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"Si les portes de Notre-Dame restent irrémédiablement fermées aux pèlerins et au public, et ce jusqu'en 2024, il est toujours possible de vivre Notre-Dame à travers les arts. Les propositions ne manquent pas ! Après l'épopée immersive proposée par l'exposition Éternelle Notre-Dame à la Défense, l'émotion cinéphile de Notre-Dame brûle de Jean-Jacques Annaud, le Collège des Bernardins y consacre à son tour le troisième opus de son festival, intitulé : Stabat Mater. Notre-Dame. Une programmation culturelle riche avec, en point d'orgue, l'exposition gratuite Notre-Dame de Paris, l'exposition augmentée, conçue par Histovery."

"Des chercheurs au chevet de Notre-Dame Née au lendemain de l'incendie de Notre-Dame, l'Association des scientifiques au service de Notre Dame veut mutualiser les connaissances sur le monument. Le CNRS vient d'annoncer le lancement d'un « Chantier Notre-Dame »."

"Neuf mois après l'incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, nous avons l'honneur d'accueillir aujourd'hui MM. Jean-Louis Georgelin et Philippe Jost, qui exercent respectivement les fonctions de président et de directeur général délégué de l'établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Vous vous souvenez que cet établissement public a été créé par la loi sur Notre-Dame du 29 juillet dernier pour assurer la conduite du chantier de restauration de la cathédrale. Il est entré en fonction le 1er décembre dernier, une fois le décret d'application publié le 29 novembre. Notre commission avait beaucoup travaillé sur ce projet de loi au printemps dernier pour empêcher l'adoption d'une loi d'exception. Nous avions alors eu à coeur de défendre les principes de notre législation en matière de protection du patrimoine, qui est enviée à l'étranger, et de garantir le caractère exemplaire des opérations susceptibles d'être menées pour la reconstruction de l'édifice. L'Assemblée nationale ne nous avait malheureusement pas suivis. Néanmoins, notre position a sans doute contribué à ce que le fonctionnement de l'établissement public soit mieux encadré dans la loi et que le champ de l'habilitation à déroger aux règles de droit commun par ordonnances soit réduit. Messieurs, vous voyez donc tout l'intérêt que nous portons à vous entendre sur les modalités de fonctionnement de l'établissement public. Vos équipes sont-elles désormais au complet ? Comment sont-elles composées et comment les avez-vous recrutées ? Vous avez pris le relais du ministère de la culture depuis le 1er décembre. Où en sont les travaux de conservation ? Quelles sont les perspectives pour l'année 2020 ? Quelle est votre méthode ? Enfin, peut-être avez-vous une vision plus claire des dérogations qui pourraient être mises en place pour faciliter le chantier ? Pourriez-v

"Nous vous invitons à refaire un petit tour dans nos basiliques… Dans le diocèse, on en compte quatre : Notre-Dame d'Avesnières à Laval, Notre-Dame de l'Epine à Evron, Notre-Dame de l'Espérance à Pontmain, et Notre-Dame de Mayenne."

"Notre-Dame : "Nous avons reçu 38 millions d'euros de dons", annonce Monseigneur Aupetit sur RTL. Monseigneur Aupetit a indiqué que 38 millions d'euros avaient été récoltés par "la fondation Notre-Dame" et "le fonds Notre-Dame"."

"A l'occasion des Journées européennes du patrimoine 2017, la Paroisse Saint-Jacques des Hauts-de-Poitiers vous propose : Archives Notre-Dame du PlantyUne visite commentée de l'église Notre Dame de l'Annonciation le samedi 16 septembre 2007 à 14h30, Une visite commentée de l'église Notre Dame de l'Annonciation le dimanche 17 septembre 2007 à 14h30, Une exposition « Jeunesse et Patrimoine » dans l'église Notre Dame de l'Annonciation. Rendez-vous sur place, au 1, avenue de l'Entraide, 86180 BUXEROLLES"

"► C'est à Cier de Luchon que l'on retrouve Notre-Dame de Luret. ► La dévotion à Notre-Dame de Luret remonterait au début du XVIe siècle, époque où aurait été découverte la statue en bois sculptée de Notre-Dame que l'on vénère encore aujourd'hui."

"Ses dalles patinées ont vu défiler des millions de visiteurs, paroissiens, touristes ou pèlerins. Ses voûtes résonnent depuis des siècles des accords puissants de l'orgue et des chants des fidèles. Ses murs gardent le secret des innombrables confessions murmurées des pénitents. Sa statue Notre-Dame de Bon Espoir est l'une des plus anciennes statues en bois de France… L'église Notre-Dame, érigée au cœur du centre-ville de Dijon, fête cette année ses 800 ans. Chef d'œuvre architectural du XIIIe siècle, l'église est également le lieu d'une vraie ferveur populaire, en témoignent les 50 000 cierges qui y brûlent chaque année. Le curé de la paroisse Dijon Notre-Dame, le père Emmanuel Pic, glisse : « A Lourdes, on multiplie le nombre de cierges par 7 pour mesurer la fréquentation annuelle. Cela donne idée du nombre de personnes qui viennent dans l'église ! »"

"Lancement d'un appel aux dons avec la Fondation du patrimoine La Chapelle Notre Dame de Grâce, ou chapelle de Ragès, date de 1682 et se situe au coeur du hameau de Ragès à Sonnaz en Savoie, proche d'un très beau lavoir du XVIIIe siècle. Sur la façade principale, au fronton, se trouve une peinture monumentale du XVIIIe siècle classée au titre d'objet Monument Historique depuis 1983. D'abord dénommée Chapelle de la Vierge, elle a été fondée en 1682 par Gabriel Beyvin, prêtre, à l'emplacement d'une ancienne chapelle. On la retrouve au XIXe siècle sous le vocable de la Visitation de Notre-Dame. Elle est aujourd'hui nommée Notre-Dame de Grâce."

"Magnifique sanctuaire marial situé dans le diocèse de Séez, région de Domfront : En 1475, le roi Louis XI fonda la paroisse de la Conception Notre-Dame en Passais. Déjà à cette époque, l'emplacement de la chapelle actuelle s'appelait « l'Oratoire », c'est à dire le lieu de la prière. En 1852, une dame de Passais tomba gravement malade ; elle fit un voeu : si elle guérissait, elle construirait une chapelle en l'honneur de Notre Dame. Elle fut guérie et réalisa sa promesse, un édifice de quelques mètres carrés. Comme les pélerins venaient de plus en plus nombreux , une autre chapelle fut construite en 1857. Celle-ci se révéla encore trop petite. En 1927 fut achevée la troisème chapelle beaucoup plus vaste. Au mois de mai et tout au long de l'année, les pélerins du Passais et des environs viennent prier Notre Dame de l'Oratoire, lui confier leurs joies, leurs soucis, leurs espoirs. Dans la grande chapelle - La procession des âges : fresque représentant l'histoire du Passais, du VI° siècle à nos jours, peinte par André JOUAULT, lauréat de l'Institut de France. A la chapelle extérieure : - Rétable du XVII ° siècle, représentant l'Annonciation. A l'Oratoire de Passais-la-Conception, la Vierge Marie ne s'est pas manifestée directement, comme à Lourdes ou à Pontmain. Elle n'a pas laissé de message mais elle a répondu et elle continue de répondre à la prière de ses enfants, simplement, sans bruit, en les exauçant, en leur apportant la confiance et la paix, témoins ces centaines d'ex-votos gravés sur les murs de la chapelle. Ouvert tous les jours."

"Le Ministère de la Culture s'apprête à décontaminer le parvis Notre-Dame - place Jean-Paul II, dans le IVe arrondissement de Paris."

"Quel avenir pour Notre-Dame ? Trois personnalités livrent leur vision du rôle à attribuer à la cathédrale une fois sa reconstruction achevée. Historien, spécialiste de la symbolique occidentale, Michel Pastoureau évoque l'impossible cohabitation des touristes et des croyants dans Notre-Dame et propose une solution de « moindre mal » : transformer la cathédrale en musée… Retrouvez le lien vers les deux autres visions à la fin de cette tribune."

"Douze mois après l'incendie de Notre-Dame de Paris, La Vie vous propose de revivre, en sept épisodes, une année au chevet de Notre-Dame avec ceux qui ont contribué à la sauver. Si la cathédrale est bien hors de danger, la fin du chnatier pourrait bien attendre encore de longues années."

"Depuis une semaine, La Vie vous propose de revivre, en sept épisodes, une année au chevet de Notre-Dame avec ceux qui ont contribué à sauver la cathédrale après l'incendie du 15 avril 2019."

"Vendredi 10 avril, à midi, Mgr Michel Aupetit viendra méditer à huis-clos dans Notre-Dame de Paris, près d'un an après le terrible incendie. « Notre-Dame vit encore ! » assure-t-il. "

"Un an après le grand incendie, les catholiques continuent de s'interroger sur l'avenir du culte à Notre-Dame de Paris. Une récente tribune - iconoclaste - du médiéviste Michel Pastoureau propose ni plus ni moins de « déconsacrer Notre-Dame pour la transformer en musée »."

"Enfant, il portait déjà le monument dans son coeur. Notre-Dame de Paris faisait vibrer celui qui se destinait à l'architecture. Et puis le terrible incendie a eu lieu et Philippe Villeneuve s'est donné un seul but : rendre à la cathédrale toute sa beauté.Rencontre avec l'architecte en chef de Notre-Dame."

"Des actes « blasphématoires » ont eu lieu dans l'église Notre-Dame de Sablé-sur-Sarthe (Sarthe). Ils ont provoqué « une grande tristesse et une forte émotion au sein de notre communauté paroissiale », écrit le P. Bruno Meziere, curé de la paroisse. Des photos publiées sur Internet et montrant un individu débout sur l'autel de l'église Notre-Dame avec des canettes de bières ont suscité l'émoi des paroissiens. C'est un fidèle qui a reconnu l'église Notre-Dame de Sablé sur des photos publiées sur Facebook, rapporte le quotidien Ouest-France."

"C'est le volet scientifique du chantier du siècle. Avec une équipe de spécialistes, Lise Leroux, ingénieure au Laboratoire de Recherche des Monuments Historiques du ministère de la Culture, a été appelée au chevet de Notre-Dame de Paris pour expertiser l'état des pierres de la cathédrale. Premier volet de notre série : ils restaurent Notre-Dame de Paris. (1/9)"

"La bataille secrète de Notre-Dame Le projet de restauration de la cathédrale lancé par Emmanuel Macron est devenu un casse-tête politique. A l'œuvre. Le général cinq étoiles Jean-Louis Georgelin, photographié ici le 7 juin, a été missionné, dès le lendemain de l'incendie, par le chef de l'Etat pour diriger les travaux. «Nous rebâtirons la cathédrale, plus belle encore, et je veux que cela soit achevé d'ici cinq années. » Pronom personnel, calendrier serré et ambition esthétique, le triptyque du chef de l'Etat, prononcé la nuit où Notre-Dame luttait contre les flammes, a consolé les Français, soucieux de panser vite ses plaies. Il enclencha aussitôt un phénoménal imbroglio de ressentiments, de vexations et de jalousies, qui ne cesse depuis lors d'enfler ; à tel point qu'on se demande par quel paradoxal miracle notre pays est capable de transformer une telle concorde nationale en une si confuse discorde administrativo-politique. « On ne sait pas qui pilote, la chaîne de hiérarchie est totalement embrouillée, et les sommes d'argent qui sont en jeu rendent tout le monde dingue », soupire, deux mois après le drame, un intervenant du chantier. Pour comprendre comment on en est arrivé là, examinons la chronologie. "