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"Cette "sculpture" du plasticien provocateur Martin Kippenberger (1953-1997) avait créé un scandale lors de son exposition à Bolzano (Italie) en août 2008, une "œuvre" jugée à l'époque comme « insultant les sentiments religieux de beaucoup de personnes » par le pape Benoît XVI. Le plasticien était mort depuis plus de dix ans, emporté, m'apprend-t-on, par un cancer du foie à 43 ans… Il sait désormais à quoi s'en tenir sur le sens de la Croix. Le mieux serait de prier pour le repos de son âme et d'oublier toutes ces provocations drapées dans le lin candide de la « liberté de création artistique », cette nouvelle doxa qui justifie la christianophobie. C'est sans doute pourquoi M le magazine du Monde en remet une petite couche dans son édition datée du 1er juin, présentant en pleine page le blasphème « de l'un des artistes exemplaires du XXe siècle »… T'as qu'à croire."

Blogs Fait religieux De plus en plus d'initiatives en faveur d'un protocole international contre le blasphème ACY - vu le 19/09/2012

"Théologienne spécialiste de l'Ancien testament et des langues de l'Antiquité proche-orientale et égyptienne, Françoise Smyth-Florentin est revenue, lors du petit déjeuner du 10 février 2015 pour Le forum de Regardsprotestants, sur la place et l'interprétation du blasphème dans différents passage de la Bible. Retrouvez ici les grandes lignes de sa prise de parole."

Blogs Riposte catholique A propos de la tribune de Mgr Rey "Du blasphème à l'Epiphanie" sur les spectacles de l'automne et l'art CS - Vu le 23/01/2012

"Le clocher gothique de l'église Notre-Dame à Lillebonne domine depuis des siècles la cité gallo-romaine. Le 16 janvier au matin, les habitants de cette commune de Seine-Maritime ont découvert avec consternation des inscriptions sur les portes de l'église : « Satan est en enfer », « Adam et Ève, la honte de la France » et autres gracieusetés du même acabit. La population, dans cette vallée industrielle dédiée à la pétrochimie, n'est pas spécialement bigote. Mais le fait est là : toucher à une église, c'est atteindre au plus profond de l'identité d'un pays. Le curé ne déposera pas plainte. Le père de Mallmann déclare au journal local : « Pour déposer plainte, il faut vraiment que ce soit grave. Mais là, ce n'est pas un acte de l'ordre de la profanation. C'est l'expression d'une personne en détresse, qui a perdu ses repères sociaux et familiaux, et qui a sans doute besoin d'être aidée. Cela m'inspire de la compassion. » Aucune information non plus sur le site Internet du diocèse. Ces propos sont irresponsables. Ils banalisent les faits et les renvoient à une explication sociale désuète dont trop de clercs sont encore coutumiers ; ils laissent un goût amer, comme si le prêtre avait renoncé à s'interroger sur la notion de blasphème, et incitent à la récidive. "

""Blasphèmes, exhibitionnisme, vols, vandalisme, irrespect, profanations vis-à-vis des lieux de culte et vis-à-vis des chrétiens, deviennent monnaie courante."

"Voici une des déclinaisons de la nouvelle campagne de publicité des « Espaces Culturels » Leclerc (on peut découvrir cette campagne, notamment, dans le métro parisien). Certains des visuels sont médiocres ou rigolos et tous participent à cet "esprit de dérision" généralisée qui montre l'affaissement de toutes nos valeurs traditionnelles. Celui qui suit est franchement blasphématoire. C'est une "adaptation" - personnellement je parle de "détournement" - du tableau du Caravage Le souper à Emmaüs"

Blogs Fait religieux Brésil : la "crucifixion" de Neymar fait scandale ACY- Vu le 02/10/2012

"Il s'agit, cette fois-ci, de l'exposition d'"œuvres" de Philippe Jacq, qui se tient du 15 novembre au 22 décembre"

"Je voudrais avoir votre aide pour savoir comment réagir face à une statue de la Vierge qui m'a choquée : Presque en face de la librairie Silöe, il y a une galerie d'art contemporain qui présente dans sa vitrine une grande statue de la Vierge en robe bleue et manteau rouge et portant une moustache noire. Que faire, que dire, comment réagir, comment vivre la fraternité dans ces conditions ?"

"Une sortie scolaire (dans le cadre de la préparation au baccalauréat) qui ne passe pas chez certains parents d'élèves du Morbihan (notamment ceux du lycée Jeanne d'Arc de Pontivy). Jeudi 17 et vendredi 18 novembre, plusieurs lycées du département ont ainsi envoyé leurs élèves de terminale assister à la représentation de la pièce « Les Armoires normandes » interprétée par la « troupe » d'«Art» Contemporain « Les Chiens de Navarre ». Voici comment le théâtre de Lorient présente la pièce : Tout commence avec un Christ - sanguinolent cela va de soi - qui a le vertige sur sa croix et prend la pose comme dans les tableaux de grands maîtres. Tout s'achève sur un sirtaki de deux grandes bêtes à poil long au beau milieu d'une dune de sable. Les Chiens de Navarre sont de retour et s'attaquent cette fois-ci à l'amour. Comme d'habitude, tout s'enchaîne sans continuité narrative et avec l'esprit fellinien. Un célibataire qui voudrait être heureux, des couples interviewés façon télé réalité, une rencontre, un mariage… Les Chiens rient de l'amour et de ses compromissions dans un spectacle qui varie les dispositifs scéniques. Inventifs, transgressifs, corrosifs, Les Chiens ont procédé comme d'habitude par improvisations au plateau pour créer un spectacle hilarant - c'est sûr - qui nous laisse aussi démunis qu'attendris face à nos faiblesses."

"Je reviens vers vous dès aujourd'hui [19 janvier] au sujet de cette installation sur laquelle je suis tombée tout à l'heure en rentrant chez moi. Il s'agit d'une ancienne vespasienne, des toilettes publiques qui étaient installées au bord des quais de l'Ill, aujourd'hui converties en mini salle d'exposition temporaire. Et les photos ci-jointes vous en montreront le contenu (…) Ceci se trouve au carrefour du quai Finkmatt et de la rue du Faubourg de Pierre où se trouve une chapelle de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X "

"Du 15 au 26 avril, la ville d'Aix-en-Provence sera le siège d'une manifestation intitulée « Rencontres du 9ème art, Festival de bande dessinée et autres arts associés ». De nombreux dessinateurs y sont attendus. Parmi eux, Nicolas Barrome, jeune trentenaire qui ne manque assurément pas de talent mais qui l'exprime de manière offensante pour les chrétiens."

"Et voici l'affiche : une sorte de vouivre (étymologiquement du latin vipera, vipère), monstre propre à la Lorraine et à d'autres régions, crucifiée sur une croix dite de Lorraine (en fait d'Anjou). Tout cela pour promouvoir des concerts de groupes de rock dans une maison de la jeunesse… Répugnant et d'autant plus incompréhensible que le maire de Belleville-sur-Meuse est membre du Mouvement pour la France (MPF)"

"Belle (et longue) vidéo de la dernière manifestation à Ajaccio contre l'exposition de l'immonde Piss Christ au Musée Fesch de cette ville. N'oubliez pas la nouvelle manifestation ce samedi 20 septembre !"

" Mais ce qui a retenu toute mon attention, c'est la photo suggestive qui illustre et ce programme et les affiches du festival. Elle montre une femme apparemment nue et… crucifiée !"

"Parmi ces "artistes", le Polonais Jacek Markiewicz qui a présenté une vidéo, créée en 1993 à l'Académie des Beaux-Arts de Varsovie et intitulée « L'Adoration du Christ ». On y voit ce Jacek Markiewicz nu comme un vers se frottant de manière lascive et obscène sur un Christ en croix, grandeur nature, posé à terre, une statue médiévale historique prêtée par le Musée national de Varsovie ! "

"Je voudrais vous signaler un nouveau sacrilège public qui vient d'être lancé à grand renfort de communication : les « Lapins crétins », la nouvelle attraction du Futuroscope. Une des salles de l'animation rassemble un certains nombres de tableaux connus dont les personnages sont parodiés en Lapins crétins. Comme s'il n'y avait pas suffisamment de tableaux disponibles et connus, le Futuroscope a fait le choix de prendre la Cène de Léonard de Vinci et d'affubler au Christ et ses apôtres un visage de Lapin crétin ! Le Futuroscope affiche des millions de visiteurs par an (…) L'attraction a été lancée le 21 décembre, juste avant Noël…"

"Le tribunal correctionnel de Nantes (Loire-Atlantique) jugeait lundi après-midi 19 mai une chorégraphe bretonne accusée d'« injures publiques » pour avoir dansé nue sur l'autel d'une chapelle de Mahalon (Finistère), lors d'un spectacle de danse contemporaine, rapporte la presse régionale."

"Mardi après-midi à Ajaccio, une manifestation réclamait le retrait du Piss Christ exposé au musée Fesc"