • En France, pas de croissance: « Le marché français reflète la tendance observée à l'international sur les marchés matures”, relève le rapport. La croissance est quasi nulle en 2010 et le sera probablement en 2011. Le marché hospitalier qui affichait une croissance à deux chiffres au début des années 2000, 6 % en 2009, ne progresse que de 2 % en 2010. Le marché des génériques qui représente 14 % en valeur, doit digérer deux nouvelles molécules (atorvastatine, esoméprazole) non encore génériquées qui soutiendront son dynamisme qui contribue à la stabilité générale en valeur du marché français. Le marché de « l'automédication » (OTC) est lui qualifié d'atone, avec des prix stables et une demande également stable, liée à la crise économique et à la crise de confiance du médicament certainement.
  • La perspective d'une évaluation post-AMM européenne? L'intégration européenne de l'évaluation du médicament post‐AMM pourrait être envisagée même si la France, l'Allemagne et le Royaume‐Uni militent plutôt en faveur du statu quo et d'une autonomie de décision, évoque l'économiste Claude Le Pen. Dans ce cas, l'approche serait économique avant d'être clinique ou médicale
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«Les associations passent-elles à côté d'une question cruciale: le coût et la... - 0 views

  • En France, le système de soins se dégrade à vitesse grand V dans les hôpitaux publics. Et il y a clairement des endroits et des moments auxquels il ne vaut mieux pas tomber malade, comme par exemple, au fin fond de l’Auvergne en plein mois d’août
  • N’oublions pas qu’en France, environ 80% des personnes vivant avec le VIH prennent déjà un traitement de seconde lign
  • . Les médicaments dits de seconde ligne sont en moyenne 8 à 10% plus chers que ceux de première ligne, et sont moins produits en génériques, car plus souvent sous le coup d’un brevet.
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  • Cela veut dire qu’en temps de crise, l’une des valeurs les plus sûres reste les médicaments
  • Les lobbyistes de Sanofi sont nombreux à Paris et à Bruxelles pour imposer leurs désidératas et protéger les monopoles des firmes
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À propos des médicaments | Le Cercle Les Echos - 0 views

  • En bref, pour répondre clairement à cette première question : Oui, les médicaments peuvent présenter un certain danger. L’organisation de la Santé et les précautions actuelles en France réduisent largement le risque, mais la prééminence des intérêts économiques sur tout autre moteur sera toujours un facteur favorisant les prises de risques
  • Deuxième question : les médicaments génériques sont-ils totalement semblables aux médicaments qu’on leur demande de remplacer ? Dans l’absolu, la réponse est clairement : non.
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