«Cela correspond, ajoute Louise Vandelac, à la tendance d'appropriation par le privé de biens collectifs publics, comme les ressources naturelles et même des services publics. C'est une tendance lourde qui a des conséquences évidentes sur la vie civile, politique et même universitaire et qui pose, ultimement, la question de ce qu'il advient de l'intérêt public.»